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L’HISTOIRE DES ROIS AFRICAINS PAR JAMES C. LEWIS

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AFRICAN KINGS est une Galerie de Photo présentée par un célèbre Photographe au nom de James C. Lewis vivant à ATLANTA . L’objectif de cet oeuvre est d’illustre chaque Roi Africain.

Mr James C. Lewis, fatigué de la colonisation moderne que traverse le monde ,a décidé de donne le vrai sens à l’histoire. Si l’Afrique est le berceau de l’humanité et que le premier homme est africain,pourquoi l’histoire ne regroupe que les blancs? Pourquoi ceux qui ont marque l’histoire du monde ne sont que de la race blanche?

Le photographe a  décidé de réécrire l’histoire , selon sa vision des choses.  » Nous devons écrire nos propres images et arrête le suivisme  »

Voici l’un des projets récents de Mr James C.Lewis qui regroupe les hommes les plus fort de l’histoire Africaines. Ces têtes qui ont fait du continent noir le plus vaillant des continents avant la colonisation.

Retrouvez l’illustration de chaque roi et son histoire.

Veuillez cliquez sur les images pour accéder aux histoires  

Photographe James C. Lewis of Noire3000 | N3K Photo Studios

SOURCE: http://viberacine.fr/lhistoire-des-rois-africains-par-james-c-lewis/


LE PHOTOGRAPHE JAMES C LEWIS NOUS FAIT DÉCOUVRIR LES DIVINITÉS AFRICAINES (ORISHAS)

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10422587_534248746713778_8095483915063862003_nUne série du talentueux photographe James C Lewis sur les Orishas. Il nous représente à travers son objectif un panthéon de divinités d’une grande beauté.

La religion et la mythologie yoruba ont une influence majeure en Afrique occidentale, tout particulièrement au Nigéria, et ont donné lieu à plusieurs religions du Nouveau Monde, comme la Santeria à Cuba et à Puerto Rico, le Vaudou à Haïti et le Candomblé au Brésil.

Itan est le terme qui désigne l’ensemble des mythes, des chants, des histoires et légendes yoruba. Ils proviennent pour l’essentiel des ese (vers, poèmes) de l’Odu Ifa. D’après la légende yoruba, Ife est le lieu où les divinités créatrices Odùduwà et Obàtálá (Oxalá au Brésil) commencèrent la création du monde, dirigées par le dieu suprême Olódùmarè. Obàtálá créa les premiers humains avec de la terre, alors que Odùduwà devint le premier roi des Yorubas. Le Òòni (roi) de Ife se prétend descendant direct du dieu Odùduwà, et il est le plus important des rois yoruba.

La mythologie yoruba comprenait quelque 600 esprits surnaturels, dont environ 400 Irun Imole et 200 Igbá Imole, les premiers étant ceux de Orun (« le Ciel ») et les seconds ceux de Aiye (« la Terre »). La croyance des Yorubas dans les orishas (qui correspondent aux différents éléments ou forces naturelles) vise à renforcer, et non à contester celle adressée à Olódùmarè. Les fidèles de la religion s’adressent aux différentes manifestations de la puissance d’Olódùmarè sous la forme des Orishas. Les ancêtres et les héros traditionnels que l’on vénère sont également mis à contribution pour résoudre les problèmes quotidiens.

Certains fidèles feront aussi appel à un spécialiste de la géomancie, connu sous le nom de babalawo (prêtre d’Ifa) ou Iyanifa (la dame d’Ifa), pour intercéder en leur faveur. La divination ifa est un aspect culturel important dans la vie des Yorubas, et a été déclaré en 2005 par l’UNESCO comme faisant partie du patrimoine oral et immatériel de l’humanité. Les Yorubas croient que leur ancêtre Odùduwà est tombé du ciel en apportant avec lui une grande partie de leur système de croyances.

Ce n’est qu’au xxe siècle que les croyances religieuses des Yorubas ont commencé à faire l’objet d’analyses sérieuses de la part des Occidentaux ; auparavant, tant les négriers que les missionnaires se référaient aux croyances des Africains de ces régions comme à un fétichisme « ridicule et sans fondement », ou encore « grossier, monstrueux et impudique ».

Au xxe siècle en revanche, apparaissent les premières définitions sérieuses des mots orisha (terme yoruba) et vodun (terme utilisé au Dahomey, et qui a donné Vaudou), qui désignent des concepts similaires. Selon Le Hérissé, les habitants « ont la certitude que tous [les vodun] sont les ancêtres merveilleux des tribus qui ont concouru à la formation du Dahomey. Leur vodun a un double caractère : humain, et surnaturel ».

Selon Bascom, « un orisha est une personne qui vivait dans la Terre lorsque celle-ci fut créée et dont descendent les personnes d’aujourd’hui. Lorsque ces orishas disparurent ou « devinrent pierres », leurs enfants commencèrent à leur faire des sacrifices et à procéder à toutes les cérémonies qu’eux-mêmes avaient effectuées lorsqu’ils étaient dans la Terre ».

Si le culte des orishas s’adresse aux forces naturelles, le concept d’orisha fait appel en réalité à des notions plus complexes : il ne s’agit pas de forces naturelles à l’état brut. En effet, les orishas, êtres humains divinisés, qui vivaient jadis dans la Terre, créent avec les forces naturelles une chaîne de relations leur permettant de les contrôler. Ce contrôle se fait pour le bénéfice des hommes qui, en contrepartie, rendent hommage aux orishas au travers des offrandes et des sacrifices nécessaires au maintien de leur pouvoir3. Selon Bernard Maupoil, cité par Pierre Verger, il existe entre les hommes et les vodun une véritable symbiose, un entrelac de solidarités : grâce à leurs prières, les hommes donnent force et puissance aux vodun, et plus les sacrifices et les offrandes qui leur sont faits sont importants, plus grands sont leur pouvoir, ainsi que leur sentiment de reconnaissance et leur bon vouloir envers les hommes.

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Ori (connu sous le nom Orí en Amérique latine) est un concept Orisha et métaphysique.

Ori, qui signifie littéralement «tête» se réfère à une intuition spirituelle et la destinée. Il est l’étincelle de réflexion de la conscience humaine intégrée dans l’essence humaine, et par conséquent est souvent personnifiée comme un Orisha dans son propre droit. On croit que les êtres humains sont capables de se guérir à la fois spirituellement et physiquement en travaillant avec les Orishas pour atteindre un caractère équilibré, ou iwa-pele. Quand on a un caractère équilibré, on obtient un alignement avec son Ori ou soi divin.

11114240_534394400032546_2933126333517015474_nAggayú (également orthographié Aganyu, Agganju, Argayú ou Agayu Sola) est l’orisha des volcans. Il est également le passeur qui aide les gens traversent la rivière, et certaines lignées dire Aggayú est l’orisha des déserts. Il ya une certaine confusion autour de savoir si Aggayú est le père ou le frère cadet de Changó, mais dans l’Église Santería des Orishas nous le considèrent comme le père de Chango. Aggayú est très bien un orisha de père protecteur qui soutient et donne la force de la vie d’une personne, et est considéré comme la canne ou de «soutien» de l’OCHA d’une personne. Il a un tempérament belliqueux et est connu pour perdre la tête dans les moments chauffées. (Actions Changó cette qualité surtout quand il était plus jeune). Aggayú et Chango sont considérées inséparables à bien des égards et il est intéressant de noter que Olorishas qui sont couronnés Shango reçoivent Aggayú à leur cérémonie Kariocha. Aganyú brandit une double hache unique avec une poignée d’ancrage comme comme son outil. Il nous enseigne l’importance d’être forte, stable et de sang-froid dans la vie, et il nous soutient à travers épreuves et tribulations.

10458800_534249036713749_4559353677783407094_nLes thèmes de Oba sont la protection, la manifestation, le mouvement, l’énergie, la restauration et la flexibilité. Ses symboles est l’eau. Oba, est la déesse nigérian et Santarian des rivières, ce qui représente au figuré l’écoulement du temps et de la vie. On se tourne vers elle pour de l’aide à apprendre à «aller avec le courant», ou lorsque vous avez besoin d’inspirer un mouvement dans des projets ou des objectifs .

SOURCE: https://www.facebook.com/media/set/?set=a.534248403380479.1073741855.518642194941100&type=1
http://fr.wikipedia.org/wiki/Orisha


Yoruba African Orishas™ by International Photog… par JohanneHinojosa

L’OEUF, LUCIFER ET LA PÂQUES RESTITUÉE

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Enfant, je me souviens quel émoi suscitait le nom de « Lucifer » dans mon jeune cœur. Chaque fois que j’entendais ce nom, je me représentais un être mi-homme mi-bête, hideux, sournois et maléfique. J’avais l’esprit colonisé par des images hollywoodiennes qui mettaient en scène cet être rouge, parfois noir, répugnant, à qui l’on plaçait des cornes et une queue pointue et qui était censée appuyer le caractère fourbe du personnage. Partout sur les images chrétiennes, choses que je fréquentais assidûment en ce temps-là, je trouvais un Jésus blanc entrain de parlementer avec cet être hybride, noir, et qui suggérait au « Sauveur » la possession de tout ce qui devait entraver le Salut de nos âmes. J’étais loin alors de me douter de l’erreur dans laquelle m’avaient plongé ces visions artistiques, romanesques, sorties de cerveaux malades, pilotés par l’idéologie raciale commune en certains siècles, et qui plaçaient l’homme et la femme noirs dans la figure du mal incarné.

Lire Joseph-Anténor Firmin fut pour moi l’occasion d’un éveil. L’esprit haïtien notait : « Au type blanc de Jésus sur le front duquel se reflètent l’intelligence calme et sereine, la morale douce et avenante, dont l’ensemble concourt à former je ne sais quel charme de divine beauté, il en fut opposé un autre, ayant tous les contraires de ce qui plaît et attire dans l’image du Sauveur. Le diable est le symbole de la brutalité, de l’esprit de révolte et de la perversité. Pour mettre en relief l’opposition tranchée, profonde, inconciliable, qui existe entre les deux symboles, on pensa naturellement à faire du diable un nègre (…) Cette image du diable transformé en nègre aux cheveux crépus, aux yeux rouges, aux narines ouvertes comme des forges qui lancent des flammes, à la bouche énorme est devenue la physionomie même sous laquelle les gens du peuple, en Europe, se figurent encore les hommes de race éthiopienne. Aussi quand ils voient un Noir avec des traits plus ou moins réguliers, ils le regardent avec une curiosité qui frise la naïveté ou l’ignorance. Pour eux, le nègre a hérité de la couleur du diable (…). Cette tradition eut la plus malheureuse influence sur l’esprit des Européens (…) Jusqu’en plein 19e siècle, la légende populaire, qui fait représenter Dieu par le blanc et le diable par le nègre, continue encore à inspirer les meilleurs peintres et les plus grands poètes. Dans le salon de peinture du Louvre, après avoir traversé le musée de la Marine, on arrive à une salle supplémentaire, où la meilleure toile et la plus belle est peut-être un tableau du peintre Ary Scheffer, fait en 1856 et représentant la Tentation du Christ. Le célèbre artiste, obéissant à la grande légende du Moyen Âge perpétuée jusqu’à nos jours, fait du diable un nègre et de Jésus un blanc. » (J.-A. Firmin, De l’Égalité des races humaines, 1885).

À gauche, Ary Scheffer, La Tentation du Christ, 1856. À droite, Duccio di Buoninsegna, La Tentation du Christ, 1308.

Cette nourriture malsaine qui empoisonne les jeunes esprits dès le commencement de la vie spirituelle aura fortement contribué à établir chez nombre d’Africains la figure de Lucifer. L’Histoire est encore le sûr moyen par lequel l’émancipation adviendra car, le personnage de Lucifer, dans les faits, se trouve aux antipodes de l’imagerie véhiculée par l’iconographie et l’exégèse filandreuse des religions abrahamiques. Il s’est joué, à travers lui, une forme d’inversion des valeurs que cet article se donne le soin de clarifier.

« Lucifer » est un terme formé à partir du latin lux signifiant lumière et du verbe ferre signifiant porter; ainsi, « Lucifer » littéralement signifie le Porteur de Lumière. La Lumière dans ce cas a le sens deConnaissance et doit aussi être comprise comme le contraire de l’obscurité, de la nuit. Nous verrons que les deux sens sont admis pour caractériser le Luciferle porteur de lumière. Dans les religions aujourd’hui dominantes, à savoir le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam, la première manifestation deLucifer, devenu un synonyme pour le Diable, a lieu dans le Livre de la Genèse qui met en scène le couple Adam-Ève et le Serpent. La pomme, l’objet de la discorde, fut mangée par le couple sur invitation du Serpent, et cette nourriture les fit instantanément prendre connaissance de leur état de nudité. La pomme est l’objet qui figure la Connaissance perçue comme le contraire de la Foi car le couple Adam-Ève n’a pas eu foi dans les paroles du dieu biblique qui interdisait de manger du fruit de l’arbre de la Connaissance et à préférer suivre les recommandations du Serpent. On trouve ici exprimé une idée qui constitue aussi la ligne de démarcation entre les traditions méridionales, initiatiques, fondées sur la Connaissance dont l’emblème est le Serpent, et les traditions septentrionales (nordiques), dogmatiques, fondées sur la Foi dont l’emblème est l’aveuglementLe triomphe de la Foi au détriment de la Connaissance a voulu se faire par l’image de la pomme.

