LA PRÉSENCE Kamit au début du JAPON
Bien que la nation insulaire du Japon, occupant les extensions extrêmes orientales de l’Asie, est pris en charge par un grand nombre d’avoir été historiquement composé d’une population essentiellement homogène et de la culture, les preuves accumulées (dont une grande partie a été tout simplement ignorée) met le sujet dans une beaucoup éclairage différent, et si les besoins de l’étude beaucoup plus à faire sur le sujet, il semble incontestable que les Noirs dans le Japon a joué un rôle important dans les phases les plus reculées de l’Antiquité au moins dans le neuvième siècle.
Indications significatives de la présence africaine dans le Japon ancien ont été découverts dans les âges les plus reculés du passé japonais. Pour commencer, et comme un exemple significatif, un 15 Février, rapport de 1986 réalisé par l’Associated Press, la chronique de ce qui suit:
« La cabane la plus ancienne Stone Age au Japon a été mis au jour près d’Osaka …. archéologues jour de la cabane à environ 22.000 ans et dire qu’il ressemble les pirogues des bushmen africains, selon Wazuo Hirose de la préfecture d’Osaka de la division culturelle de l’Éducation.` Autre maisons, presque aussi vieux, ont été trouvés auparavant, mais cette découverte est importante parce que la forme est plus propre, mieux préservé »et est similaire aux Africains pirogues. »
En 1923, l’anthropologue Roland B. Dixon a écrit que «cette première population du Japon étaient principalement un mélange de proto-australoïde et Proto-types négroïdes, et donc semblable à l’ancienne strate sous-jacente de la population, vers le sud le long de la côte entière et tout au long de l’Indo-Chine, et au-delà de l’Inde elle-même. » Dixon a souligné que, « Au Japon, l’élément ancienne Negrito peuvent encore être discernés par les caractéristiques qui sont à l’extérieur en même temps et ostéologique. »
Dans son dernier texte, importante civilisation ou barbarie: une anthropologie authentique (publié à titre posthume en anglais en 1991), le brillant Dr Cheikh Anta Diop (1923-1986) a fait remarquer que:
«Dans la première édition de l’Organisation des Nations nègres et culture (1954), je posé l’hypothèse que la race jaune doit être le résultat d’un métissage du noir et blanc dans un climat froid, peut-être vers la fin du Paléolithique, il Upper période. Cette idée est largement partagée aujourd’hui par les chercheurs japonais et des chercheurs. Un scientifique japonais, Nobuo Takano, MD, chef de la dermatologie à l’Hôpital Hammatsu la Croix-Rouge, vient de développer cette idée en japonais qui sont apparus en 1977, dont il a eu la gentillesse de donner moi une copie en 1979, quand, en passant par Dakar, il a visité mon laboratoire avec un groupe de scientifiques japonais.
Takano soutient, en substance, que le premier être humain était noire; Noirs a ensuite donné naissance aux Blancs, et le métissage de ces deux a donné naissance à la race jaune; ces trois étapes sont en fait le titre de son livre en japonais, comme il il m’a expliqué. «
En ce qui concerne la linguistique, en 1987 l’ancien président sénégalais Léopold Sédar Senghor a noté que, «Les gens qui peuplent l’île du Japon d’aujourd’hui sont les descendants de Noirs …. Laissez-nous pas oublier que la première population du Japon était noir … et a donné au Japon leur première langue. «
SAKANOUYE no Tamuramaro: SEI-je TAI-SHOGUN DE DÉBUT DU JAPON
Parmi les personnes de race noire de début au Japon, le chiffre le plus pittoresque unique était Sakanouye pas Tamuramaro, un guerrier symbolise dans l’histoire japonaise comme un «parangon de vertus militaires», et un homme qui a capturé l’attention de quelques-uns des savants les plus éminents du XXe siècle en Amérique. Peut-être le savant première du genre à prendre note de Tamuramaro était Alexander Francis Chamberlain (1865-1914). Un anthropologue, Chamberlain est né en Kenninghall, Norfolk, en Angleterre, et a été porté à l’Amérique comme un enfant. En Avril 1911, le Journal of Development Course a publié un essai par Chamberlain intitulé «La contribution des Noirs à la civilisation humaine. » Tout en discutant de la présence africaine au début de l’Asie, a déclaré Chamberlain d’une manière franche et exceptionnellement question de fait:
