La plus ancienne langue écrite d’Afrique noire est en train d’être déchiffrée. Le méroïtique, dont les signes sont identifiés depuis 1911, témoigne des riches heures de la civilisation de Nubie.
LA PLUS ANCIENNE LANGUE D’AFRIQUE NOIRE
COMMENT PRÉPARER DES ACCRAS ?
Ingrédients
2 tasses d’haricots blancs
1 petit oignon, haché finement
2 piments verts, hachés finement
1 cuillère à café de sel ou un cube de bouillon
1 poivron rouge
Huile végétale pour friture
Préparation
D’abord commencer par faire tremper les haricots pendant au moins 3 heures ou jusqu’au lendemain.
Ensuite enlevez la peau des haricots en frottant les grains entre vos mains. Vous verrez immédiatement la peau sortir. Il n’est pas difficile d’enlever la peau mais ça vous pendra beaucoup de temps (20-30 minutes).
Puis dans un robot culinaire ou dans un mortier , ajouter les haricots et une demi-tasse d’eau.
Et mélangez ou pilez jusqu’à ce que vous obtenez une pâte lisse. Assurez-vous que la pâte n’est pas trop liquide.
Ensuite, ajoutez l’oignon haché, quelques piments verts, un cube de bouillon, le poivron rouge, le sel et mélangez.
Chauffez l’huile et utilisez une cuillère profonde pour former des petites boule du mélange, puis versez-le dans l’huile et faire frire de chaque côté jusqu’à ça soit cuit et doré.
Retournez les Acrras souvent pendant la friture afin de s’assurer que l’intérieur est cuit. Lorsque vous avez terminé placer les beignets dans un essuie-tout pour enlever l’excés d’huile.
Servez avec une sauce tomate pimenté. Bon Appetit!
Accras (avec la farine d’haricot)
Portions: 3 – 4 personnes
Temps de préparation: 20 min
Temps de repos: 30 min
Temps de cuisson: 25 min
Ingrédients:
200 g de farine d’haricot fermenté
250ml d’eau
Huile pour la friture
1 cuillère à soupe de levure chimique Préparation
½ oignon, et ail coupé (facultatif)
Direction:
1. Dans un grand bol ajouter la farine et la levure.
2. Puis ajoutez l’eau graduellement tout en mélangeant bien pour obtenir une pâte.
Note: Personnellement, j’aime ajouté un peu d’oignon et d’ail dans la pâte, mais sachez que c’est facultatif.
3. Laissez la pâte reposer pendant 30 minutes, vous verrez que la pâte va augmenter de volume.
4. Chauffez l’huile dans une marmite à feu moyen et former de petites boules en utilisant une cuillère ou votre main, et immédiatement mettre les boules dans l’huile chaude et frire jusqu’à coloration dorée.
Servez vos beignets avec une sauce piment lorsqu’elles sont prêts.
SOURCE: https://www.facebook.com/pages/Recettes-de-cuisine-Africaine/249927185082592?ref=ts&fref=ts
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DISCOURS DE AIME CESAIRE
INITIATION A LA MAÂT
Le terme « maât » vient de l’égyptien ancien. Il signifie Vérité-Justice : en Egypte antique, la Maât était le symbole « de l’ordre cosmique, de la justice et de la vérité. Elle symbolise l’équilibre de l’ordre de l’univers et établit le code de comportement entre les humains ; c’est grâce à elle que tout le monde fonctionne. »
I- Théorie de la Maât
La Maât nous interpelle par conséquent à consolider, à entretenir l’ordre sur un triple plan : individuel, sociopolitique et cosmique.
1- L’ordre individuel s’impose dans la mesure où nous sommes de part en partassiégés par les instincts, désirs et passions que l’on peut subsumer par l’expression les démons rouges de Seth de l’Egypte antique, les pêchés selon les chrétiens, les Egos pour les Gnostiques, le Mbouh-bé des Bassa-Mpoo-Bati, … . Le sage se doit donc de lutter d’instant en instant contre ceux-ci grâce à une mémoire vigilante et dynamique ainsi qu’une conscience éveillée. Le résultat de cette lutte est la maîtrise de soi ; ce qui veut dire la maîtrise de ses instincts, désirs, complexes, passions dégénérées, etc. L’on peut figurer ce combat par la lutte Osiris-Horus contre Seth-Apophis de l’Egypte antique, celle de Ngominga contre Malobè des Sawa du Cameroun ou celle de David contre Goliath dans la sainte Bible que les Bassa-Mpoo-Bati appellent la transformation du Mbouh-bè en Mbouh-pubi et dans laquelle le premier groupe qui représente les forces de l’ordre (la Lumière) l’emporte sur le second, les forces du désordre (les Ténèbres). Comme on le voit, sans la maîtrise de soi que nous confère l’éthique maâtique, nous sommes exposés au désordre et troubles sociaux.
2- L’ordre sociopolitique est le couple Vérité-Justice qui se présente comme une loi qui doit être respectée par tous les membres du corps social en se conformant aux normes dans le but d’éviter les maux tels que le terrorisme, la corruption, les détournements de biens publics, le vol, la violence, etc.L’insensé qui ne se maitrise pas en commettant des actes ignobles et répréhensibles porte atteinte à la Maât et partant, installe le désordre dans la société. L’ordre individuel influe donc sur l’ordre social. Mais, s’il y a désordre sur le plan social,ceci ne peut que susciter le mécontentement des « Neterou » (lire Nétjèrou), garants de l’ordre cosmique à travers les catastrophes naturelles et les cataclysmes.
3- L’ordre cosmique suppose l’ordre de la nature qui implique l’ordre au niveau du climat, des saisons, de l’environnement, des astres, etc. Les catastrophes naturelles sont donc la résultante de notre désordre intérieur et social. Par conséquent, il est plus que nécessaire de préserver l’ordre individuel afin que se réalise l’ordre sociopolitique et que se maintienne l’ordre cosmique.
En réalité, il existe une corrélation directe entre le microcosme (Homme), le mesocosme (société) et lemacrocosme (cosmos); une interaction entre ces trois (03) plans au point où si l’un est violé, les autres connaissent un influence de même nature : c’est la Maât qui suscite l’éthique individuelle, en ce sens qu’elle m’amène à me prendre en charge, à me défaire de mes complexes ; une éthique sociale en tant qu’elle évite de compromettre les relations sociales ; une éthique politique qui est son corollaire en tant que, si les relations sociales sont compromises, la société devient ingouvernable ; ce qui provoque des catastrophes sociales et même cosmiques à cause du mécontentement que cet état de choses peut susciter auprès des forces garantes de l’ordre universel (Neterou). Dès lors qu’un maillon ne joue pas son rôle, la machine maâtique est grippée. Le devoir de responsabilité, c’est même à ce niveau que la Maât nous interpelle. Nous sommes responsables de nous-mêmes, d’autrui, de la société et du cosmos. La Maât évite donc le désordre dans toutes ses formes.