En effet, le terme « pomme » trouve son origine dans le latin pomum traduit par « fruit ». Le terme pomumdérive du grec pôma signifiant ce qu’on boit, que nous faisons correspondre à la tradition « eucharistique » du rituel dionysiaque où le vin fut l’image même du sang du dieu démembré par les Titans. Ainsi, trouve-t-on maintenu le lien entre la pomme et la Connaissance, car faut-il le rappeler, les rituels dionysiaques furent essentiellement inspirés de la tradition liturgique de la vallée du Nil et du personnage d’Ousiré (Osiris) comme l’a fait observé Hérodote qui fréquenta les berges du Nil vers 450 av. l’E.E. Pour dire « pomme » le latin utilise indistinctement les termes « pomum » ou « malum »; c’est de ce deuxième terme, « malum », que dérive malus signifiant malce qui est mauvais. Ainsi, trouve-t-on curieusement la Connaissance identifiée à ce qui est mauvais; une impossibilité si l’on adopte le point de vue de la tradition kémite qui vérifie l’accession au divin par les moyens de la science et du rationalisme et non ceux de l’ignorance et du dogme comme semblent le suggérer les religions de la foi.

Pour les religions de la foi, « Lucifer » est le prolongement du Serpent qui, par l’image de la pomme, apporte la Connaissance, c’est-à-dire la Lumière au couple Adam-Ève. Ce rôle, en soi, n’a rien d’inédit puisque Prométhée le tient dans ce qui deviendra la mythologie grecque. En effet, Prométhée est le Titan qui apporte le savoir divin, le feu sacré de l’Olympe, c’est-à-dire la lumière, à l’Humanité, et qui doit pour cela souffrir d’une perpétuelle punition en ayant le foie dévoré chaque jour par un aigle ou un vautour; le foie en effet, est l’un des organes humains ayant cette capacité de se régénérer tout seul après une lésion. Zeus maudissant Prométhée c’est le dieu biblique maudissant le Serpent pour les mêmes motifs; le foie rongé par l’aigle c’est la foi rongée par la Connaissance. L’Aigle ou le Vautour c’est l’emblème de la Connaissance absolue dont l’ignorance est la quotidienne proie.

Prométhée a le foie rongé par un aigle. Le Serpent est le symbole de l’initiation.

Devenir un Ousiré (Osiris) est l’ambition de tout Kémite; et le Serpent est l’adversaire, l’épreuve que le Kémite doit travailler pour atteindre ce noble objectif. La Connaissance est le gain de cette quête, mais la Connaissance est d’une jouissance divine, le joyau gardé par le Dragon, le secret qui donne la vue et qui, une fois révélé, condamna le Serpent et Prométhée à des souffrances sans fin. « Le dragon est le gardien du temple. Sacrifie-le, écorche-le, sépare la chair des os et tu trouveras ce que tu cherches » dit le manuscrit alchimiste 2.327 (Marcellin Berthelot, Les Origines de l’Alchimie, p.58). Cette recommandation s’inscrit dans la pure tradition ancestrale kémite qui place la Connaissance au bout du cheminement vers la Divinité et contredit l’idée de foi omniprésente chez les peuples abrahamiques.

L’Histoire atteste d’un fait qu’il faut maintenant préciser : c’est seulement tardivement, et par un développement romanesque qui n’a rien à voir avec l’orthodoxie même, que l’image de Satan, dont nous avons à plusieurs reprises précisé le contour, fut associée à celle de Lucifer.

Lucifer est le nom que les Romains donneront à Éosphoros, « le porteur de lumière de l’est/de l’aurore », ou Phosphoros, « le porteur de lumière », dieu de la mythologie grecque qui fut associé à Vénus, l’Étoile du matin, l’étoile du Berger. Rappelons qu’en réalité « Lucifer » n’est pas un nom mais un qualificatif pour la divinité, car on trouve ce terme associé à des déesses telles qu’Aurore, Artémis ou Hécate qui sont des « Lucifer », des « Porteuses de Lumière » ; le personnage de Jésus, dans les premiers temps du Christianisme, portait lui aussi le titre de Lucifer, appelé Christus verus Lucifer [1], c’est-à-dire Christ levéritable porteur de lumière, la forme nominative « véritable » suggère qu’il avait des concurrents au moment de sa formation, en l’occurrence ces déités grecques et romaines que le Christianisme, sous la plume de Constantin Ier, viendra bannir des habituelles dévotions.

Vénus, « Lucifer », « le porteur de lumière », est la planète qui annonce l’éminence du jour puisqu’elle précède, à l’horizon oriental, le Levé ou la Naissance (la Résurrection) du Soleil. Vénus est aussi appelée « Noctifer », « le porteur de nuit » au moment de la tombée de la nuit. Vesper,HesperusNocturnus, sont des noms qui lui sont appliqués, indiquant par là sa nature double en tant qu’étoile du matin et étoile du soir.

Démeter, Triptolème et Persephone (Mystère Éleusis). Triptolème, divinité consacrée à l’agriculture, est généralement représenté assis sur un chariot ailé (le char du Soleil), portant le pétase (chapeau rond à bord large et plat figurant le soleil), un sceptre et parfois des épis de blé. On le montre généralement accompagné de Déméter et de Perséphone. Déméter est celle qui, chez les Romains deviendra Cérès. Perséphone, quant à elle, deviendra Proserpine dans les mystères de Rome. Dans le Mémoire sur les instruments d’agriculture des anciens, M. Mongez rappelle que : « la charrue est l’instrument le plus utile aux agriculteurs. (…) Le nom de son inventeur est inconnu; les écrivains anciens en nomment plusieurs, et placent leur naissance en diverses contrées. (…) Les Égyptiens, le plus ancien peuple dont les Grecs et les Latins nous aient conservé des souvenirs précis, disaient qu’Osiris avait inventé la charrue. Servius l’atteste dans ses scholies sur le vers 19 du premier livre des Géorgiques : Les uns l’attribuent à Triptolème, les autres à Osiris; ce qui paraît plus vrai. Isidore s’exprime de même : Quelques uns disent qu’Osiris inventa le labourage; d’autres nomment Triptolème. Tibulle parle d’Osiris seul. » (M. Mongez, Mémoire sur les instruments d’agriculture des anciens in Histoires et Mémoire de l’Institut Royal de France, pp. 616-617).

Dans les Mystères d’Éleusis, c’est Hécate, c’est-à-dire Lucifer, qui accompagne Déméter dans l’Hadès une torche à la main, à la recherche de Perséphone, la fille de la Déesse enlevée par Hadès, le dieu des Enfers. La place de Lucifer dans les Mystères d’Éleusis revient à celui ou celle qui éclaire le jeune myste dans sa quête et lui permet d’accéder à la Connaissance. Nous retrouverons plus tardivement cette idée dans la quête des œufs de Pâques, les œufs ayant le rôle de Coré, l’autre nom de Perséphone, enlevé par Hadès, ou celui d’Ousiré (Osiris), démembré et éparpillé par Seth aux quatre coins du « Jardin » qui tient lieu et place des Deux-Terres. Cette scène liturgique à caractère initiatique était rejouée chaque année par les prêtres et les initiés sur les berges du Nil qui, torches à la main, se retiraient dans les sanctuaires consacrés à Aseta (Isis) aux heures du soir et reparaissaient à minuit, annonçant que la Vierge avait enfanté. Georges Frazer revient sur cette tradition : « Les fidèles se retiraient dans certains sanctuaires secrets d’où ils sortaient à minuit en poussant un cri strident : La Vierge a enfanté! La lumière croît! Les Égyptiens se représentaient même le soleil nouveau-né par l’image d’un petit enfant qu’ils montraient à ses adorateurs le jour de sa naissance, au solstice d’hiver » (Georges Frazer, le Rameau d’Or, tome 2). Coré ou Perséphone, la fille de Déméter, la Proserpine des Romains, c’est Ousiré (Osiris) et Hor (Horus) réunis dans un même symbole : l’œuf. 

Hécate porteuse de lumière. La couronne figure les rayons du Soleil. La couronne fut d’épines d’acacia avec Ousire; dans les litanies Ousire est appelé « Seigneur aux épines d’acacia ». Ce symbole et sa signification sera repris par le Christianisme avec le personnage de Jésus.

L’origine de l’œuf associé aux célébrations de Pâques est établie comme suit : « La légende d’Osiris fut encore pour l’œuf un motif de vénération pour les croyants de l’Égypte, note Eugène Dognée. Du germe producteur du monde, jusqu’aux naissances humaines, l’œuf exprimait l’apparition de la vie. On conta qu’Osiris était né dans l’étroite prison d’une coquille d’œuf. Les pontifes déduisirent de ce récit que l’objet symbolique rappelant l’origine merveilleuse du Dieu devait lui être consacré et constituait l’offrande la mieux choisie » (Eugène M.-O. Dognée, Bulletin et Annales de l’Académie d’Archéologie de Belgique, p. 512).

Fawzia Assaad apporte des précisions rapportées à la Passion d’Ousiré (Osiris). L’auteure Égyptienne note : « le cercle de la vie et de la mort s’exprimait dans la tragédie d’Osiris comme le corps mystique du Dieu, lui-même représenté sous la forme d’un cercle. Quand Seth tua Osiris, il disloqua ses vertèbres en plusieurs endroits, fléchit ses jambes, força la tête entre les cuisses, l’enchaîna dans des cordes, l’enveloppa d’un linceul et donna au corps la forme d’un œuf, d’un très grand œuf. Osiris renaîtra de son œuf et l’œuf deviendra symbole de résurrection. Dans le rituel du mois de Khoïak, à Dendérah, on donnait à l’image d’Osiris Sokaris la forme d’un œuf et on l’enveloppait de feuille de sycomore – symbole de la déesse Nout – pour qu’il naisse de nouveau (Fawzia Assaad, Préfigurations égyptiennes de la pensée de Nietzche, pp. 51-52). Ceci explique encore pourquoi la tradition des œufs de Pâques fut premièrement portée par la chrétienté Copte comme l’atteste du reste le Bulletin et Annales de l’Académie d’Archéologie de Belgiqueau chapitre consacré à l’origine de cette pratique, elle fut dans la continuité des rituels du mois de Khoïak consacré au Grand Noir pendant les millénaires qui précèdent la naissance des religions de la foi.

L’on ne peut traiter d’un tel sujet, en l’occurrence de la fête de Pâques, sans mentionner une différence de symbole constatée entre le Judaïsme et le Christianisme : la Pâque juive célébrant la Sortie d’Égypte, et les Pâques chrétiennes célébrant la Résurrection du personnage de Jésus. Quoiqu’en apparence différente, la symbolique de ces deux célébrations est la même, il s’agit d’une naissance. La traversée des eaux bibliques doit être associée à la traversée du liquide amniotique au moment de la naissance, tout comme la sortie de la grotte du personnage de Jésus est celle de la sortie du sein maternel, la grotte faisant invariablement référence à la mère, la Vierge.

Sur l’aspect historique de la Sortie d’Égypte tel que rapporté par la Bible, nous avons, par bien des aspects, démontré son impossibilité au regard des faits et établi les éléments qui la font correspondre à une fable initiatique; nous n’y reviendrons donc pas. Et l’on retrouve encore trace de cette tradition initiatique de la traversée avec les récits mythologiques des peuples kémites qui mettent en scène la traversée d’un fleuve ou d’un arbre, les deux symboles renvoyant invariablement à la figure du sein maternel. C’est le cas des Baoulé avec la reine Pokou ou celui des Ekañ avec Mani Tsogo, le modèle du Moïse biblique. En outre, cette correspondance se trouve confortée par le fait bien établi que l’autre nom de la reine Pokou est Aura, ce qui la met directement en lien avec l’Aurora des Romains, c’est-à-dire Éos, l’Aurore, dont nous avons par ailleurs établi l’identification avec la planète Vénus. La grotte, quant à elle, que l’on retrouve avec le personnage de Jésus, est aussi présente dans les traditions kémites antérieures à tout contact avec le Christianisme et ses missionnaires. Les grottes kémites présentent les mêmes aspects que la grotte biblique, l’association au sein maternel; ce qui atteste d’une origine traditionnelle commune que nous situons dans la Vallée du Nil. Pâque se dit la fête du passage dans la tradition hébraïque; il s’agit du passage du Soleil des signes inférieurs aux signes supérieurs tel qu’énoncé par le Zodiaque de Dendérah à Kemet.