« Et nous pouvons traverser l’ensemble de l’Asie et de trouver le nègre nouveau, car, lorsque, dans le lointain Japon, les ancêtres des Japonais modernes ont été faire leur chemin vers le nord contre les Aïnous, les aborigènes de ce pays, le chef de leurs armées était Sakanouye Tamuramaro, un célèbre général et d’un nègre. «
Dr W.E.B. DuBois (1868-1963), peut-être le plus grand érudit de l’histoire américaine, dans son livre, Le Nègre (d’abord publié en 1915), placé Sakanouye Tamuramaro dans une liste de quelques-uns des dirigeants les plus éminents et les guerriers noirs dans l’antiquité. En 1922, Carter G. Woodson (1875-1950) et Charles Wesley Harris (1891 -?) Dans un chapitre intitulé «Les Africains dans l’Histoire avec les autres», dans leur livre The Negro dans notre Histoire, cité in extenso sur Chamberlain Tamuramaro. En Novembre 1940 du Bulletin l’histoire des Noirs (fondée par le Dr Woodson), artiste et illustrateur Lois Maillou Jones (1905-1998) a contribué un bref article intitulé «Sakanouye Tamura Maro. » Dans l’article Jones a fait remarquer que:
« Le nombre probable de nègres qui a atteint les rivages de l’Asie ma estimer quelque peu par la vaste zone sur laquelle ils ont été trouvés sur ce continent. Les historiens nous disent qu’à un moment donné nègres ont été trouvés dans tous les pays d’Asie du Sud bordant l’Indien l’océan et le long de la côte Est jusqu’au Japon. Il ya beaucoup d’histoires intéressantes racontées par ceux qui ont atteint ce pays lointain qui, à ce moment-là qu’ils ont appelé `Cipango.
Un des personnages les plus éminents dans l’histoire du Japon était un guerrier noir appelé Sakanouye Tamura Maro. «
Des thèmes très similaires ont été exprimées en 1946 « Dans l’Orient,« la première section des nègres et Messieurs étranger, un livre écrit par Béatrice J. Fleming et Marion J. Pryde dans lequel était contenu un petit chapitre consacré à «Le général nègre du Japon – Sakanouye Tamurarmaro. «
En 1940, le grand Joel Augustus Rogers (1883-1966), qui a probablement fait plus pour populariser l’histoire africaine que tout érudit du XXe siècle, a consacré plusieurs pages du premier volume de son sexe et la race à la présence noire au début du mois au Japon. Il cite les études d’un certain nombre de chercheurs chevronnés et des anthropologues, et va même jusqu’à poser la question de « étaient les premiers Noirs japonais? » Dans les mots de Rogers:
« Il s’agit d’une souche très évident Negro dans un certain élément de la population japonaise, en particulier ceux du sud. Imbert dit:« L’élément nègre au Japon est reconnaissable par l’aspect négroïde de certains habitants à la peau foncée et souvent noirâtre, crépus ou cheveux bouclés …. Les Négritos sont la plus ancienne course de l’Extrême-Orient. Il a été prouvé qu’ils ont vécu en Afrique orientale et sud de la Chine ainsi qu’au Japon, où l’élément Negrito est reconnaissable encore dans la population. «
Rogers a mentionné brièvement Tamuramaro dans le premier volume des Grands Hommes du monde de couleur, également publiés en 1946. Malheureusement, Rogers a été forcé d’avouer que «je suis tombé sur certains noms en Chine et au Japon comme Sakonouye Tamuramaro, le premier shogun du Japon mais je ne les ai pas suivi. »
Sakanouye Tamuramaro était un guerrier symbolise dans l’histoire japonaise au début comme un «parangon de vertus militaires. » Serait-ce que c’était ce que le Dr Diop a fait allusion dans son livre à la première grande, Nations nègres et culture, quand il a dirigé notre attention sur le proverbe japonais alléchant et pourtant profonde: « Pour un samouraï d’être courageux, il doit avoir un peu du sang noir. «