L’éthique maâtique revêt d’ailleurs un intérêt multiple comme l’a souligné à juste titre le professeur Théophile OBENGA : « cet ordre de la Maât est l’ordre osirien même, c’est-à-dire, l’ordre de la perfection, de la prospérité, de l’excellence, de la compétence, de la justice, du droit, de la dignité, de la créativité, bref l’ordre de l’intelligence par opposition à l’ordre sethien qui relève du chaos, de la violence, de l’injustice, de l’arbitraire, bref du sous-développement mental et économique ».
Œuvrer pour l’ordre intérieur n’est pas un vain mot. Le sage de l’Egypte ancienne l’avait compris et Socrate a relayé ce message dansla Grèce antique : « la vertu doit reposer sur une science et faire l’objet d’un enseignement ». Mais nous devons recevoir cet enseignement de façon à l’incarner en nous c’est-à-dire dans notre mode de vie ; notre être tout entier. Philosopher, n’est-ce pas en effet rivaliser avec les « Neterou » pour la possession de la sagesse ? A ce niveau, le sage Romain Cicéron a raison lorsqu’il affirme que le but de la philosophie c’est de « nous immortaliser autant qu’il est possible ». Par conséquent, il importe à chaque être humain de démocratiser l’éthique maâtique.Avec elle, nous éviterons ce désordre multiforme que nous connaissons aujourd’hui dans le monde.
II- Pratiques de la Maât
Sur le plan pratique, la Maât est une technique sacrée aussi vielle que le monde qui consiste dans l’éducation de la raison ou du mental et de celle des sens, le tout sous-tendu par la séménisation du cerveau ou la cérébralisation du sémen. Cette dernière consiste dans la connexion sexuelle normale de l’homme et de la femme c’est-à-dire sans conflits d’aucunes sortes et accompagnée de la transmutation des énergies séminales en énergies créatrices (Neter-Min).
Le but de la pratique de la Maât est de permettre à tout individu volontaire et décidé de projeter à volonté sa personnalité dans les Energies de Hou-Neter, de se projeter dans la Conscience divine, éternelle et universelle, de s’élever progressivement à la Vérité ou Hou des Bassa-Mpoo-Bati à travers le réveil suivi du développement conscient, intime et méthodique du Héka et/ou de « Ida » et « Pingala » ainsi que celui de l’Embryon d’Or dans son anatomie occulte.
Le Maâtisme dont le promoteur en Egypte antique estPtahhotep, le premier philosophe de tous les temps, est la voie lente ou indirecte de Mbog, la science sacrée.Ses emblèmes sont : une dame portant à sa tête une plume d’autruche et la balance. Il permet au sage de comprendre l’univers, la manifestation, le monde, les Neterou, … après plusieurs réincarnations. Les yogis hindous l’appellent la « Voie des initiés » ; les hébreux et autres kabbalistes, la « Voie de la connaissance » ; les Chinois, le « Tao » ; les Tibétains, la « Voie lente du Tantrisme » ou la « méditation mahayaniste » ; les Japonais, le « Zen » ; les musulmans soufis, la « Voie de la contemplation » ; les Mpoo du Cameroun, Mpè ou la « Mystique du corps ».
Dans le Maâtisme, tout commence par l’engagement intime du postulant à :
– Se consacrer entièrement à transmuter en permanence ses énergies séminales en énergies créatrices (séménisation du cerveau c’est-à-dire la réalisation du Min-Neter dans la chair) soit sous la forme de célibataire à travers les canaux ganglionnaires «Ida» et «Pingala» soit à travers la sexualité normale c’est-à-dire par «Ida», «Pingala» et le «Héka».
– Respecter petit à petit les principes fondamentaux de cette science sacrée résumés dans sa devise à savoir: Harmonie, Vérité et Justice.
L’Harmonie est le fondement du Maâtisme. La voie indirecte de Mbog demande à tout (e) Compagnon, Shems et Osiris de Hou de vivre en permanence en parfaite harmonie avec toutes les composantes du cosmos : le Principe des Principes ou Dieu, les Neterou, les Hommes, les êtres des règnes animal, végétal et minéral.
Vivre en parfaite harmonie avec les éléments du cosmos implique non seulement de les connaître à fonds mais encore et surtout, de trouver à tout moment la quintessence de chaque chose, l’essence de chaque phénomène, de chaque comportement, d’atteindre en permanence la Vérité pour pouvoir distinguer d’instant en instant « l’essence de l’apparence, le contenu de la forme, le bon grain de l’ivraie, l’essentiel de l’accessoire ».
Pour y arriver, Ptahhotep définit d’abord la Vérité ou Hou des Bassa-Mpoo-Bati et Satdes hindouistes, avec le zèle du premier de la classe, comme « un savoir hermétique, caché pour le commun des mortels mais complet, exhaustif, total, adéquat, droit et surtout éternel malgré les variations du temps ». Plus de 3000 ans avant notre ère déjà, la Sagesse africaine éternelle avait écarté de la Vérité les théories, les concepts et les dogmes limités dans le temps et dans l’espace.
1)- Ensuite, Ptahhotep conseille à l’humanité l’éducation de la raison ou du mentalbien connue des Asiatiques. Ils l’appellent la méditation et la définissent comme la discipline du mental voire la domination du mental qui permet à tout individu décidé et volontaire de recevoir l’information de l’hyperespace, de converser face à face avec le Neter-Neterou (Principe des Principes) à travers sa création, les Neterou, fixer pendant cette pratique sacrée à l’aide du Héka et/ou d’Ida et de Pingala et, par conséquent, de pouvoir résoudre tous ses problèmes dont la destruction de ses passions dégénérées.
Cette technique sacrée va au-delà de la prière des chrétiens, des juifs ou des musulmans que les animistes appellent « l’appel des Neterou » et qui n’en est que l’une des composantes.
2)– Enfin, Ptahhotep soutient que le sage de la Maât, du fait qu’il connaît la Vérité ou Hou-Neter, « savoir adéquat, droit, universelle et à jamais intangible » ne peut qu’être un Homme juste. La nécessité de vivre en permanente harmonie avec les autres éléments du cosmos lui fait obligation de se conduire toujours avec discernement et méthode, de chercher d’instant en instant à travers l’éducation des sens les voies correctes, adéquates et droites dans le but d’être toujours juste en actes, en paroles et en pensées.