Coupe du Zodiaque de Dendérah (Temple d’Ousire à Denderah)

Ceci étant posé, on se rend bien compte que la quête des œufs de Pâques est une adaptation ultérieure de la quête d’Aseta consacrée au corps d’Ousiré (Osiris), ou celle de Déméter consacrée à Coré, la matière perfectible.

Éosphoros, fils d’Éos et modèle du Lucifer romain, est au fondement de la fête de Pâques, car « Pâque », « Easter » en anglais, dérive du nom « Éos » désignant l’Est, là où le Soleil re-naît.

Le lièvre et l’oeuf sont les symboles de la Pâque. Suivant la légende, Éostre, à la fin de l’hiver (Équinoxe du printemps), trouva un oiseau blessé qu’elle métamorphosa en lièvre pour lui sauver la vie. Les oeufs de Fabergé furent offert aux Tsars de Russie, ces derniers les destinant à leur épouse pour les célébrations de la Pâque. Le caducée est suggéré sur cet oeuf.

Éostre, divinité saxonne dont l’emblème est le lièvre, n’est autre qu’Éos, l’aurore de la tradition romaine, l’Aura de la tradition Baoulé. Laura est le nom latin pour Laurier, symbole solaire, attribut d’Ousiré (Osiris) et d’Apollon, lui-même étant une figuration grecque d’Hor (Horus), fils d’Ousire. Avec l’œuf, le lièvre est le symbole de la fête de Pâques.

[1] Laurent Vissière, Historia Spécial n°98, page 6.

 par Amenhemhat Dibombari

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YAYA ANGELIKA LA FEMME-PLANTE

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Mon corps se dresse bien droit et solide, tel le tronc de cet Arbre que rien ne vient déranger.

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Ces racines font maintenant UN avec la Terre, Mère Nourricière (=Mama Ntoto, Ma Mandombe Kali)qui m’abreuve d’une énergie paisible, sereine et bienfaisante.

Remontant le long de mes jambes à travers mes veines et mes artères, cette sève régénératrice circule partout dans mon métabolisme.

Elle nettoie et purifie chacun de mes organes, libérant ainsi toutes les toxines et les blocages qui s’y trouvaient. L’énergie de guérison parcourt toutes les parties de mon corps, de bas en haut, s’intensifiant dans ma poitrine et dans mon coeur.

Mes bras, tels les branches de l’Arbre, s’ouvrent pour laisser s’épanouir mes sentiments et mes émotions, comme autant de feuilles doucement ballotées par le vent.

Dans ma tête, je laisse fleurir des pensées de joie, de reconnaissance et d’allégresse envers cette vie nouvelle qui coule en moi.

Mon Esprit se vide de toutes pensées négatives pour simplement accueillir cette sève magique qui donne maintenant naissance à des bulles d’amour envrers moi- même et l’univers qui vit en moi.

Je sens la Lumière du Soleil (= Ntemo wa Ngue Ntangu) caresser ma peau, illuminant mon être tout entier qui vibre désormais au rythme des saisons.

 Je suis moi – même Lumière ( =Ntemo), mes cheveux étant comme des milliers d’antennes, de semences captant l’Energie du Cosmos (=Wisu wa Mahanza).

Et en reprenant contact avec la réalité, je sais que ces semences feront naître à chaque instant les fruits d’un bonheur inestimable et ce, pour le reste de ma vie. 

Texte écrit par Yaya Angelika Kesa mu Nzila Kongo

 SOURCE: http://mbutamassee.afrikblog.com/archives/2012/03/18/23789353.html

LA KORA, FABULEUX INSTRUMENT DE MUSIQUE AFRICAIN

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La KoraLa Kora est un instrument de musique à cordes traditionnel africain, plutôt d’Afrique de l’Ouest : Sénégal, Mali, Mauritanie, Gambie, Guinée … C’est l’instrument par excellence des Djelibas (« communicateurs » traditionnels).

Selon la légende, la première Kora était l’instrument personnel d’une femme-génie qui vivait dans les grottes de Kansala en Gambie. Impressionné et ému par la musique de l’instrument, un grand chef de guerre, Tiramakhan Traore, décida d’en déposséder la femme-génie. Aidé de ses compagnons de chasse, il récupéra l’instrument qui échut à Djelimaly, le  djeliba du groupe. Djelimaly la transmit à son fils Kamba. Et ainsi elle passa de pères en fils.

La kora est constituée d’une grosse demi-calebasse de 40 à 60 cm de diamètre, évidée et percée d’un trou de 10 cm de diamètre et décorée plus ou moins richement. Elle est recouverte d’une peau de vache, de bœuf, de cerf ou de daim, parcheminée tendue mouillée, qui sert de table d’harmonie et dont dépend l’ampleur du son.
Le manche long d’environ 1 m 20 à 1 m 40 assure la liaison entre les principaux éléments vibrants de la kora (cordes et calebasse) et est fait traditionnellement d’une longue pièce de bois de vène appelée guénou ou guéni (palissandre du Sénégal).

Les cordes de la kora (à l’origine en fibres d’écorces de baobabs) reposent sur un grand chevalet en bois, maintenu sur la peau par la seule pression des cordes dont le nombre est généralement de 21.
Cependant, on rencontre parfois des koras équipées de 22 à 28 cordes, notamment en Casamance au Sénégal, et il existe même un modèle spécial de 32 cordes.

La plus grosse des cordes est appelée bajourou, ce qui signifie la mère-corde. Les boyaux d’autrefois ont été aujourd’hui remplacés par du fil de pêche de différents diamètres (de 0,5 mm à 2,40 mm – les cordes les plus basses sont parfois des tresses de fils de diamètre inférieur), voire des cordes de harpe chez les koristes professionnels. Les cordes sont traditionnellement accrochées au manche par des anneaux en peau de vache (ou de bœuf), serrés autour de celui-ci. Aujourd’hui, des chevilles en bois à friction ou des clés mécaniques (type guitare) peuvent équiper les koras afin de faciliter leur accordage. À l’autre extrémité, les cordes sont reliées par de la drisse à un cordier en passant par un chevalet en bois qui assure la liaison mécanique entre les vibrations des cordes et la peau.

On en joue debout ou assis, l’instrument devant soi, le manche bien en face, à hauteur des yeux. On empoigne les bulkalamo des deux mains et on joue avec les doigts (pouces et index) des deux côtés du chevalet, comme pour une harpe.

De grands artistes ont popularisé cet instrument, on peut citer Lamine Konté, qui est le griot qui a le plus popularisé la musique mandingue, Djelimady Sissoko, Toumani Diabaté, Ballaké Sissoko, Soriba Kouyaté,sekou kouyate le jimi hendrix de la kora ,Ba Cissoko, Foday Musa Suso ou des virtuoses de la nouvelle génération tel Ali Boulo Santo qui a rajouté des pédales d’effets (wah wah, flanger…) sur son instrument, ainsi que Djeli Moussa Diawara, qui a 32 cordes à son instrument, sans oublier Ousmane Kalil Kouyaté, Kandia Kouyaté, du groupe Kanjha kora, et Zoumana Diarra, qui a 44 cordes à son instrument.
Une nouvelle approche de la kora, qui prend ses racines dans les travaux des moines de l’Abbaye de Keur Moussa (Sénégal), est principalement incarnée par le Frère Dominique Catta, moine de Keur Moussa, et par le compositeur français Jacques Burtin. Le Frère Dominique Catta a introduit la kora dans la liturgie chrétienne à partir des années 1970 ; avec lui, la harpe africaine a dialogué pour la première fois de son histoire avec des instruments occidentaux. Jacques Burtin, tout en prolongeant ces acquis, a également introduit la kora dans le monde de la création artistique contemporaine (dialogue avec les arts plastiques, création interdisciplinaire, musiques de scène).

Voilà, maintenant vous savez tout sur ce fabuleux instrument de musique africain qui ne peut pas vous laisser indifférents !

Par Beauty of africa

THÉRAPIE QUANTIQUE ET PROCESSUS DE GUÉRISON

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La thérapie quantique propose un nouveau regard sur la guérison. Il est aujourd’hui reconnu l’existence d’un champ d’énergie qui reflète l’activité biolumineuse des cellules du corps.

Découvrons ensemble comment ce processus de guérison s’explique grâce à la thérapie quantique. Découvrons comment le guérisseur pratique une réelle thérapie quantique.

Le champ d’énergie et le pouvoir bénéfique des mains.

Le physicien Fritz Albert Popp a démontré que les cellules émettent une lumière très ténue mais cohérente. Cette lumière est un véritable langage cellulaire qui assure la régulation des mécanismes vitaux du corps. EIle permet à l’énergie de circuler librement et sans entrave.
Cet équilibre permet au corps d’être dans une santé optimale avec un minimum d’usure.

Lorsque cet équilibre biolumineux se perturbe, la circulation est amoindrie et il se crée une usure plus importante dans le corps. Cet usure se manifeste par une modification subtile du rayonnement qui va progressivement se développer en une maladie si la qualité du rayonnement n’est pas rétablit. Heureusement, le guérisseur est en mesure d’augmenter l’organisation du champ d’énergie d’un partenaire. Cette capacité s’explique par le fait que le guérisseur et en mesure d’emmagasiner une bioluminescence qu’il va ensuite retransmettre a son partenaire.

La scientifique Justa Smith a démontré que le transfert d’énergie effectué par un guérisseur tend à améliorer l’homéostasie (équilibre) du corps. Cette habileté du guérisseur explique les nombreux effets bénéfiques du transfert d’énergie qui ont été mesurés par la recherche scientifique.

Bénéfices du transfert d’énergie

Les bienfaits du transfert d’energie sont nombreux. Il a en effet été démontré que le transfert d’énergie induit un état de relaxation permettant :
• la relaxation du corps ;
• le ralentissement du métabolisme ;
• une respiration plus lente et plus profonde ;
• la diminution de la consommation d’oxygène ;
• le ralentissement de la pulsation cardiaque ;
• une réduction de la tension musculaire et du taux de lactate sanguin ;
• un changement des ondes cérébrales qui passent d’ondes bêta en ondes alpha.

écoute imaginaireIl a aussi été démontré que le transfert d’énergie accélère le processus naturel de guérison en :
• renforçant le système immunitaire ;
• accélérant la cicatrisation des plaies et des fractures ;
• augmentant le taux d’hémoglobine ;
• favorisant un sentiment de bien-être qui stimule le système immunitaire ;
• équilibrant l’activité enzymatique et la réparation des enzymes endommagés ;
• diminuant le niveau d’anxiété, de stress et des symptômes associés ;
• soulageant la douleur ou en modifiant la perception de celle-ci ;
• améliorant le bien-être de personnes en phase terminale.

Bien évidemment les effets thérapeutiques d’un soin sont plus importants que ceux décrits ci-dessus mais je souhaitais simplement vous proposer un résumé des bienfaits qui ont été mesurés par la science. Nous allons maintenant approfondir notre compréhension des mécanismes physiologiques permettant à un processus de guérison de prendre forme.

Le transfert biolumineux organise les liquides biologiques

Plusieurs équipes de chimistes de l’Institut de Biométéorologie Médicale de la Faculté de Médecine de Mila ont démontré que certaines personnes douées d’un pouvoir d’émission énergétiques pouvaient influencer sans contact direct la structure de l’eau. Cette eau transformée se composerait d’une plus grande concentration d’ions et d’enzymes.

Des recherches ont démontré que l’eau intracellulaire des cellules cancéreuses serait beaucoup moins structurée que celle des cellules normales. Il est donc possible de conclure que le transfert d’énergie effectué par le guérisseur organisera la structure de l’eau permettant à l’organisme de mieux fonctionner. En outre, le cerveau ayant comme principale composante l’eau, il est certes possible que le guérisseur influence le cerveau.

D’autres recherches proposent que l’énergie émise par le guérisseur augmente le pouvoir de communication entre les cellules. Ils émettent l’hypothèse que les cellules possèdent des composantes semi-conductrices très conductrices qui seraient donc très sensible à l’émission énergétique du guérisseur. Il est possible que le guérisseur augmente l’organisation de l’eau du corps tout en favorisant la communication entre les cellules.