Adwoa Asantewaa B. Munroe référencé Tamuramaro dans la publication de 1981 Qu’est-ce que nous devrions connaître la religion, l’histoire africaine et de la Culture, et a écrit que « Il était un guerrier africain Il était éminent pendant le règne de l’empereur japonais Kwammu, qui régna de 782. – 806 AD » En 1989, le Dr Mark Hyman a rédigé un livret intitulé Noir Shogun du Japon dans lequel il a déclaré que «Le fait demeure que Sakanouye Tamuramaro était un Africain. Il était japonais. Il était un général dans la bataille. Il était un Shogun japonais. »
Cependant l’évaluation la plus complète à ce jour de la présence noire au début du mois au Japon et la vie de Sakanouye pas Tamuramaro est l’œuvre de l’historien d’art et ami de longue date et collègue, le Dr James E. Brunson. Brunson est l’auteur de Jade Noir: La présence africaine dans l’Orient ancien et de plusieurs autres textes importants. Dans une publication de 1991 intitulée Le monde des Sakanouye Pas Brunson Tamuramaro précision a noté que «Pour bien comprendre le monde de Sakanouye Tamuramaro nous devons nous concentrer sur tous les aspects de la présence africaine dans l’Extrême-Orient. »
Sakanouye pas Tamuramaro est considéré comme un commandant militaire exceptionnelle de la cour Heian royale. La période Heian (794-1185 CE) tire son nom de Heian-Kyo, ce qui signifie « la capitale de la paix et tranquillité», et était le nom original de capitale du Japon au début – de Kyoto. C’est au cours de la période Heian que le Samurai terme a été utilisé. Selon Papinot, le «mot vient du mot très samuaru, ou mieux saburau, ce qui signifie: être sur ses gardes, pour se prémunir, il s’applique tout particulièrement aux soldats qui étaient de garde au palais impérial. »
Le samouraï ont été appelés les chevaliers ou de classe guerrière du Japon médiéval et l’histoire des samouraïs est très l’histoire du Japon lui-même. Pour des centaines d’années, à la restauration de l’empereur Meiji en 1868, le samouraï étaient la fleur du Japon et sont toujours idolâtré par de nombreux Japonais. Le samouraï a reçu une pension de leur seigneur féodal, et a eu le privilège de porter deux épées. Ils se sont mariés dans leur propre caste et le privilège de samouraï a été transmis à tous les enfants, même si l’héritier lui seul a reçu une pension.
Le «parangon de vertus militaires, » Sakanouye pas Tamuramaro (758-811) était, dans les mots de James Murdoch:
« En tant que sens à l’origine de ce qui était la suite de développer dans la classe des samouraïs de renom, il a fourni dans sa propre personne un modèle digne du guerrier professionnel sur lequel à la mode lui-même et son personnage dans la bataille, un véritable dieu de la guerre;. Dans la paix la plus douce des messieurs virils, et le. simple et sans prétention des hommes «
Tout au long de sa carrière, a été Tamuramaro récompensé pour ses services avec la société civile élevés ainsi que des postes militaires. En 797, il a été nommé «barbare-subjuguer généralissime » (Sei-i Tai-Shogun), et en 801-802, il fait de nouveau campagne dans le nord du Japon, en établissant des forteresses à Izawa et Shiwa et efficacement subjuguer les Aïnous.
En 810, il a contribué à supprimer une tentative de restaurer la retraite empereur Heizei au trône. En 811, l’année de sa mort, il a été nommé grand conseiller (dainagon) et ministre de la guerre (hyobukyo).
Sakanouye pas Tamuramaro « a été enterré dans le village de Kurisu, près de Kyoto et l’on croit que c’est sa tombe qui est connu sous le nom de Shogun-zuka. Tamuramaro est le fondateur de la célèbre temple Kiyomizu-dera. Il est l’ancêtre des daimyo Tamura de Mutsu. » Tamuramaro « n’était pas seulement le premier à porter le titre de Sei-i-tai-Shogun, mais il fut aussi le premier des hommes d’Etat guerrier du Japon. »
Dans les siècles plus tard, il a été vénéré par les militaires en tant que commandant de modèle et que le premier récipiendaire du titre de shogun -. Le rang le plus élevé auquel un guerrier pouvait aspirer «
Source: Présence africaine au début du l’Asie, édité par Runoko Rashidi et Ivan Van Sertima
http://www.youtube.com/watch?v=ZINc3PpnzJA