L’éducation des sens permet à tout Homme de vivre d’instant en instant dans la Vérité, la Conscience divine éternelle ou Hou-Neter de l’Egypte antique. Elle est la forme supérieure de la méditation. L’éducation des sens consiste dans « la patience dans l’écoute, la découverte permanente, la connaissance, la maîtrise de son corps, de sa vie, de sa mort » qui permettent à tout initié d’être d’instant en instant en état de méditation. Les gnostiques l’appellent le « devoir Cosmique de l’Etre » ou le « devoir Parlock », les Asiatiques, « Shuntya » et les Mpoo, Mpè ou la « Mystique du corps ».
Ces deux (02) techniques sacrées de la Maât (l’éducation de la raison et l’éducation des sens) s’appuient sur la science de la momentaneité ou la science de la concentration. C’est dans ce sens que le Maître bouddhiste Ummom donne ce conseil à ses disciples : « Si vous marchez, marchez ; si vous vous asseyez, asseyez-vous, mais n’hésitez pas. » Alors que le Lolo Mpoo, Jean Toto Kange soutient que « quand tu manges, tu dois sentir les aliments sur ta langue, sentir les dents les mâcher, sentir les aliments traverser la gorge, sentir les aliments prendre place dans ton estomac, sentir ton estomac les écraser, sentir les aliments se transformer en sang ou en excréments, … » Celui-ci est l’un des derniers pour ne pas dire le dernier Maître du Mpè dans cette région « mpoo » qui va de Bonabéri à Yabassi qu’il a inondé de cette science sacrée pendant plus de la moitié d’un siècle. Toujours concentré dans son Être réel ou son Osiris-Isis, il dit le 10 Juillet 1978 à cinq heures du matin avant d’expirer à l’âge d’environ 110 ans dans son village natal non loin de Dibombari dans Région du Littoral du Cameroun : « maintenant je sais comment ça se passe quand on meurt : le cœur devient lourd, très lourd, de plus en plus lourd, il bat moins vite, il ralentit sa course. »
3)– La pratique fondamentale, cardinale de la Maât est cependant le « humusia ». Le terme « humusia » vient de l’égyptien ancien. Il signifie en français : la Conscience dans le savoir ou la science. Humusia est l’éclairage permanent des savoirs artistique, intellectuel et/ou technique par la Conscience divine, éternelle et universelledans le but d’obtenir un savoir concret, pratique, intégral, exhaustif et objectif de la réalité qui ne connaît pas de dogmes. Un sage Occidental, Rabelais, n’a-t-il pas dit : « Science sans Conscience n’est que ruine de l’âme » ?
Humusia ou Science avec Conscience est la Connaissance. Le terme « connaissance » vient du mot latin « connècéré » qui veut dire en français savoir de l’intérieur, avoir l’expérience directe, profonde et pratique du Réel, le savoir direct qui nous révèle les secrets de la nature et du cosmos, la quintessence de tous concepts, de toutes théories et/ou toutes pratiques, la source, le noumène de toutes choses, en quelques mots l’Être de tout savoir. C’est dans ce sens que la Bible dit : mon peuple périt faute de connaissances.
Humusia ou la Connaissance a toujours été présente dans les mœurs de toutes les sociétés humaines à travers diverses confréries et/ou corporations. Les Négro-africains l’ont abandonnée dans la débandade générale qui a suivi l’invasion de l’Egypte ancienne par les Arabes. Hier, l’esclavage, les guerres de migrations, la longue traite négrière, le colonialisme et le néo-colonialisme et aujourd’hui, l’endo-colonialisme, le repli identitaire et les guerres civiles et surtout le népotisme ont réussi à l’effacer complètement de la mémoire collective de ce peuple. En Afrique et dans sa diaspora, la Connaissance a totalement cédé la place au fétichisme, à l’ensemble des dogmes internes (la tradition) et externes (les religions et les idéologies importées) qui bloquent de façon insidieuse la créativité de ses enfants.
Aujourd’hui, ANKH-X, le Club des sages Africains d’une communauté africaine du continent ou de la diaspora dénommé X, repartit ses membres dans douze (12) corporations à savoir :
1. LES PRINCES : les dirigeants traditionnels (rois, chefs coutumiers, chefs de villages, de familles, de foyers, de quartiers, …) ainsi que les politologues, les Hommes politiques, les administrateurs civils, … adeptes du Neter de la planète Soleil, le Logos Michael et des Neterou du signe zodiacal du Lion.
2. LES CHEVALIERS : les combattants, les guerriers et les soldats traditionnels ainsi que les militaires, les gendarmes, les policiers, les administrateurs militaires, les gardiens de prisons, les vigils des sociétés de gardiennage, les gardes côtes, les gardes forestiers, … adeptes du Neter de la planète Mars, le Logos Samaèl et des Neterou du signe zodiacal du Bélier.
3. LES JURISTES et DIPLOMATES : les juges et les accesseurs des tribunaux traditionnels, les professeurs de droit, les magistrats, les avocats, les notaires, les huissiers, les clercs, les experts en droit, les juristes d’entreprises, … et les diplomates adeptes du Neter de la planète Jupiter, le Logos Zachariel et des Neterou du signe zodiacal du Sagittaire.
4. LES INTELLECTUELS et JOURNALISTES : lesuniversitaires, les chercheurs, les écrivains et poètes, les penseurs, … et les journalistes adeptes du Neter de la planète Mercure, le Logos Raphaèl et des Neterou du signe zodiacal des Gémeaux.
5. LES ARTISTES : les artistes et les opérateurs culturels, les éditeurs, les impresarii, les managers, … adeptes du Neter de la planète Vénus, le Logos Uriel et des Neterou du signe zodiacal de Balance.
6. LES HOMMES DE DEVELOPPEMENT : les Opérateurs de développement c’est-à-dire les bénévoles, les volontaires, les donateurs, les philanthropes, les investisseurs solidaires, les militants solidaires, … adeptes des Neterou des planètes Uranus et Saturne et ceux du signe zodiacal du Verseau.
7. LES ARTISANS, AGRICULTEURS, PECHEURS et ELEVEURS : les artisans de tous genres, les agriculteurs, les pêcheurs et les éleveurs, … adeptes du Neter de la planète Lune, le Logos Gabriel et des Neterou du signe zodiacal du Cancer.
8. LES SPORTIFS : les pratiquants de sports de masses, d’entreprises et/ou de compétitions en activité ou à la retraite, les managers sportifs, … adeptes du Neter de la planète Mars, le Logos Samaèl et des Neterou du signe zodiacal du Scorpion.