Le pouvoir de l’intention

L’intention est fondamentale dans tout travail de guérison. La prière en étant l’expression la plus évidente. L’intention aurait la capacité de transmettre une information précise au champ d’énergie. Par exemple, le docteur Laskow a démontré qu’il était possible d’inhiber la croissance des cellules cancéreuses de culture de l’ordre de 18 % par la simple utilisation de l’intention. Il augmenta ce résultat à un taux de 40 % en associant une deuxième intention à la première Cette intention avait pour but d’équilibrer le taux de croissances des cellules à un niveau normal.

Le guérisseur peut également combiner l’intention au transfert d’énergie afin d’augmenter son pouvoir de guérison Il a en effet été démontré que le traitement intentionnel associé à ce qui est communément appelé l’imposition des mains a eu pour effet de réduire les effets de substances antibiotiques sur des bactéries. Il est donc clair que l’intention de guérir peut influencer positivement la santé. Le guérisseur a donc tout avantage à la combiner à un soin énergétique.

Mais comment expliquer que l’intention peut influencer positivement la vie.

Une recherche à l’aide d’un appareil servant à enregistrer les ondes du cerveau sur des magnétiseurs et leurs patients confirme qu’il y a une réelle connexion qui s’établit entre le thérapeute et le patient. Il a été observé que les ondes cérébrales du soignant et de la personne soignée tendent à s’harmoniser à mesure que le soin s’effectue. Cette connexion serait en quelque sorte le pont permettant au thérapeute de se syntoniser à son patient. Il est possible de croire que cette fameuse connexion permettrait au guérisseur d’accéder au champ d’énergie de son partenaire. Il aurait ainsi une voie d’accès pour transmettre des intentions qui influencerait son champ d’énergie.

Depuis le début des temps, on attribue au guérisseur une habileté à utiliser l’énergie de l’amour. Cette connexion que le guérisseur peut créer est sans nul doute une expression d’une énergie d’amour pleine de compassion se localisant dans le chakra du cœur. Cette habileté du guérisseur se produirait lorsque celui-ci dissipe ses frontières corporelles pour voyager dans le champ d’énergie de son partenaire. Il pourrait alors se syntoniser à l’énergie de son partenaire afin d’influencer par une intention positive son champ d’énergie.

En utilisant le décodage intuitif, le guérisseur peut non seulement se syntoniser à l’énergie de son partenaire mais il peut aussi comprendre la raison d’être des déséquilibres et ainsi identifier une intention qui répondra parfaitement aux besoins de ceux-ci. Le guérisseur intuitif sera donc en mesure d’effectuer un soin qui sera davantage en harmonie avec les besoins de son partenaire.

Pour expliquer ce que perçoit le guérisseur intuitif et comment il peut influencer le champ d’énergie d’un partenaire, il est nécessaire d’aborder la thérapie quantique. Elle propose l’idée que le cerveau fonctionne comme un hologramme dans lequel on retrouve l’ensemble des possibilités virtuelles pouvant se manifester tant dans le domaine psychique, émotionnelle que physique. Ces possibilités virtuelles se créent selon notre histoire de vie et les programmations que l’on produit à notre insu. Elles sont perçues par le thérapeute intuitif sous la forme d’événements du passé ou de potentiels non actualisés. Je crois qu’il est possible par décodage intuitif de percevoir ces réalités virtuelles et que l’on peut ainsi comprendre les croyances et programmations que l’on s’inflige. Par l’intention il est possible d’interagir avec ces énergies afin de leur donner ce qu’elles sont besoin pour les libérer de leurs programmations favorisant ainsi un équilibre. Je crois qu’il est donc possible d’influencer les réalités virtuelles de façon à ce que le champ d’énergie puisse davantage être en harmonie avec l’essence profonde de son être.

La physique quantique tend à prouver que l’espace est une matière vivante, vibrante et intelligente. C’est un champ d’énergie qui unifie tout l’univers (la divine matrice), avec lequel nous inter-réagissons à chaque instant de notre vie par les pensées que nous entretenons et les sentiments que nous ressentons.

En comprenant le langage de l’émotion humaine qui nous permet de communiquer avec ce champ, nous avons le pouvoir de guérir les maux qui nous affectent aussi bien personnellement que collectivement.

La vidéo suivante de Gregg Braden, un apôtre de la nouvelle science (que d’autres appellent la physique quantique),   met en évidence les effets des fréquences sur une goutte d ‘eau. On la soumet à des fréquences (donc des vibrations) de plus en plus élevées. Regardez ce qui se passe !

La goutte d’eau vibre aux fréquences qu’elle « entend » en dessinant des formes géométriques. Plus les fréquences sont élevées plus elle prend des formes géométriques organisées, belles et complexes.

Incroyable! les retombées de ces observations sont considérables : sachant que nous sommes composés à 70% d’eau, imaginez les effets des ondes vibratoires sur chacune de nos molécules d’eau, donc de tout notre corps.

Or, non seulement la musique est un ensemble de fréquence mais les pensées, les paroles, les personnes, les couleurs, les formes ont également une fréquence plus ou moins élevée.

Le Dr Emoto (il est en fait docteur en médecine alternative) utilise une technique pour mettre en évidence le concept de « mémoire de l’eau ».  Elle consiste à faire geler de l’eau et à photographier les cristaux formés dans une molécule d’eau soumises à diverses vibrations: de la musique comme Mozart, Bach ou Beethoven,des prières, des pensées de haine ou d’Amour…

Regardez la différence :

 

Voyons maintenant une application on ne peut plus concrète de toutes ces études avec un maître de Chi-lel Qi Gong qui a travaillé avec des hôpitaux en Chine pendant plus de huit ans, et traité avec succès plus de 180 maladies différentes.

Dans la vidéo que je vous présente, vous allez assister en temps réel à la disparition d’un polype cancéreux de la vessie par l’utilisation de l’énergie vitale du Qi et du prâna (principe vital du souffle).

 Sur le côté gauche de l’écran une image fixe de la tumeur, sur le côté droit de l’image, l’image de la tumeur en temps réel.

 

C’est hallucinant : la tumeur disparait sous vos yeux pendant que les thérapeutes chantent un mot-clé qui a été choisi par le patient et les thérapeutes, mot-clé qui signifie qu’il est déjà guéri et que c’est déjà accompli.

L’explication : une fréquence élevée (le Qi qui s’appuie sur l’esprit de la divine matrice) dissout la matière (la tumeur) qui n’est qu’une solidification d’une fréquence plus basse.

SOURCE: http://www.meditationfrance.com/archive/2014/0706.htm

QUI ÉTAIT RAFAEL CORDERO ?

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Rafael_CorderoRafael Cordero (1790 – 1868), reconnu comme « le père de l’éducation publique à Porto Rico » était un autodidacte qui a donné une éducation gratuitement à des enfants, peu importe leur race et leur statut social.
Rafael est né à San Juan d’une famille pauvre, de parents afro-descendants. Son amour pour la littérature et sa détermination d’enseigner lui ont poussé à s’éduquer tout seul et finir par enseigner l’école primaire.
Vers la fin du XIXème siècle, Rafael a ouvert une école à domicile, gratuite pour les enfants, peu importe leur race, dont les parents n’avaient pas les moyens de payer les frais scolaires autre part. Cordero a maintenu son école pendant 58 ans dans la rue Luna à San Juan. Il enseignait les mathématiques, la lecture, la calligraphie, et plusieurs autres matières. Parmi ceux qui ont étaient ses élèves, il y a Román Baldorioty de Castro, Alejandro Tapia y Rivera et José Julián Acosta. Il a été récompensé par un club qui lui a offert 100 pesos, la moitié il l’utilisa pour acheter des livres et des habits pour ses élèves et l’autre moitié il la donna à des sans-abris. L’amour et le respect qu’avaient les portoricains étaient plus qu’évident, puisque plus que plus de 2000 personnes sont allés à ses funérailles en 1868. Les honneurs et hommages à son écart sont nombreux. Le poète portoricain José Gualberto Padilla a publié un poème intitulé “El maestro Rafael” en hommage à l’enseignant, en 1890 un artiste a peint un portrait de Rafael, l’école primaire où Rafael enseignait a été rénové par le gouvernement de Porto Rico et est reconnu en tant que site historique. Plusieurs écoles portent son nom, dont une école secondaire à San Juan, une école primaire à Aguadilla, une école primaire au New Jersey, et une école secondaire à Brooklyn.


LE BARRAGE DE LA RENAISSANCE, LA PLUS GRANDE CENTRALE HYDROÉLECTRIQUE D’AFRIQUE

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hydro-grand-millenium-dam-620x25011Le barrage sur le Nil Bleu devrait voir le jour en 2017 et produire 6.000 mégawatts d’électricité.

La plus grande centrale hydraulique d’Afrique devrait devenir opérationnelle d’ici à 2017. Construit en Ethiopie sur le Nil Bleu, à une trentaine de kilomètres du Soudan, le barrage de la Grande Renaissance est une promesse de prospérité pour ce pays, dont le PIB a crû de 10 % par an de 2005 à 2010 et de 7 % depuis, selon le FMI, et dont les besoins en électricité sont en hausse de 30 % par an. A terme, selon les autorités locales, il aura la capacité de produire 6.000 mégawatts et permettra au pays d’accroître ses exportations d’électricité vers ses voisins. (Soudan, Djibouti, mais aussi le Kenya, le Sud-Soudan et le Yémen). Les revenus de l’exportation d’électricité qui résulteront des nouveaux projets hydrauliques sont estimés à 2 millions d’euros par jour, soit 730 millions d’euros par an à partir de 2017. Une manne qui aidera à réduire le déficit commercial éthiopien qui atteint 9 milliards de dollars, car le pays importe beaucoup. « L’électricité est clef. Les Africains en manquent cruellement. Les Ethiopiens construisent leur barrage, les Kenyans ont investi dans l’éolien. A terme il faudra construire un réseau », observe David Cowan, économiste chez Citi spécialisé sur l’Afrique.

Le projet du barrage de la Grande Renaissance est réalisé au tiers. Il faudra compter 5 à 7 ans, selon l’organisation « International Rivers » pour remplir le réservoir qui pourra contenir 70 milliards de mètres cubes d’eau. Commencé en 2011, il a été financé par le gouvernement et par le peuple éthiopien comme par la diaspora, qui a souscrit à des obligations « barrage ». Le coût total est évalué à 4,7 milliards de dollars. Il a été dit que le gouvernement faisait pression pour que les citoyens (88 millions d’habitants), et notamment les fonctionnaires, achètent ces obligations. « Il n’y a pas de pression, assure Michele Ashebir Weldegabir, premier conseiller à l’ambassade d’Ethiopie à Paris, les Ethiopiens sont engagés parce qu’ils sont décidés à sortir de la pauvreté et accéder au développement ».

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/21/03/2014/LesEchos/21652-044-ECH_en-ethiopie–le-plus-grand-projet-de-barrage-du-continent.htm#3gW60xPm4304kjTx.99

L’ECRITURE MANDOMBE, UNE ECRITURE NEGRO-AFRICAINE

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Mandombe_wabeladio_payi_ecriture_500pxMandombe en kikongo veut dire « pour les noirs ».

Inventée par le Congolais Wabeladio Payi en 1978 à Mbanza Ngungu dans la province du Bas-Congo en RDC, l’écriture Mandombe renferme en son sein un ensemble de signes graphiques partant des réalités africaines. Elle est est une transcription correspondant aux systèmes linguistiques africains, qui permet à n’importe quelle langue négro-africaine de reproduire ses sons sans peine.

L’écriture Mandombe est gérée par le Centre de l’Ecriture Négro- Africaine (CENA), un centre qui a pour but d’apprendre l’écriture négro-africaine aux africains et à la diaspora africaine ; d’encadrer les personnes ayant appris l’écriture négro-africaine ; de vulgariser et promouvoir les connaissances linguistiques et scientifiques de l’écriture négro-africaine issues de l’Académie Mandombe.

Le C.E.N.A.

Le CENA est le centre pour l’écriture négroafricaine. Le CENA qui a pour but essentiel la vulgarisation et l’enseignement de l’écriture Mandombe, poursuit les objectifs suivants :

  • Apprendre l’écriture négroafricaine aux élèves des établissements d’enseignement primaire, secondaire et universitaire, aux adultes à travers un programme d’alphabétisation spécial, à la diaspora africaine et à toutes personnes désireuses.
  • Encadrer les personnes ayant appris l’écriture négroafricaine.
  • Vulgariser et promouvoir les connaissances linguistiques et scientifiques de l’écriture négroafricaine issues de l’Académie Mandombe.
  • Étudier et concevoir les mécanismes de réalisation des activités matérielles partant des connaissances issues de l’écriture négroafricaine.
  • Présenter des activités connexes liées à l’écriture négroafricaine.
  • Entretenir des liens de coopération avec le pouvoir public et les autres organisations ou organismes intéressés à la recherche dans le domaine des lettres, des sciences et des arts en vue de la promotion de l’écriture négro-africaine.
  • (extrait du site officiel du CENA).

LE MEILLEUR VIN BLANC DU MONDE EST SUD-AFRICAIN

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7e8640f066072e784a1165d9c1a83Chaque année, le Concours Mondial de Bruxelles réunit environ 200 dégustateurs et experts en vin pour juger des vins venus du monde entier, et établir un palmarès. Voici les résultats du concours 2015, qui a vu sacrés un vin d’Afrique du Sud et un vin italien, respectivement meilleur blanc et meilleur rouge au monde.

Meilleur vin blanc : Kleine Zalze Family Reserve Chenin Blanc 2013 (Afrique du Sud, Stellenbosch)

Qui a dit que le bon vin coûtait cher? Le Concours mondial de vin de Bruxelles a élu cette année un chenin blanc 2013 de la Réserve familiale de Kleine Zalze comme meilleur vin blanc du monde. La bouteille se vend dans le commerce à seulement 11,20 euros.

DANS SON LIVRE  » LA PREUVE DU PARADIS », IL EXPLIQUE QU’IL Y A UNE VIE APRES LA MORT

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vie-apres-la-mortAvons-nous une âme? Y a-t-il une vie après la mort? Depuis les débuts de l’histoire, la vie après la mort a été expérimentée par d’innombrables personnes qui sont revenues raconter leur histoire. Le compte-rendu le plus remarquable est celui vécu de première main par le neurochirurgien (pendant 25 ans) formé à Harvard, le Dr Eben Alexander. Ceci n’est pas juste une de ces histoires de l’au-delà qui peut être balayée d’un revers de main comme si c’était une hallucination. Avant d’examiner les détails de son expérience de l’au-delà et à quel point ils défient toute explication scientifique, explorons un peu son récit.

Avant son expérience, il ne croyait pas en l’existence d’un esprit non physique. Ayant fait ses études dans le cadre de la médecine universitaire occidentale, et ses collègues médecins profondément investis dans une perspective matérielle de l’univers, il pensait que l’idée d’une âme était bizarre. Comme la plupart des « sceptiques », il croyait que les histoires de l’au-delà étaient des hallucinations ou des produits de l’imagination humaine.

Le Dr Alexander a changé d’avis après avoir été dans le coma pendant 7 jours à la suite d’une méningite bactérienne sévère. Pendant son coma, il a fait l’expérience d’un voyage intense dans ce qu’il savait être l’au-delà, en visitant des espaces célestes et d’autres moins paradisiaques.

Après être revenu dans son corps et avoir vécu une guérison miraculeuse contre toute attente, il a écrit le best-seller du New-York Times « La Preuve du Paradis » (Proof of Heaven). Ce que A, c’est que notre vie ici ne serait qu’un test pour aider nos âmes à évoluer et à croître, et que la façon dont nous y parvenons c’est de nous comporter avec amour et compassion. Voici quelques autres remarques surprenantes qu’il a faites:

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– L’expérience de l’au-delà était si « réelle » et vaste que l’expérience de la vie en tant qu’un humain sur Terre semblait un rêve artificiel en comparaison.

Le tissu de l’au-delà était de l’AMOUR pur. L’amour dominait l’au-delà à un tel degré que la présence globale du mal était infiniment minuscule. Si vous souhaitez connaître l’Univers, connaissez l’Amour.

– Dans l’au-delà, toute communication était télépathique. Il n’y avait pas besoin de mots parlés, ni même de la séparation entre le moi et tout ce qui se passe autour de nous. Toutes les questions que vous posiez dans votre esprit obtenaient immédiatement une réponse télépathique aussi.

Quand on lui demande ce qu’il veut que tout le monde sache sur le domaine spirituel, il répond toujours que vous êtes infiniment précieux et aimé plus que vous ne pouvez l’imaginer.  Vous êtes toujours en sécurité. Vous n’êtes jamais seul. L’amour inconditionnel et parfait et Dieu ne néglige pas une seule âme.

« L’amour est, sans aucun doute, la base de tout. Pas une sorte d’amour abstrait, insondable, mais l’amour quotidien que tout le monde connaît, celui que l’on ressent en regardant notre conjoint(e) ou nos enfants, ou même nos animaux. Dans sa forme la plus pure et la plus puissante, cet amour n’est ni jaloux, ni égoïste, mais inconditionnel.

Telle est la réalité des réalités, la vérité des vérités incompréhensible et magnifique qui vit et respire au coeur de tout ce qui existe ou existera jamais, et il n’est absolument pas possible de comprendre ce que nous sommes ou qui nous sommes si nous ne connaissons pas cette vérité et si nous ne la ressentons pas profondément dans nos corps et dans toutes nos actions. »

Parlons maintenant crédibilité une minute. Qu’est-ce qui rend cette expérience tellement plus significative que d’autres récits d’expérience de mort imminente (EMI)? Le néocortex d’Eben était complètement hors d’état de fonctionner pendant la durée de son coma dû à sa grave méningite bactérienne, il n’y a donc aucune explication scientifique éclairant ce qu’il a vécu. En fait, il réfute 9 explications scientifiques éventuelles dans son livre.

Sources:
New York Times
La Preuve du Paradis par le Dr. Eben Alexander
Spirit Science And Metaphysics

Acheter le livre ici:

[YONAGUNI] LES PREUVES D’UNE CIVILISATION ENGLOUTIE IL Y A 12 000 ANS !

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Le site de Yonaguni au JaponLe monument de Yonaguni (与那国島海底地形/遺跡, Yonaguni-jima kaitei chikei/iseki?, littéralement « relief/vestige sous-marin de Yonaguni-jima ») est découvert lors d’un repérage en 1985 par un tour opérateur en plongée sous-marine, Kihachiro Aratake dans les eaux claires de Arakawa Point, à la pointe sud de l’île Yonaguni dans l’archipel japonais Ryūkyū. Cette énorme structure de pierre qui semble être mégalithique est pourvue d’immenses terrasses interrompues par de très grandes marches angulaires et de très grandes parois à l’apparence lisse. La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25 mètres de haut. Il faudra au moins dix ans pour que les médias relatent la découverte.
I. Ruines dans l’océan
Remettre en cause le point de vue sur l’histoire humaine.

Des études montrent que les scientifiques estiment actuellement que la terre est née il y a 4.6 milliards d’années. Les primates préhominiens ne sont pas apparus avant l’ère du Pléistocène, au Quaternaire du Cenozoique, c’est à dire l’Age Glaciaire, il y a environ 1.8 millions d’années. Si l’on se base sur l’étude des fossiles, quelques scientifiques pensent que les activités sociales et la culture n’ont pas émergé avant l’Holocène, il y a prés de 12000 ans, durant le déclin et la fin du dernier âge glaciaire. Donc, durant les 7000 années suivantes, ces cultures n’auraient apparemment pas évolué davantage et seraient demeurées à l’Age de Pierre. Des traces d’écrits et de symboles sont apparus pour la première fois il y a prés de 5000 ans. On se réfère à l’ère précédant cette époque comme à la période préhistorique.

Pourtant, au grand étonnement des scientifiques, de plus en plus de reliques préhistoriques découvertes au fond des océans remettent en cause ce point de vue. Les architectes de ces vestiges sous marins avaient non seulement des connaissances architecturales et artistiques ingénieuses, mais montraient aussi des signes de civilisation avancée. De plus, ils avaient leur propre forme d’écriture et étaient capables de construire des structures pyramidales. La technologie actuelle indique que cette région était sous le niveau de la mer depuis 10,000 ans ou plus. Il est ainsi manifeste que cette civilisation avancée a existé pendant la période préhistorique, longtemps avant la Période Néolithique.

Une ville immergée sous l’océan – Des ruines aux alentours de l’’Ile Yonaguni au Japon

À la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les Iles Ryukyu, il y a approximativement un demi-siècle, des plongeurs ont trouvé des ruines de constructions artisanales dans l’océan. Le site comprenait une structure de forme carrée couverte de corail, une plate-forme géante avec des bords et des coins, ainsi que des rues, des escaliers, et une construction en voûte. On pourrait dire que les ruines ressemblaient à un autel dans la vieille ville. Cela couvrait prés de 200 mètres d’ouest en est, et prés de 140 mètres du nord au sud. Son point le plus haut s’élevait à prés de 26 mètres.
En 1986, des plongeurs locaux ont nommé cette cité sous-marine  » Aire de Plongée des Ruines Sous-marines  » Cela a fait beaucoup de bruit au moment où les médias l’ont rapporté. Peu de temps après cette découverte, l’Université de Ryukyu a créé une  » Equipe d’Exploration d’Archéologie Sous- marine  » (UAET), et s’est embarquée dans un projet de recherche de huit ans. Sous la mer au sud-est des Iles Shihuan et dans les régions alentours, bien d’autres ruines ont été découvertes, y compris une construction faite de pierres, une structure ressemblant à une grotte entourée de piliers, une statue de tête humaine, une voûte, et des statues géométriques de tortues. La découverte la plus surprenante étant les « Hiéroglyphes  » gravés dans un mur de pierre et laissés par une civilisation ancienne laissant supposer qu’il s’agissait d’une culture humaine très avancée.

Vu d’en haut, il y a des rues et des terres arables entourant les ruines. La ruine la plus grande était de 100 mètres de long, et de 25 mètres de haut, et était construite avec des rochers géants. D’après le UAET de l’Université de Ryukyu, un modèle produit par ordinateur a montré que l’endroit aurait été l’autel d’un temple ou les anciens se rassemblaient et tenaient des cérémonies cultuelles. Il y avait deux grottes entourées à moitié de piliers au nord du temple. Les archéologues pensent qu’elles pourraient être un endroit où l’on se baignait avant une cérémonie. Il y avait une porte voûtée à l’est du temple avec deux rochers géants se chevauchant l’un l’autre. Le haut montrait des trous rectangulaires faits par l’homme dans les rochers. Les rochers auraient été façonnés par des machines et utilisés comme pierres angulaires de la ville.

De plus, sous l’océan, aux alentours de la très connue  » Lishenyan » du sud- est de L’Ile Yunaguni, une statue de tête humaine de plusieurs pieds de haut a été découverte. Les caractéristiques faciales peuvent être clairement discernées. Plus tard, prés de la statue de tête humaine géante, des groupes de hiéroglyphes ont été découverts. Ceci indique que les constructeurs des ruines sous-marines appartenaient à une civilisation hautement avancée.
Le professeur Masaaki Kimura est professeur de géologie à l’Université de Ryukyu. Il a déclaré lors d’une interview en septembre 1999 que l’on pouvait clairement voir qu’il s’agissait de constructions faites par l’homme. Il y avait des rues, des escaliers à angle droit avec des trous ronds dans le rocher apparemment prévus pour l’insertion de piliers de pierre, etc. La découverte de la statue de tête humaine et des hiéroglyphes était particulièrement convaincante compte tenu que les ruines au sud de L’île Yonaguni tirent leur origine d’une civilisation préhistorique.
Incroyables pyramides
D’importantes découvertes ont également été faites à l’Ouest de l’île. En 1990, des plongeurs ont découvert une pyramide géante faite de rochers. Cette pyramide était de 183 mètres de largeur, et de 27.43 mètres de hauteur ; Elle était construite avec des rochers rectangulaires, et avait 5 niveaux. Il y avait aussi plusieurs petites constructions tout prés ressemblant à la pyramide géante. De telles mini pyramides se composaient de couches de pierre, avec des largeurs de prés de 10 mètres et une hauteur de prés de 2 mètres

Les géologues de l’Université de Ryukyu, impliqués dans cette étude ont conclu qu’il s’agissait de constructions faites par l’homme, et qu’elles n’avaient pas une origine naturelle. Autrement, il y aurait un tas de pierres du à l’érosion, mais pas une seule pierre n’a été trouvée. De plus, il y avait des vestiges ressemblant à des rues entourant la pyramide, ce qui indique aussi que ce n’était pas un résultat naturel. Des plongeurs géologues de l’Université de Boston aux États Unis ont découvert que les escaliers géants étaient construits avec des séries de couches de rochers d’un mètre de haut, qui ressemblaient à des pyramides avec des escaliers. Bien que l’on puisse émettre l’hypothèse qu’une telle structure ait été formée par des rochers brisés par l’érosion de l’eau, des éléments d’escaliers aussi bien taillés, résultant d’un processus naturel, n’ont jamais été trouvés.
Selon un professeur de géologie de l’Université de Tokyo, la région a du sombrer il y a prés de 10.000 ans, c’est à dire, lors de la dernière période glaciaire. Cependant, d’après les compréhensions scientifiques modernes, les êtres humains étaient encore primitifs, tuant les animaux pour manger. Il est improbable qu’ils aient été capables de construire de telles structures ressemblant à des pyramides. Quelques personnes pensent que ce serait le fait d’une culture inconnue. On pourrait se demander si une telle civilisation avancée et prospère a réellement existé autrefois. Ces ruines sous-marines n’existent qu’au Japon ? La réponse est non.
Le curieux mur de l’ancienne ville aous marine de Hujing à Penghu, Taiwan

Selon les rapports d’anciennes Archives du Conté de Penghu : « Si l’on regarde de très haut au-dessus de Hujing, on peut voir une longue ligne de remparts sous la mer. On l’appelle habituellement le  » La profonde piscine de Hujing. » En 1982, des plongeurs professionnels ont trouvé l’emplacement précis de la ville engloutie de Hujing.