9. LES BATISSEURS : les opérateurs économiques, financiers, les capitaines d’industries, …. adeptes des Neterou des planètes Jupiter et Neptune et ceux du signe zodiacal des Poissons.
10. LES AGENTS SOCIAUX : les experts de la protection de la famille, de la femme et de l’enfant ainsi que les conservateurs traditionnels des liens familiaux et les généalogistes, … adeptes du Neter de la planète Vénus, le Logos Uriel et des Neterou du signe zodiacal du Taureau.
11. LES SOIGNANTS : les tradi-praticiens et les matrones (accoucheuses traditionnelles) ainsi que les médecins et les pharmaciens, les sages femmes, les infirmiers et les techniciens de la santé, … adeptes du Neter de la planète Mercure, le Logos Raphaël et des Neterou du signe zodiacal de la Vierge.
12. LES ENVIRONNEMENTALISTES : les protecteurs de la nature et les experts en sciences environnementales adeptes du Neter de la planète Saturne, le Logos Orifiel et des Neterou du signe zodiacal de Capricorne.
Chaque corporation dispose d’un couvent dont le but est de donner une formation professionnelle adaptée aux communautés de base de ce peuple sur la base des valeurs humaines africaines.
III- Les Membres de la Maât
L’acquisition de la Maât se fait en cinq (05) étapes : le noviciat, l’engagement, la rébellion, l’adeptat et la maîtrise.
3-1)- Le noviciat regroupe les débutants, les novices de la Maât, les personnes physiques qui suivent une formation à la Sagesse africaine éternelle dans un couvent d’une corporation de la Maât ou dans un institut ou centre agréé. Cette formation ne les lit en rien. Ils ne sont même pas tenus de présenter un test quelconque à la faveur de celle-ci.
3-2)- L’engagement regroupe les femmes et les hommes nantis d’une formation adéquate à la Sagesse africaine éternelle qui prennent la ferme décision de devenir des membres du couvent d’une des douze (12) corporations de la Maât dans le but d’acquérir un métier ou de se perfectionner dans le leur tout en se développant spirituellement.L’ordre de préséance des engagés de la Maât est le droit d’aînesse.
3-3)- La rébellion contre l’ordre apparent des choses est la véritable première étape de la Maât. Elle regroupe les Africains du continent ou de la diaspora qui, après un important rituel dans les plans psychiques qui leur permet de développer leur anatomie occulte selon leurs besoins futurs, ont choisi de façon irrévocable le camp de la Lumière :Ils sont en train de vivre les étapes préliminaires de l’œuvre solaire qui font d’eux les disciples de la Maât. Ces derniers sont deux (02) types : les Apprentis et les Aspirants de la Maât.
Les Apprentis de la Maât sont les Disciples de la Maât stricto sensu. Ils pratiquentla sexualité sacrée tout en menant un combat intime pour réveiller en eux-mêmes le « Héka », un instrument éthérique qui traverse le canal médullaire, à travers les cinq (05) initiations de Feu ainsi que « Ida » et « Pingala » dans le but de séméniser le cerveau ou cérébraliser le sémen. Ils se sacrifient en partie et consciemment pour l’humanité souffrante.
Les Aspirants de la Maât sont des Disciples de la Maât lato sensu. Ils ne pratiquent point la sexualité sacrée. Ils ne peuvent pas réveiller le « Héka ». Aux fins de séméniser le cerveau, ils développent uniquement « Ida » et « Pingala », deux (02) canaux éthériques qui s’enroulent autour de la colonne vertébrale. Les Aspirants de la Maât sont des moines. Ils se sacrifient totalement et consciemment pour l’humanité souffrante.
Les Disciples de la Maât se caractérisent tous par :
– L’engagement ferme dans ANKH-X ;
– L’abandon volontaire du superflu et la recherche constante de la connaissance du Neter-Neterou par extinction de la connaissance individuelle en Lui ;
– La réalisation d’une vie par intégration du sacré dans tous les plans de l’existence et l’opposition déterminée aux Adeptes de Seth, les forces négatives internes et externes ;
– La pratique intérieure et extérieure permanente des préceptes cardinaux de Neith-Neter, la Divine Mère Cosmique et Universelle à savoir : la promotion, la vulgarisation et la diffusion de la fraternité, la solidarité, la convivialité, la participation créatrice, l’action et la vie communautaires ainsi que le sens du partage entre les enfants d’Iset-Neter, la Divine Mère Individuelle et Intérieure, du monde entier ;
– Le sacrifice conscient et permanent pour l’humanité souffrante à travers la pratique et la vulgarisation du volontariat, du bénévolat, du mécénat, du parrainage, de la philanthropie, de l’investissement solidaire, … dans le but de promouvoir et de diffuser en Afrique et dans le monde, la Sagesse éternelle et universelle, l’éducation, la science, la médecine, la culture des X, la technologie, la bonne gouvernance (droits, libertés et devoirs de l’Homme et des peuples, démocratie et transparence), la protection de la famille, de la femme et de l’enfant ainsi que celle de l’environnement, les cultures de la paix et de l’entreprise, …
Les Apprentis de la Maât ont pour emblèmes :
– L’Ankh en or ;
– La chéchia ou le foulard noirs.
Les Aspirants de la Maât ont pour emblèmes :
– La chéchia ou le foulard noirs ;
– Le Saint Huit en or.
Les Disciples de la Maât ont en charge :
– La promotion et la vulgarisation partout dans le monde de l’accession à la vie intérieure à travers la recherche permanente de l’éveil du Héka et/ou de Ida et Pingala ;
– La diffusion en Afrique et dans le monde d’un message de tolérance, de paix, d’ouverture et d’acceptation de l’autre tel qu’il est à travers le respect de toutes les Sagesses, de toutes les religions qui ne sont en fait que les formes différentes de la Religion c’est-à-dire le lien entre l’individu et le Neter-Neterou ;
– L’animation permanente de ANKH-X.
Les Disciples de la Maât travaillent sous les ordres des Shemsou-Ra. Leur ordre de préséance est le suivant : les Apprentis suivis des Aspirants de la Maât.
3-4)- L’Adeptat regroupe les « Shemsou-Ra » c’est-à-dire les Adeptes ou Compagnons de la Maât, les Africains du continent ou de la diaspora qui sont en train d’incarner « Hou-Neter » en eux-mêmes à travers le développement conscient, intime et méthodique de l’Embryon d’Or c’est-à-dire la transformation du Mbouh-bé en Mbouh-pubi: ils sont entrain de fabriquer l’âme.