L’ancien mur était en forme de croix. Les mesures au compas montrent qu’il indique avec exactitude les directions nord-sud et ouest-est à angle droit. Le mur fut principalement construit en pierre de basalte et était recouvert d’algues. Il avait environ 160 mètres d’ouest en est, et environ 180 mètres du nord au sud. Il est épais d’environ 1.5 mètres dans sa partie supérieure et d’environ 2.5 mètres dans sa partie inférieure. Certaines parties sont inégales à cause de l’érosion, cependant les interfaces entre les pierres sont très serrées. Au nord, il y a une construction ronde en forme d’assiette. Le diamètre du mur extérieur est de prés de 20 mètres, avec un mur intérieur de prés de 15 mètres.

Quelques personnes pensèrent alors que la cité engloutie était en réalité une extension de Huljing s’enfonçant dans la mer. Cependant, les recherches des géologues indiquèrent que si le mur était formé de rochers naturels, il aurait été intact et d’une seule pièce. D’un autre coté, s’il était de la main de l’homme, il devrait avoir des parties distinctes. De plus, si le mur est très long et droit, il est très probablement construit par l’homme. Spécifiquement , les pierres sont toutes de tailles similaires, avec des angles droits, et un enduit entre les pierres. De même, les endroits creux sur le mur étaient en forme de croix, avec des interfaces plates et lisses. Ceci correspond totalement aux standards de construction d’aujourd’hui.

Graham Hancock est un écrivain anglais reconnu dans le monde entier pour ses ouvrages(Les Empreintes des Dieux) . En août 2001, lui et sa femme ont rejoint des chercheurs chinois et japonais pour explorer cette région. Il a expliqué que les pierres de la cité sous-marine engloutie sont clairement différentes des structures de pierres naturelles, en faisant plus probablement une construction d’origine humaine. Il a dit avec assurance :  » La nature ne fabrique pas de telles structures, contrairement aux structures faites par l’homme ou une grande attention est donnée à de tels détails.  » Apparemment, les pierres de la cité sous-marine engloutie de Hujing sont positionnées exactement du nord au sud, et de l’ouest à l’est. Ces pierres ont aussi des surfaces plates et lisses ; Elles sont alignées de façon si serrée que seul un fin couteau peut s’infiltrer entre les joints. L’opinion de Hancock est que ceci vient de la main de l’homme et ne peut pas être un produit naturel.

Hancock a aussi dit qu’il y a actuellement un modèle établi dominant dans la société humaine.Cependant, ce modèle dominant échoue à expliquer les découvertes archéologiques récentes. Les structures actuelles et les structures préhistoriques sont elles connectées d’une façon ou d’une autre ? En fait, l’histoire actuelle ne réussit pas à expliquer les anciennes civilisations. Ce sont des indices qui nous parlent d’elles. En d’autres termes, il est très probable que ces découvertes, telles que la ville sous-marine Hujing et d’autres similaires, contiennent les preuves cachées de civilisations humaines passées.

Ruines dans le Triangle des Bermudes et structures sous-marines dans les Bahamas.

En 1958, quelques scientifiques américains ont découvert d’étranges structures durant leurs études sous-marines dans les eaux entourant les Iles Bahamas. Ces constructions constituent des motifs géométriques spécifiques, s’étendant en ligne droite sur plusieurs miles. Dix ans plus tard, des murs de pierre géants, 400-500 pieds de long, ont été trouvés tous prés. Les extensions formaient un angle droit exact avec le mur principal. Le mur était composé de rochers géants de plus de 30 centimètres carrés. Plus tard, des plateformes plus complexes, des routes, des ports, des ponts, et autres ont été identifiés. Les ruines entières étaient arrangées comme un port.

De plus, les scientifiques européens ont découvert, durant les recherches sous-marines dans le Triangle des Bermudes, une pyramide géante auparavant inconnue. La pyramide était de 300 mètres de coté, et 200 mètres de hauteur. Il y avait deux trous géants dans la pyramide, qui étaient de toute évidence de facture humaine. L’eau de mer se ruait à l’intérieur de ces deux trous, créant un tourbillon géant et un vortex tout prés. Cela rendait aussi la surface de l’eau trouble. Il est difficile d’estimer quand cette pyramide a été construite. C’était il y a plus de dizaines de milliers d’années lorsque la terre s’enfonça dans la mer.
L’existence de civilisations préhistoriques

La terre n’était pas ainsi à ses débuts. Elle a connu un nombre incalculable de changements de croûtes, de volcans, d’inondations, d’ères glaciaires, et ainsi de suite. La terre telle qu’elle apparaît aujourd’hui a expérimenté une myriade de changements. Considérons l’ « Ancienne Terre Prés de l’Eau « comme un exemple. Cet endroit est profond de 2600 mètres, et à seulement 90 kilomètres du Golfe du Japon. Cependant, il y a 67-25 millions d’années, elle s’élevait au-dessus de l’Océan Pacifique, à quelque 120 kilomètres à l’est des Iles du Japon. Donc, il n’est pas difficile d’imaginer que si une civilisation a existé pendant la période préhistorique, des catastrophes naturelles et des ré alignements géographiques aient pu changer le paysage,et que seulement quelques vestiges aient pu être préservés sous la mer.
La légendaire civilisation de Mu

A la fin du 19eme siècle, le colonel anglais James Churchward était en service de garnison en Inde.Il eut la chance d’ obtenir l’inscription Naccal d’un prêtre d’un temple hindou. Elle était dans un langage très curieux. Après plusieurs essais, Churchward et un moine très connu déchiffrèrent l’histoire une grande civilisation préhistorique. En 1926, Churchward publia un livre, Le Dernier Continent au sujet de la civilisation de Mu.
L’emplacement du continent Mu

Selon l’inscription, le Continent Mu était localisé dans l’Océan Pacifique. Mu était une grande et prospère civilisation, qui avait une littérature avancée, des arts, des compétences habiles, et qui avait aussi développé des machines. Les gens à cette époque avaient de merveilleuses compétences dans les constructions et étaient capables de construire des constructions géantes, des pyramides, des monuments de pierre, des châteaux et des routes. On a dit que des routes de pierre soignées et ordonnées et des canaux ont été découverts dans la capitale et dans les toutes les autres grandes villes. Tous les murs brillaient et étaient décorés avec de l’or. Les gens vivaient une vie somptueuse. Les habitants du Continent Mu étaient de bons navigateurs marins. On a dit qu’ils avaient voyagé sur tous les océans. Ils avaient même développé un empire colonial puissant. A cette époque, le Continent Mu était considéré comme « le sommet de la culture mondiale.

Cependant, le prospère Continent Mu a disparu. On dit qu’il a été englouti sous les eaux après une catastrophe soudaine. La terrible tragédie a commencé avec une violente éruption volcanique, suivie par de violents tremblements de terre et des ouragans. Tout est arrivé en même temps. La lave volcanique a jailli, associée à de forts tremblements de terre. La terre a ondoyé comme des vagues et le feu ainsi que de la fumée épaisse a rempli le ciel. Tout s’est effondré comme un jeu de cubes, et a immédiatement été recouvert par la lave et l’eau de mer. Sans aucun avertissement, le Continent Mu tout entier a sombré dans l’Océan Pacifique.

Les gens peuvent penser que cette histoire est une légende. Cependant, vu sous un autre angle, nous pouvons voir la possibilité de l’existence d’une civilisation humaine.

Les reliques sous-marines fournissent des témoignages clairs de l’existence de civilisations préhistoriques. Cependant, il est difficile de trouver de telles découvertes dans les manuels. Les archéologues et les historiens modernes n’aiment pas remettre en cause les connaissances historiques existantes puisque ce serait incompatible avec les théories établies. Nous pensons toutefois que ce n’est qu’une question de temps pour qu’anthropologues et historiens changent leurs notions acquises et acceptent les vérités historiques.

Video : http://www.mystere-tv.com/la-mysterieuse-structure-sous-marine-de-yonaguni-v2786.html

Source : http://www.mysteredumonde.com/article/Yonaguni-Les-preuves-dune-civilisation-engloutie-il-y-a-12-000-ans-_4426.html

 

LA SAGESSE VIVANTE DE L’EGYPTE ANCIENNE

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51TDBHK63GL._ » Celui qui connaît la réalité, les mythes et les rituels  » : tel se présente le sage égyptien au coeur vigilant, capable de satisfaire Dieu et les dieux parce que son existence entière repose sur la connaissance et non sur la croyance. Accomplir ce qui est droit, rechercher l’excellence en toute chose, ne jamais fuir ses responsabilités, vénérer ce qui est plus grand que lui sont quelques-uns des devoirs quotidiens du sage. C’est parce que la civilisation égyptienne a su créer des êtres de cette trempe qu’elle a vaincu le temps, la barbarie, les envahisseurs et la folie destructrice. Malgré les coups qui lui furent portés, cette sagesse continue à rayonner, à nous toucher. Et c’est elle, sans doute, qui constitue le véritable secret des anciens Egyptiens. Egyptologue passionné, romancier célèbre (sa série sur le pharaon Ramsès II a connu un immense succès), Christian Jacq nous présente les plus beaux textes de la sagesse égyptienne : paroles de pharaons illustres ou de scribes anonymes, inscriptions profanes ou religieuses, elles nous invitent à plonger dans l’éternel mystère de l’Egypte ancienne pour trouver nos propres sources et, qui sait, une forme de paix et d’harmonie intérieures face à l’agitation du monde d’aujourd’hui.

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LA GLOIRE DES IMPOSTEURS : LETTRES SUR LE MALI ET L’AFRIQUE

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L’intervention massive de l’armée française au Mali en janvier 2013 a suscité en Afrique un fort sentiment de reconnaissance à l’égard de la France : une véritable lame de fond, expliquant à la fois ces milliers de drapeaux français brandis par des jeunes Maliens dans les rues et l’invitation de François Hollande au récent sommet de l’Union africaine. Des intellectuels africains de grand renom n’ayant jamais été suspects de la moindre complaisance à l’égard de la Françafrique ont approuvé, après moult contorsions mentales il est vrai, l’opération Serval. Ce n’est pas le cas des deux auteurs de cet ouvrage, Aminata Traoré et Boubacar Boris Diop. La brillante sociologue et essayiste malienne échange des lettres avec le romancier sénégalais, connu pour sa rigueur intellectuelle et engagé avec elle, depuis des décennies et en parfaite complicité, dans les mêmes combats politiques. Ils évoquent en premier lieu la crise actuelle au Mali, véritable cas d’école, annonçant davantage une ferme reprise en main néoimpériale de l’Afrique subsaharienne que sa seconde indépendance. Ce dialogue permet aux auteurs de partager leurs réflexions sur les guerres actuelles de l’Occident hors de ses frontières, ainsi que sur la Côte d’Ivoire, la Libye ou l’énigmatique printemps arabe. La forme de l’échange de lettres donne au lecteur l’impression d’une discussion de vive voix entre deux penseurs africains qui lui semblent alors familiers. En ce sens, il ne s’agit pas ici d’un essai classique à quatre mains mais plutôt d’un livre à lire et à écouter.

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CE QUE LES NOIRS ONT IGNORÉ (PARTIE 2)

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Argument numéro 5 : De l’origine du nom « Héraclès »

Héraclès (Hercule), le héros légendaire de la mythologie grecque tient son nom construit à partir du radical hr. Ce nom, habituellement traduit parla « Gloire d’Héra » offre une autre compréhension si l’on approche précisément la traduction du nom « Héra », la déesse du Ciel. Héra, forme féminine de Hesus, est le latin qui traduit la « maîtresse de maison ». Il correspond au Neb Hwt (Nabintou), de la tradition nilotique,la « maîtresse du palais », la « maîtresse du château »,celle que les Grecs nomment Nephtys. Le suffixe clès de kléos quant à lui, signifie « gloire », « éclat ». Héra, tout comme Horus, est une divinité associée à la lumière. Charles Ploix revient sur cet aspect dela déesse : « les rapports d’Héra, avec Hestia, avec Héphaistos, avec Prométhée, témoignent de son caractère de divinité lumineuse. On sait qu’Hestia et Héphaistos passaient aux yeux de toute l’antiquité pour représenter le feu,c’est-à-dire la lumière. Prométhée en était l’inventeur. Or, Hestia était la sœur d’Héra, en même temps qu’elle était sœur de Zeus. Suivant certaines légendes, Prométhée était le fils d’Héra et du Titan Eurymédon. Dans Hésiode,Héphaistos est le fils d’Héra et de Zeus, fruit tardif d’amours qui avaient duré pendant trois cents ans. Ces prétendues généalogies ne sauraient porter atteinte à la conception primitive de la déesse; elles ne prouvent qu’une identité de nature entre les ascendants et les descendants. Ils sont de la même famille, parce qu’ils sont de la même espèce. Comme première manifestation de la lumière, Héra est l’aînée des filles de Kronos. Parmi les nombreuses épithètes d’Héra que nous connaissons, celles de (en grec dans le texte,Homère, passim.), (en grec dans le texte,Iliad. XIII, v. 396), (en grec dans le texte, Hesych.),contiennent le radical op qui exprime l’idée de voir, d’éclairer. D’autres surnoms attribuent à la déesse un caractère de beauté qui n’appartient qu’aux dieux de la lumière » (La Nature des dieux…, p. 242). 

Bien que les épithètes mentionnées par l’auteur soient présentées en alphabet grec dans le texte, le radical opsouligné par Ploix peut être retenu comme celui qui sert à former le vocable « Aithiops », « visage brûlé »,que l’auteur fait correspondre à voir,éclairer. Ceci permet d’associer l’étymologie d’Héra au visage, à laface, au Soleil. Ainsi compris,« Héraclès » signifierait certes la Gloire d’Héra, mais d’abord le« Visage Glorieux », le « Brûlé Glorieux », la « Tête Glorieuse », la « Tête Auréolée », etc., ce qui le rapproche de la figure d’Horus comme l’atteste par ailleurs les études conduites par Martin Bernal et les similitudes établies entre les deux personnages. Héraclès et les divinités de la tradition grecque paraissent en Éthiopiens sur les vases grecs à figures noires, les premières représentations des héros de la mythologie grecque. Ce qui permet d’établir le canon artistique initial qui aura fait sortir ces héros des hymnes et poèmes psalmodiés par les aèdes de la Grèce antique.

Argument numéro 6 : De l’origine du nom« Jésus »

Aussi certain est le lien que j’établis entre le nom du personnage biblique de Jésus et la locution kémite hr. Comme on l’a vu, Héra est la forme féminine de Herus. Herus a le sens de « maître de maison » et se construit à partir du rhotacisme et radical (h)esus signifiant bonnoblemaître. Le rhotacisme en latin désigne la transformation du r en s, phénomène courant depuis les guerres puniques. Le radical hr offre une forme du même sens, hry, « maître », attesté en Medu Neter, et qu’A. Moussa Lam fait correspondre au Pulaar huuri, « qui est au-dessus », hoore, « tête », « chef » (Les Chemins du Nil, p. 116). Plusieurs langues, dont l’espagnol, forme une correspondance phonétique entre le h et le y comme dans hedera (lierre) qui devient yedra, ouherba (herbe) yerba, etc. C’est sur ce modèle phonétique que Hesus deviendra YesusIesousIesu’ah, etc., que l’exégèse biblique veut traduire par « Dieu sauve » sans expliquer d’où provient le « Dieu » et le« sauve ». Au demeurant, l’allusion au Salut n’échappe pas à la figure d’Horus appelé Hr-Shd, « Horus-le-Sauveur ». Shddevient Sadiesu, offrant le même sens, forme vocalisée encore usitée aujourd’hui en Afrique centrale (Congo). Ce terme, Sadiesu, correspond au Sèshad égyptien, d’où le nom Horus-Shed, Horus-le-Sauveur (Telema, p.357).

Cette correspondance peut aussi être complétée par le terme « rabbi »,signifiant « maître », qui distingue le personnage biblique de Jésus dans le récit qui lui est consacré. « Rabbi », forme longue de rab, « maître », est un synonyme pour noir. En effet, rab dérive de la racine« sémitique » (h)ara qu’on retrouve dans l’hébreu arabi(Arabe). Le même radical forme l’Erèbe (erebos) grec, région infernale (inferno :en-dessous) synonyme denoirceur, d’obscurité, de ténèbresOn le trouve aussi dans l’Aras de l’Islam, le Séjour des Bienheureux

Une remarque avec le personnage biblique de Jésus permet de voir que le vocatif« messie » qui l’habille en certains passages provient directement de la locution kémite ms qui a le sens de mettre au jourengendré,naître, etc., comme dans uhemmesout, « le renouvellement des naissances » (la Renaissance), nom d’Horus du pharaon Amenhemhat 1er (Hr Whm-msw.t, « l’Horus qui renouvelle les naissances »). Ce terme ms, est à l’origine du nom « Moïse »,« Moses », « Moussa », l’enfant « tiré des eaux », comme Horus lui-même fut, d’après la tradition, élevé dans les eaux du marais de Chemmis; il s’agit bien évidemment d’une allusion à la perte des eaux qui précède la naissance, le liquide amniotique. 

Le mot Galilée, disent les dictionnaires, est construit à partir du radical « indo-européen » ghel– qui signifie « briller ». Le même radical qui,d’après les mêmes dictionnaires (Félix Gaffiot, Dictionnaire Latin Français)forme leholus  latin, « briller ». Or, ghel- est le même radical pour GaloNgalaNgaloGhanaetc., et offre le même sens, « briller ». Galilée c’est le « Pays de Ngalo ou Galo, Gali, etc. ». Rappelons, pour édification, que le Pays de Canaan fut originellement peuplé par des Noirs sortis d’Afrique et que le territoire où vivent des populations mélanodermes est toujours nommé par elles en fonction de leur couleur de peau, qu’il s’agisse de Kemet, de l’Inde, de la Gallia (la Gaule), du pays de Galles, de la Galice, etc, comme nous le verrons bientôt. L’antériorité des Noirs au Pays de Canaan est attestée depuis les travaux sur le Natoufien effectués par Miss Garrod.

« Le Christ avait donné rendez-vous à ses disciples, lors de sa résurrection, en Galilée. Les exégètes de la Bible se divisent sur l’interprétation de cette donnée. La tradition dite occidentale veut que le Christ soit apparu dans la province de Galilée. La tradition orientale fait était d’un Mont Galilée, situé à Jérusalem, et où les Galiléens se réunissaient; c’est sur ce mont que le Christ serait apparu aux apôtres » écrivent Robert Ricard et Bernard Pottier dans l’article À Propos du Portugais Galilée (Bulletin Hispanique). 

L’expression « le Galiléen » désigne directement Horus au motif que son nom même NgalaNgalo,Galo, etc., soutient cette étymologie, à l’exclusion de toutes autres possibilités car, comme nous l’avons dit, la catégorie « indo-européen » est une catégorie nébuleuse qui cache en réalité une ascendance africaine vérifiable dans ses radicaux. Le savant Italien Galilée (Galileo), par ce fait, tient nécessairement d’une ascendance familiale kémite car son nom signifie « Noir » sur le modèle des familles Maures qui auront subjugué l’Europe pendant des siècles.

par Amenhemhat Dibombari

LE SECRET DES SECRETS

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Tiré d’un texte apocryphe biblique de Nag Hammadi, ce discours entre Hermès Trismégiste (Djehouty-Thot) et son fils est révélateur pour celui qui à des yeux pour voir et le discernement pour comprendre…

Djehouty-Thot (Hermès) était assimilé au VERBE ( comme le sera ensuite appelé Jésus-christ). D’après un texte d’EDFOU qui relate sa naissance « Thot  créa le monde par le Verbe ». 

Voici ce texte:

FILS: Mon père, tu m’as promis hier de conduire mon intellect jusque dans l’Ogdoade et de me conduire ensuite moi-même jusque dans l’Ennéade. Tu as dit : c’est l’ordre de la tradition.

HERMÈS: Oui, mon enfant, c’est bien l’ordre ; mais la promesse fut faite selon la condition humaine. Je te l’ai bien dit dès que j’eus commencé de te faire cette promesse ; je te l’ai dit, si tu t’en souviens, à chaque degré.

Quand j’eus reçu l’Esprit grâce à la Puissance, je te transmis l’énergie : car, si l’intellection relève de toi, c’est en moi, pour ainsi dire, que la Puissance est conçue. En effet, lorsque j’eus conçu par la source qui coule en moi, je l’engendrai.

FILS: Mon père, tu m’as bien exposé chaque propos. Pourtant, je suis déconcerté par ce propos que tu as tenu à l’instant. Tu as dit en effet : « c’est la Puissance qui est en moi ».

HERMÈS: Je l’ai engendrée comme on engendre les enfants.

FILS:  Ta parole est vraie ; désormais elle ne prête plus à contradiction. Ô mon père, commence le discours de l’Ogdoade et de l’Ennéade, et compte-moi aussi au nombre de mes frères.

HERMÈS: Prions, mon enfant, le Père du Tout, avec tes frères qui sont mes fils, afin qu’il dispense l’Esprit, et que je parle.

FILS: Comment prie-t-on, mon père, en union avec les descendances ?…

HERMÈS: Mon enfant, …cela n’est ni une nécessité ni une loi…

FILS:…Suivant ce qui a été dit, prions tous deux, mon père.

HERMÈS: (récitant une sorte de préface liturgique) 
Mon enfant, il convient que, de toute notre pensée, de tout notre cœur et de toute notre âme, nous priions Dieu, et lui demandions 
que  le don de l’Ogdoade s’étende jusqu’à nous, et que chacun de nous reçoive par là ce qui lui est propre : 
À toi il appartient de saisir par l’intelligence, et à moi de pouvoir exprimer le discours grâce à la source qui coule en moi.

FILS: Prions, mon père.

(Hermès et son fils, ensemble) 

Je t’invoque, toi qui es Celui  qui domine sur le royaume de la Puissance,

Celui dont le Verbe se fait naissance de lumière, et dont les paroles sont immortelles, éternelles,  inaltérables !

Celui dont le vouloir engendre la vie manifestée en tout lieu, et dont la nature donne forme à l’essence !

C’est de Lui que se meuvent  les âmes de l’Ogdoade et les anges.
Car c’est Lui dont le Verbe s’étend vers chacun de ceux qui existent;
Sa Providence parvient jusqu’à chacun dans le Lieu.

Il engendre chacun, lui qui a partagé l’Éon entre les Esprits.
Il a créé toutes choses, Lui qui est son propre contenant et soutient
tous les êtres en sa plénitude !

Dieu invisible, à qui l’on s’adresse en silence,
Dont l’image se meut en se gouvernant
Et se gouverne en se mouvant !

Puissant de la Puissance, 
Toi qui es plus grand que la grandeur,
Plus glorieux que les gloires 

Seigneur, accorde-nous une sagesse issue de ta Puissance 
parvenant jusqu’à nous, afin que nous nous fassions part mutuellement

de la contemplation de l’Ogdoade et de l’Ennéade.

Déjà nous avons atteint l’Hebdomade,
car nous sommes pieux, nous gouvernant dans ta Loi, et ta volonté, nous l’accomplissons toujours.

En effet, nous avons marché dans ta voie et nous avons laissé derrière nous la malice, afin que nous fassions advenir la contemplation.

Seigneur, accorde-nous la vérité dans l’image,
accorde-nous, par l’Esprit, de voir la forme de l’image qui est sans déficience ;
reçois de nous la réplique du Plérôme par notre action de grâces et reconnais l’Esprit qui est en nous.

Car c’est par Toi que le Tout a été animé ;
Car c’est de Toi, l’Inengendré, qu’est issu l’Engendré.

La génération de Celui-qui-s’engendre-lui-même se produit par Toi,
comme génération de tous les êtres engendrés.

Reçois de nous les sacrifices de discours 
que nous faisons monter vers Toi
de tout notre cœur et de toute notre âme et de toute notre force.
Sauve ce qui est en nous, 
Et donne-nous  la sagesse immortelle.

HERMÈS:  Je suis l’Intellect et je vois un autre Intellect qui met l’âme en mouvement… Je l’ai dit, ô mon enfant, je suis l’Intellect. J’ai contemplé ! Il est impossible à la parole de révéler cela. En effet toute l’Ogdoade, ô mon enfant, ainsi que les âmes qui sont en elle et les anges chantent des hymnes en silence. Mais à moi, l’Intellect, ils me sont intelligibles.

HERMÈS: Chante-la-moi donc, car je suis l’Intellect.

FILS: L’Intellect m’est intelligible,
Hermès, celui que l’on ne peut interpréter, car il se retranche en lui-même !
C’est pourquoi, il n’est pas de créature qui puisse être privée de ta vie.