Les Shemsou-Ra cherchent à permettre à leurs personnalités respectives à se dissoudre dans Hou-Neter: ils sont entrain de vivre intimement l’une des sept (07) étapes de l’œuvre Ra-Neter liées respectivement aux sept (07) premières planètes de l’Alchimie (Mbog). Ils sont par conséquent de sept (07) ordres à savoir : Les Shemsou-Ra des Neterou des planètes Lune, Mercure, Vénus, Soleil, Mars, Jupiter et Saturne.
L’ordre de préséance des Shemsou Ra est le suivant : les Adeptes de la Maât du Neter de la planète Saturne, ceux du Neter de la planète Jupiter, ceux du Neter de la planète Mars, ceux du Neter de la planète Soleil, ceux du Neter de la planète Vénus, ceux du Neter de la planète Mercure et ceux du Neter de la planète Lune.
Les « Shemsou-Ra » sont de deux (02) ordres : les Shemsou-Ra stricto sensu qui pratiquent la sexualité sacrée et ont développé le « Héka » ainsi que « Ida » et « Pingala » et les Shemsou-Ra moines qui ont développé « Ida » et « Pingala ». Les Compagnons de la Maât se caractérisent tous par :
– La nécessité ou le devoir de devenir véritablement Homme c’est-à-dire les Maîtres de Hou ou Osiris à travers la réalisation de l’humain, le développement des facultés transcendantes qui permettent l’accession à des pouvoirs par quoi se manifeste et se magnifie la personnalité humaine dans ce qu’elle a de plus élevé et qui, chaque jour, par une ascèse sage et mesurée dépouille l’Essence divine de tout ce qu’elle recèle de bas et d’impur et les dirigent vers les voies des plus hautes réalisations ;
– La rencontre régulière du Neter-Neterou par la Foi, l’œil intérieur qui permet de voir Dieu à travers sa création c’est-à-dire les Neterou ;
– Le silence ou la réalisation ou béance de tout discours.
Les Shemsou-Ra stricto-sensus ont pour emblèmes :
– Le Shems de l’Egypte Négro-pharaonique ;
– La chéchia ou le foulard blancs ;
– Le Héka et l’Ankh en or ;
– Autant de plumes d’oiseaux que de cieux atteints.
Les Shemsou-Ra moines ont pour emblèmes :
– La chéchia ou le foulard jaunes ;
– Le Saint Huit en or ;
– Autant de plumes d’oiseaux que de cieux atteints.
Les Adeptes de la Maât travaillent sous les ordres des Osiris. Ils ont en charge de :
– Revaloriser la Sagesse de leurs communautés d’origine ou d’adoption respectives, assurer leur diffusion dans les terroirs respectifs de ses communautés ainsi que leur harmonisation tant avec Hou, la Sagesse africaine éternelle qu’avec celles des communautés africaines du continent ou de la diaspora voisines ;
– Réhabiliter, réinstaller et gérer les temples, les parvis et les presbytères de La Religion Africaine, les monastères, les sanctuaires, les confréries, les corporations, les aumôneries et les couvents de Hou, la Sagesse africaine éternelle, tant de leurs communautés d’origine ou d’adoption respectives que de ceux que ces dernières ont en partage avec leurs voisines ;
– Réhabiliter, pérenniser ou adapter selon les tendances de la société qu’ils perçoivent la culture de leur communauté d’origine ou d’adoption ainsi que la promouvoir, la vulgariser et la diffuser en Afrique et dans le monde ;
– Transcender les Adeptes de Seth-Neter, le Non-être et assurer les cultes, rites et rituels de la religion de leur communauté d’origine ou d’adoption respectives ainsi que ceux des différents noueux lignagères de ces différents peuples ;
– Gérer ANKH-X (X est le nom de la communauté d’origine ou d’adoption de l’adepte) sous les ordres des Wsir ;
– Veiller à la formation spirituelle, intellectuelle et/ou professionnelle adéquate et permanente des filles, femmes et fils de leurs communautés d’origine ou d’adoption respectives.
3-5)– La Maîtrise regroupe les Osiris: le Maître de la Maât est un Gardien d’un mystère ou « Mut (aa) Hou » des Bassa-Mpoo-Bati c’est-à-dire un « Wsir de la Maât » ou un Africain du continent ou de la diaspora qui a développé l’Embryon d’Or car il a incarné « Hou-Neter » ou la Conscience divine, éternelle et universelle en lui-même : il a transformé complètement son Mbouh-bé en Mbouh-pubi. Il peut se réincarner pour revenir servir l’Humanité souffrante.
Les Osiris de la Maât sont de deux (02) types : les Osiris de la Maât stricto sensu et les Osiris de la Maât lato sensu. Ils sont regroupés dans deux (02) catégories : les Osiris de la Maât qui ont achevé leur cheminement spirituel dans les vies passées et ont renoncé à la béatitude divine pour revenir dans cette vie se sacrifier pour l’humanité souffrante et ceux qui ont achevé ce cheminement spirituel dans cette vie.
L’ordre de préséance des Maîtres de la Maât est le suivant : les Osiris de la Maât qui ont achevé leur cheminement spirituel dans les vies passées et ont renoncé à la béatitude divine pour revenir dans cette vie se sacrifier pour l’humanité souffrante et ceux qui ont achevé ce cheminement spirituel dans cette vie. Ils se caractérisent tous par:
– Le détachement volontaire des contingences matérielles et sexuelles: ils se sacrifient complètement et consciemment pour l’humanité souffrante.
– La recherche de la lumière pour la lumière, la science pour la science, l’art pour l’art ;
– L’élévation jusqu’à l’extase, jusqu’à la connaissance des plus hauts pouvoirs par quoi se manifeste et se magnifie la personnalité humaine dans ce qu’elle a de plus élevé.
Les Maîtres de la Maât stricto sensu ont pour emblèmes :
– L’Osiris de la Maât ;
– La chéchia ou le foulard et la cape blancs ;
– L’Ankh et le Héka en or ainsi le Nekhakha ou le fouet de la volonté.
Les Maîtres de la Maât lato sensu ont pour emblèmes :
– La chéchia ou le foulard et la cape jaunes ;
– Le Saint Huit en or et le Nekhakha ou le fouet de la volonté.