Car c’est toi le Seigneur des citoyens en tout  lieu.
Ta providence est une sauvegarde.

Je t’invoque, Père, Éon des Éons, 
Esprit, Être divin,
Qui répands en esprit l’eau de pluie sur chacun !

Que  m’en dis-tu , ô mon Père, Hermès ?

HERMÈS: De cela, je ne dis rien, ô mon enfant : il est juste, en effet, devant Dieu, que nous taisions ce qui est caché.

FILS: Ô Trismégiste, ne permets pas que mon âme soit veuve de la contemplation, Être divin, car tu as pouvoir sur toute chose, comme maître de tout le Lieu !

HERMÈS: Reviens à  l’action de grâces, ô mon enfant, et exprime tout cela en silence. Demande ce que tu veux en silence.

(Le fils se recueille quelques instants en silence)

HERMÈS: Puisque tu as atteint le repos, vaque à l’action de grâces,  car tu as trouvé ce que tu cherchais.

FILS: Mais comment faut-il, ô mon Père, que je rende grâces, puisque mon cœur est plein à déborder ?

HERMÈS: Il te faut pourtant faire monter ton action 15 de grâces jusqu’à Dieu et qu’elle soit écrite en ce livre impérissable.

FILS: Je ferai monter l’action de grâces du fond de mon cour,
Pour prier le terme du Tout et le Principe du Principe,

L’immortelle découverte de la quête des hommes,
Celui qui fait naître la Lumière et la Vérité,
Celui qui sème le Verbe, l’amour de  la vie éternelle !

Nul discours caché ne saurait parler de toi, Seigneur !
C’est pourquoi mon intellect veut te chanter ses hymnes chaque jour.

Je suis l’instrument de ton Esprit, 
L’Intellect est ton plectre,
Et ton conseil joue sur moi un psaume.

Je me vois moi-même. 
J’ai reçu puissance de toi,
Car ton amour est venu jusqu’à nous.

HERMÈS:  Bien, ô mon enfant !

FILS:  Ô grâce ! 
Après cela, je rends grâces 
En te chantant une hymne,
Car j’ai été vivifié par toi, 
Quand tu eus fait de moi un sage.

HERMÈS: Ce livre, ô mon enfant, écris-le pour le Temple de Diospolis en caractères hiéroglyphiques en le dédiant à l’Ogdoade qui révèle l’Ennéade.

FILS: Je le ferai, ô mon Père, comme tu me le prescris maintenant. Ô mon Père, le texte du livre, l’écrirai-je sur des stèles couleur turquoise ?

HERMÈS: Ô mon enfant, ce livre, il convient de l’écrire sur des stèles couleur turquoise en caractères hiéroglyphiques, car c’est l’Intellect lui-même qui est devenu leur protecteur. C’est pourquoi, j’ordonne que ce discours soit gravé sur de la pierre et que tu le mettes à l’intérieur de mon parvis, sous la surveillance de huit gardiens et des Neuf du Soleil. Que les gardiens mâles, à droite, aient un visage de grenouille et les femelles, à gauche, un visage de chat. Place en outre une pierre de lait en dessous des tables couleur turquoise, qui soit de forme quadrangulaire et écris le Nom sur la table de pierre couleur saphir,  en caractères hiéroglyphiques. Ô mon enfant, tu placeras cette pierre lorsque je serai dans la constellation de la Vierge, et que le Soleil sera dans la première moitié du jour, quand quinze degrés m’auront dépassé.

FILS: Ô mon Père, toutes les paroles que tu dis, je les accomplirai avec zèle.

HERMÈS: Écris donc une imprécation sur le livre, afin que le Nom ne soit pas détourné à des fins mauvaises par ceux qui liront le livre et qu’ils ne luttent pas non plus contre les œuvres de la Destinée. Qu’ils se soumettent plutôt à la Loi de Dieu, sans l’avoir transgressée en rien, mais qu’avec pureté ils demandent à Dieu sagesse et gnose. Et quiconque  n’aura pas été tout d’abord engendré par Dieu, en usant des Leçons générales et des Leçons détaillées, ne pourra pas lire ce qui est écrit dans ce livre, bien que sa conscience soit pure en ce qui le concerne, qu’il ne commette rien de laid et n’y consente nullement. Cependant, parcourant chaque degré,  il entrera dans la voie d’immortalité et ainsi il parviendra à l’intellection de l’Ogdoade qui révèle l’Ennéade.

FILS: C’est ce que je ferai, ô mon Père.

HERMÈS: Voici l’imprécation :

« Je conjure quiconque lira ce livre saint,
Par le ciel et la terre, et le feu et l’eau,
Par les Sept Ousiarques
Et l’Esprit démiurgique qui est en eux,
Par le Dieu <In>engendré, 
Celui-qui-s’engendre-lui-même 
Et l’Engendré,
Qu’il respecte ce qu’a dit Hermès !

Quant à ceux qui respecteront cette imprécation,
Dieu se joindra à eux, 
Ainsi que tous ceux que nous avons nommés.
Mais ceux qui passeront outre à cette imprécation,
Que, sur la tête de chacun d’entre eux,
S’abatte la colère de chacun des (dieux sus nommés) ! »

Voilà qui est vraiment parfait, ô mon enfant.

 

WE WANT FREEDOM

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51PuSt-XwGL._Mumia Abu-Jamal participa à la fondation du Parti des Black Panthers, à Philadelphie, puis il travailla pour le journal national du Parti. Ici, il mélange souvenirs personnels et recherches érudites pour nous offrir une histoire inédite et attachante des Black Panthers. Abu-Jamal est un écrivain fécond, et probablement le prisonnier politique le plus connu au monde. Avec un esprit critique tranchant, il revisite l’une des organisations révolutionnaires les plus importantes de l’histoire américaine. Des universitaires se sont intéressés au Parti des Black Panthers; cependant, aucune approche de ce mouvement n’avait jamais été faite à ce jour par un chercheur qui l’avait connu de l’intérieur. Abu-Jamal, de manière rigoureuse et poétique, fait revivre le BPP. Il le situe dans son moment historique et nous met en relation avec les grandes figures révolutionnaires de l’époque, ainsi qu’avec les espoirs et les répressions féroces qui la caractérisent. Pour le lecteur d’aujourd’hui, l’histoire de la résistance des Panthers constitue une leçon essentielle, au moment même où le US Patriot Act attaque la liberté.

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SAWTCHE (SARAH BARTMAN OU LA VENUS HOTTENTOTE)

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542861_549949308362926_1664451647_nLa « Vénus hottentote », de son vrai nom Sawtche, est née en 1789. L’année de la Déclaration des Droits de l’Homme. Elle est fille d’un père khoisan et d’une mère bochiman. Remarquée pour les traits distinctifs de sa morphologie ― stéatopygie (fesses surdimensionnées) et macronymphie , Sawtche devient rapidement un objet de curiosité, mais aussi de convoitise. Esclave d’un riche fermier afrikaaner, la jeune femme attire le regard d’un chirurgien de la Royal Navy. En 1810, celui-ci décide de l’embarquer pour l’Europe, où les exhibitions d’êtres humains hors normes ou de sauvages exotiques sont à la mode. Arrivée en Angleterre, elle est baptisée du nom de Saartjie Baartman et erre de foire en cirque. Sous le surnom de Vénus hottentote. Avant d’être acheminée vers Paris, où elle devient un objet d’exposition des music-halls et des salons de la haute bourgeoisie. Sawtche meurt mysterieusement le 29 décembre 1815, à l’age de 25 ans dans la maison insalubre de Réaux, certainement de suite de mauvais traitements bien qu’on ai jamais cherché à en élucider les circonstances.Elle n’aura survécut que cinq ans à ce traumatisant contact avec l’Europe.
En mars 1815, Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, administrateur du Museum d’histoire naturelle et professeur à la chaire de zoologie, demande l’autorisation officielle de « profiter de la circonstance offerte par la présence à Paris d’une femme bochimane pour donner avec plus de précision qu’on ne l’a fait jusqu’à ce jour, les caractères distinctifs de cette race curieuse. » Du statut de bête « curieuse », la Hottentote Baartman Saartjie passe à celui de cobaye humain. Elle est exposée nue sous les yeux avides de scientifiques et de peintres. Le 1er avril 1815, Geoffroy Saint-Hilaire présente un rapport dans lequel il compare le visage de l’infortunée à celui d’un orang-outang. Et ses fesses à celles des femelles des singes mandrills.

Georges Cuvier, père de l’anatomie comparée, zoologue et chirurgien sous Napoléon Bonaparte, estime quant à lui que Saartjie est la preuve patente de l’infériorité de certaines races. Peu après la mort de Saartjie, il entreprend de la disséquer au nom du progrès des connaissances humaines. Le compte-rendu de son travail devant l’Académie de Médecine, en 1817, offre un témoignage exemplaire des préjugés et des propos à caractère raciste que pouvaient tenir les scientifiques de ce siècle. La conclusion de Cuvier est sans appel : « Les races à crâne déprimé et comprimé sont condamnées à une éternelle infériorité. »

Le squelette et un moulage en plâtre de Sartjie Baartman sont ensuite exposés au Musée de l’Homme à Paris, assortis des commentaires « scientifiques » de Cuvier. Les doléances des visiteurs eurent-elles raison de cet exhibitionnisme douteux ? Ou bien tout simplement la fin de l’ère colonialiste ? Le fait est qu’en 1974, André Langaney, directeur du laboratoire d’anthropologie du musée, fait retirer le corps de la vitrine où il est exposé, et le confie à l’obscurité des caves du musée.

En 1994, au lendemain de la fin de l’apartheid en Afrique du Sud, l’ethnie des Khoisan demande officiellement à Nelson Mandela que leur soit restituée la dépouille de Saartjie Baartman. Des premières négociations sont entreprises. Sans grands résultats. La France faisant valoir l’inaliénabilité, selon la loi, des collections nationales et l’intérêt scientifique de la dépouille. L’affaire dort dans les tiroirs bureaucratiques des diplomates tandis que le squelette de Saartjie continue à prendre la poussière dans les caves du Musée de l’Homme.

Ce n’est qu’en 2001 qu’un sénateur d’Île-de-France, Nicolas About, s’empare du dossier et interpelle à l’Assemblée le secrétaire d’État au Patrimoine et à la décentralisation culturelle de l’époque, Michel Duffour. Il dépose une proposition de loi visant à rapatrier le corps de la Vénus hottentote en Afrique du Sud. La presse s’empare à son tour de l’affaire, qui bénéficie de surcroît de l’émoi suscité par l’annonce du démantèlement du Musée de l’Homme au profit du Musée des Arts premiers. Après moult tergiversations, la proposition de loi est adoptée par le Sénat le 29 janvier 2002, un texte de loi transmis à l’Assemblée nationale le 30 janvier, adopté définitivement le 21 février et promulgué le 6 mars (Journal Officiel du 7 mars 2002), décidant la restitution officielle par la France de la dépouille de Saartjie Baartman à l’Afrique du Sud.

Ce n’est pas pour autant la fin des ennuis pour notre malheureuse Sawtche. Si la date de remise du corps est fixée au 29 avril 2002, il faut encore fixer une date pour l’inhumation et décider du rite de cette inhumation. Nouvelle brouille à la clé ! Un comité spécial est mis en place pour prendre toutes les dispositions nécessaires au bon déroulement de l’hommage national et des funérailles. Pendant ce temps, le cercueil de la jeune Khoisan attend patiemment à la morgue du Cap.

Le 9 août 2002, après une cérémonie œcuménique célébrée selon les rites khoisan et ceux de l’Église du Christ de Manchester (la jeune femme avait été baptisée dès son arrivée sur le sol anglais), Saartje Baartman est inhumée près du village de Hankey (Eastern Cape), en présence du président Mbeki et de nombreux dignitaires. Il aura fallu près de deux siècles à Saartjie pour trouver enfin le repos.

NATIONS NEGRES ET CULTURE

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Nation nègre et culture.1Avec quarante ans de recul on s’aperçoit que les grands thèmes développés dans Nations nègres et culture, non seulement n’ont pas vieilli, mais sont maintenant accueillis et discutés comme des vérités scientifiques, alors qu’à l’époque ces idées paraissaient si révolutionnaires que très peu d’intellectuels africains osaient y adhérer. L’indépendance de l’Afrique, la création d’un Etat Fédéral continental africain, l’origine africaine et négroïde de l’humanité et de la civilisation, l’origine nègre de la civilisation égypto-nubienne, l’identification des grands courants migratoires et la formation des ethnies africaines, etc., tels sont quelques thèmes principaux explorés par Cheikh Anta Diop, l’historien africain le plus considérable de ce temps.

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