Les Maîtres de la Maât ont en charge:
– Les grandes doctrines sur le Neter-Neterou ou Dieu, sur les hiérarchies invisibles, le monde et sur l’Homme ;
– De percer le mystère qui nous entoure : mystère de la vie et de la mort ; mystère de intelligences supérieures ; mystères des sources vivifiantes où s’abreuvent l’âme des penseurs, des philosophes, des inspirés ; mystères de notre indispensable révolution ;
– La pérennisation du caractère sacré et du sens de la dignité de l’Homme ;
– La pérennisation de Hou ou la Sagesse africaine éternelle, de la culture africaine et de la Religion Africaine ainsi que du caractère monothéiste de celle-ci et, enfin, de ses cultes, rites et rituels ;
– La présentation au public du Sage le plus éveillé de chaque communauté africaine du continent ou de la diaspora ;
– La gestion de LA FONDATION D’AFRIQUE, de ses volets internes (le MBOG , la MAAT et les ANKH-X) externes (les douze (12) composantes du CHEMIN DE L’INTERIEUR) ;
– De veiller à la formation spirituelle, intellectuelle et/ou professionnelle adéquate et permanente des enfants Sains des communautés africaines du continent ou de la diaspora.
En somme, nous sommes d’avis avec le professeur Théophile OBENGA pour dire que la Maât est une pensée technique, une philosophie vécue, pratiquée depuis des lustres en Afrique « à la recherche de la Vérité-Justice, de l’ordre social, de l’équilibre intérieur humain, de l’intelligence de la globalité cosmique, du bonheur réel, durable, inaltérable, éternel. »
SOURCE:http://www.lafondationdafrique.org/index.php?option=com_content&view=article&id=50&Itemid=61&lang=fr
LA PLACE DE LA FEMME NOIRE DANS L’AFRIQUE ANTIQUE
En examinant de près, l’image et le statut des femmes noires dans les sociétés africaines anciennes non soumises à une influence étrangère quelconque, on constate que celles-ci sont perçues comme des déesses. La femme noire et son rapport avec l’homme, dans la société africaine de la période pharaonique mérite donc d’être analysée.
Ainsi, il est aisé de constater que même les vestiges archéologiques légués par les premiers Homo Sapiens Sapiens Africanus à travers le monde, témoignent de l’admiration des hommes pour les femmes noires. En effet, ces vestiges sont majoritairement des statuettes de femmes noires (vénus, déesses de la fécondité…).
Dès lors, on comprend que la femme noire était valorisée et vénérée dans sa société, ce qui lui permettait de jouir d’une totale confiance en elle et aussi des mêmes privilèges que les hommes.
Dans l’Afrique ancienne (Egypte/Nubie/Ethiopie)…
La femme n’est pas seulement définie par son sexe mais aussi par sa nature divine. C’est celle qui a la possibilité de donner la vie, de procréer (Messou, Messi). Sa nature profonde est donc valorisée et divinisée.
Au-delà, elle est celle qui, dans son rapport à l’homme, jouie d’une quadruple perceptions. En effet, elle est la mère, l’épouse, la déesse et la sœur. Héritée du sédentarisme et du matriarcat, cette perception sociale reflète les idéaux spirituels des africains anciens :
La divinité de la sagesse, de la vérité et de la justice (Maat) est une femme,
La protection de pharaon était confiée à une nubienne, la déesse Anouket,
Isis, était à la fois la femme et la sœur d’Osiris,
La mère est désignée en écriture hiéroglyphique par le vautour en raison de l’attention que porte cet animal à sa progéniture.
Ainsi, tout comme les déesses, les Africains anciens représentaient leur femme de couleur or (jaune, l’or est la chair des déesses) dans leurs réalisations artistiques (peintures, sculptures, etc…).
Il est encore intéressant de noter que l’homme est généralement représenté avec sa femme, ou placé entre sa femme et une déesse (exemple celle de sa localité pour un personnage important).
La littérature égyptienne nous révèle encore que les hommes, prenaient soin de leur femme dans leur vie familiale.
« Fils respectueux, tendres époux, parents attentifs et bien souvent indulgents, ils tenaient avec un zèle que l’on pourrait qualifier de méthodique, à pratiquer les vertus qu’ils avaient en grand honneur. Et maintes fois, à les en croire, ils donnèrent l’exemple aux générations futures » souligne Elisabeth Laffont (Cf. Les livres de sagesses des pharaons, éd. Folio).
Ainsi, dans la société africaine ancienne non soumise à une influence étrangère, la femme était perçue comme la complémentarité de l’homme, la maîtresse de maison, la beauté féminine personnifiée, une source de stabilité et de sagesse, une amante créative, une sœur avertie, une étincelle d’érotisme, une mère attentionnée et une future déesse céleste.
La projection divine de sa relation avec l’homme engendra le principe des représentations de la vierge à l’enfant (NB. les représentations d’Isis allaitant son fils Horus, sont les archétypes des représentations de la vierge Marie allaitant Jésus enfant) et de la Trinité : père, mère, enfant (qui deviendra dans les sociétés nomades occidentales : père, fils et St Esprit (la mère a disparu)).
Aucune fonction ou filière d’études n’était interdite aux femmes. Ainsi, dans l’histoire africaine on trouve des femmes médecins (Pesechet), pharaon (hatchepsout), reine (Nzinga), chef des armées (Amani Renas), Ministre des Affaires étrangères (Tiyi), etc… Le roi dirige avec la femme qui jouent aussi le rôle de conseillère (épouse, mère).
Dans la vision religieuse africaine, Dieu aime la femme autant que l’homme. Le couple marié forme alors une seule enveloppe spirituelle.
Cette icône de beauté fut célébrée dans le passé, par les autres peuples. La Bible fournit une preuve indéniable que la beauté noire était idéalisée autrefois (ex. Cantique des cantiques dans la Bible : « Je suis noire et belle » ou encore la Reine Shaba).
La valeur de soi s’acquiert aussi dans le regard de l’autre. Si le regard des hommes noirs sur les femmes noires est sincère, respectueux, responsable (socialement, économiquement, familialement, culturellement…), valorisant et attentionné, nul doute que cela contribuera à faire rayonner de nouveau la beauté noire dans le monde.
SOURCE: http://africadreams.unblog.fr/2007/03/06/le-statut-de-la-femme-noire-dans-lafrique-antique/?#
BOOKMAN DUTY
Né à la Jamaïque, Dutty Bookman est esclave de l’habitation Turpin dans la plaine du Nord de Saint-Domingue (actuel Haïti). Dans la nuit du 14 août 1791, au Bois-Caïman, lieu reculé de l’habitation Lenormand de Mézy, ce prêtre vaudou organise une cérémonie pour un grand nombre d’esclaves. Un cochon noir est sacrifié et les assistants boivent son sang afin de devenir invulnérables.
Dutty Boukman – ?-1791 (Haïti/Saint-Domingue)
Boukman ordonne alors le soulèvement général.
Celui-ci a lieu la nuit du 22 août et dure une dizaine de jours.
Les révoltés enflamment les habitations.
Boukman, accompagné de 200 autres esclaves, s’avance jusqu’au Cap-Français. Il périt au combat, à la tête de ses troupes. Pour faire mentir l’idée qu’il était invulnérable, les colons exposent sa tête au Cap.
D’autres chefs succèdent à Bookman, ses lieutenants Jean-François et Biassou, ainsi que Toussaint, qui ne s’appelle pas encore Louverture.
La révolte de Bookman ouvre la voie à la Révolution haïtienne qui conduira à l’indépendance le 1er janvier 1804. Haïti sera le premier Etat “noir” indépendant qui proclame dans sa Constitution l’égalité de tous, quelle que soit la couleur de peau.
– EXTRAIT DU « SERMENT AU DIEU DES ANCÊTRES » PRONONCE PAR HOUGAN DUTTY BOUKMAN ZAMBA AU COURS DE LA « CÉRÉMONIE DU BWA KAY MAN » QUI S’EST DÉROULÉE AU MORNE ROUGE DANS LA NUIT DU 14 AOÛT 1791:
« Ô Dieu des Ancêtres qui créa la terre et qui créa le soleil qui nous inonde de sa lumière. Ô Dieu qui porte les océans, qui provoque le rugissement du tonnerre.Ô Dieu qui a des oreilles pour entendre , toi qui es caché derrière les nuages , qui nous montre notre cheminement originel , tu vois à quel point le Blanc nous fait souffrir. Le Dieu de l’homme blanc lui commande de commettre des crimes.Mais notre Dieu qui est si bon , si juste , si vrai nous ordonne à présent de nous venger de toutes les souffrances endurées.C’est lui qui dirigera désormais nos armes et nous conduira à la victoire.C’est lui qui dorénavant nous aidera et nous protégera.Mais il exige que nous rejetions définitivement l’image hideuse du Dieu de l’homme blanc qui est si perfide et si cruel.Écoutez mes frères la voix triomphante de la liberté qui chante et résonne dans nos cœurs à jamais purifiés ».
-EXTRAIT DE LA PROCLAMATION DE L’ INDÉPENDANCE D’AYITI PAR LE GÉNÉRAL EN CHEF JEAN- JACQUES DESSALINES LE 1er JANVIER 1804:
« Généraux , et vous chefs , réunis ici près de moi pour le bonheur de notre pays , le jour est arrivé , ce jour qui doit éterniser notre gloire , notre indépendance.S’il pouvait exister parmi nous un coeur tiède , qu’il s’éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir. Jurons à l’Univers entier , à la postérité , à nous-mêmes , de renoncer à jamais à la France et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination ; de combattre jusqu’au dernier soupir pour l’Indépendance de notre pays. Et toi , peuple trop longtemps infortuné , témoin du serment que nous prononçons , souviens- toi que c’est sur ta constance et ton courage que j’ai compté quand je me suis lancé dans la carrière de la liberté pour y combattre le despotisme et la tyrannie contre lesquels tu luttais depuis quatorze ans.Rappelle- toi que j’ai tout sacrifié pour voler à ta défense : parents , enfants , fortune , et que maintenant je ne suis riche que de ta liberté; que mon nom est devenu en horreur à tous les peuples qui veulent l’esclavage , et que les despotes et les tyrans ne le prononcent qu’en maudissant le jour qui m’a vu naître; et si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le génie qui veille à tes destins me dictera pour ton bonheur , tu mériterais le sort des peuples ingrats.Mais loin de moi cette affreuse idée ; tu seras le soutien de la liberté que tu chéris et l’appui du chef qui te commande.Prête donc entre mes mains le serment de vivre libre et indépendant , et de préférer la mort à tout ce qui tendrait à te remettre sous le joug.Jure enfin de poursuivre à jamais les traîtres et les ennemis de ton indépendance ».
LA GUERRE DES NETEROU
– Précision
Les dates utilisées sont celles le plus couramment admises bien qu’elles manquent de pertinence.
Neter : terme généralement traduit par dieu, pour des raisons étymologiques, on conservera le terme initial.
Neterou : pluriel de neter.
Kemet : Égypte pharaonique dont le début est estimée à -3400 avant notre ère.
Serekh : cadre rectangulaire dans lequel est inscrit le nom d’Hor (Horus) du Per Aha (Pharaon) à l’époque
Protodynastique et Ancien Empire.
Sumer : civilisation située dans le sud de l’actuel l’Irak allant de -3000 à -1750 av J-C.
L’examen des données anthropologiques Sumériennes publié par le Field Museum et l’Oxford University suite aux
fouilles menées en 1926 et 1928, ont montré que le type premier d’individu qui peuplait Sumer était similaire à celui que l’on retrouvait à Kemet et dans le haut désert à l’ouest du Nil, c’est à dire le type Négroïde.
Une interrogation qui revient souvent lorsqu’il est question de Kemet, « Comment une civilisation ayant eu autant d’avance scientifique, au point même d’être considérée par les civilisations voisines comme « La Terre de Dieux », a pu s’éteindre ? »
Une des réponses à cette question réside sûrement dans ce qu’on peut qualifier de « Guerre des Neterou », en effet à partir des éléments archéologiques disponibles il est possible de dresser une carte politico-alchimique donnant une image de Kemet rarement présentée. Celle d’un pays au sein duquel les hommes ont semblé rejouer sans cesse cette lutte qui opposa Hor à Set, allant jusqu’à en marquer la société entière et au-delà.
L’histoire de cette lutte reprend vie durant les fouilles du site d’Abdju (Abydos), un haut lieu de culte au neter Ousir (Osiris), menées par l’égyptologue Émile Amélineau de Novembre 1895 à Mars 1899. Il fit une double découverte décisive, la première, celle du haut lieu de culte qu’était Abdju, la seconde, celle des Anu, terme désignant une population pré-dynastique venue du sud, ayant vécu à l’endroit qui deviendra par la suite Kemet.
Les Anu sont une découverte décisive parce que leur existence corrobore avec les propos recueillis par Hérodote, que les premiers habitants de Kemet formaient une colonie venue de la Nubie, et annulent ainsi la thèse selon laquelle la civilisation de la Vallée du Nil aurait pris naissance sous l’influence Sumérienne puisque les Anu possédaient déjà bien avant la période dynastique les éléments de civilisations que l’on retrouvera par la suite dans tout Kemet. De plus, toujours d’après les travaux d’Amélineau, ils sont les fondateurs des villes Aunyt-seni (Esnesh), Erment, Qouch puis Anu (Héliopolis).
Par la suite, les travaux de W.M. Flinders Petrie confirmés par le travail archéologique de Stephen Quirke mirent en évidence un autre peuple pré-dynastique que Petrie désigne par le terme « rekhytu » disposant également des éléments de la civilisation et occupant une partie de la Basse-égypte tandis que les Anu, une partie de la Haute-égypte.
En fait, nous sommes en présence d’une même population mais fonctionnant comme deux tribus distinctes qui demeurèrent en conflit, conflit auquel la Sema Taoui (Unification des deux terres) viendra mettre un terme d’apparence. En effet d’après le tableau présenté par Petrie, lorsque les « Rekhytu » se déplaçaient vers le sud, ils étaient attaqués par les Anu et vice-versa, toujours d’après Petrie, les « rekhytu » étaient les vrais gardiens de ce qu’il appelle la Tradition, des fidèles à Hor, porteur du Descheret (Couronne Rouge). Ce qui est intéressant à noter est que ce conflit dont fait état Petrie semble être une continuité de la lutte mythique faisant rage entre les netetou. Dans ce cas le nom porté par un Per Aha devient un symbole d’allégeance au neter, d’ailleurs à Kemet, la mort d’un individu se faisait à travers la suppression de son nom sur les monuments et archives. Ainsi celui qu’on appelle le « Roi Scorpion », Roi des Anu qui arbore un des symboles de Set, est un ennemi du faucon dysnatique Hor (horus).
Mais malgré la Sema Taoui, ce conflit n’a pas pour autant cessé, au contraire pourrait-on dire puisque l’enjeu désormais était ni plus ni moins le contrôle de tout le pays. En effet d’après Petrie, c’est durant la 2e Dynastie (de -2890 à -2686 av J-C) que les fidèles de Set, les Anu, commencèrent à prendre le contrôle de Kemet, thèse soutenue par plusieurs éléments :
– Cette Dysnatie commence par le Per Aha, Hetep-sekhemui « Paix entre les Deux (Hor et Set) Puissances ».
– Puis vient l’arrivée d’un Per Aha, Per-Ib-Sen, portant un Serekh avec une représentation de Set au lieu d’Hor. En fait pour certains égyptologues, Per-Ib-Sen aurait changé son nom de couronnement en plein règne passant du nom initial d’Hor « Sekhemib » à un nom de Set « Per-ib-sen ». Cette thèse du Per Aha ayant changé de nom est encore discutée parce qu’aucuns des objets retrouvés ne font mention des deux noms côte à côte, ainsi certains égyptologues penchent beaucoup plus pour deux Per Aha différents. Quelque soit les thèses soutenues, elles mettent en évidence l’entrée d’un Per Aha porteur d’un nom Setien à la tête de Kemet ce qui confirme les travaux de Petrie.
C’est également à cette période que l’on retrouve ce qui est pour l’instant qualifié comme le premier Per Aha portant un nom d’horus faisant référence à Râ, NebRâ « Râ est mon Maître ». Autrement dit, c’est dans cette dynastie que les fidèles de Râ furent à la tête de Kemet pour la première fois.
– Cette Dynastie se fermera par le Per Aha du nom d’Hor-Set Kho-sekhemui qui signifie « Les deux sceptres (Hor et Set) sont unis dans la paix».
On retrouve ensuite les manifestions de cette lutte dans la Ve Dynastie (de -2494 à – 2354 av J-C), lorsque Râ prit une place importante parmi les neterou en devenant la divinité principale d’Anu (Héliopolis) fusionnant d’une certaine manière avec le grand neter initial de cette ville, Atoum. Ils représentent alors deux des trois phases du Soleil. À Anu, un nouveau type de bâtiment fit son apparition, les Temples Solaires, 6 en furent construits. Les Per Aha de cette Dynastie procédèrent également à une modification de l’administration de Kemet, alors que les prêtres chargés des fonctions royales étaient jusqu’à lors des membres de la famille royale, c’est désormais auprès de la population non-régnante qu’ils furent choisis. Les Ministères, comme la Double Maison Blanche, le Double Bureau et le Double Grenier, furent dédoublés, un pour la Haute-égypte et un autre pour la Basse-égypte, cette réorganisation administrative aura pour conséquence la diminution de la puissance du Per Aha qui perdit peu à peu le pouvoir sur les clergés. Situation inédite puisque comme nous le dit James Henry Breasted, le clergé avait jusqu’à lors toujours été intimement lié à la Royauté.
Une des explications à l’apparition de cette Dysnatie solaire sera donnée sous forme de prophétie à travers le papyrus Westcar, copie d’un texte daté de la XII Dynastie, où Râ en personne « enfanta », Redjenet, la femme d’un de ses prêtres, qui donnera naissance aux trois premiers Per Aha de la Ve Dynastie.
Cette réorganisation survenue au cours de la Ve Dynastie est, d’après James Henry Breasted, à l’origine de la grande période d’instabilité qui toucha Kemet durant la VIe Dysnatie (de -2345 à -2181 av J-C), le pouvoir politico-alchimique des nomes, redevenues héréditaires dans la transmission, était devenu si important qu’elles prirent le dessus sur le pouvoir central du Per Aha provoquant la première scission de Kemet et la Première Période Intermédiaire (de 2181 à 2055 av J-C), avec Ouaset (Thèbes) comme capitale de la Haute-Égypte et Hout-nen-nesu (HeraKleopolis Magna), « Maison de l’Enfant Royal », capitale de la Basse-Égypte. Il faudra attendre la XI Dynastie (de -2134 à -1991 av J-C) et le Per Aha de Ouaset, MontouHotep II, pour assister à la seconde Sema Taoui. Son cas est assez symbolique des divergences potilico-alchimiques et de leurs évolutions puisqu’il changea sa Titulature 3 fois, son dernier nom d’Hor fut Hor Sema Taoui, « Hor, celui qui a unifié les Deux Terres ». Sa réunification fut très compliquée parce qu’il du faire face à l’opposition de clergés ne voulant pas de Ouaset comme capitale du Pays.
Bien qu’il n’y ait à l’heure d’aujourd’hui aucunes pistes archéologiques qui puissent expliquer ce revirement dans l’organisation politique, l’on peut émettre une hypothèse en partant de l’observation des sociétés « traditionnelles » africaines subsahariennes : les fidèles de Râ ont cherché à se débarrasser des anciens Prêtres Princiers, gardiens des Secrets et attachés à une certaine tradition de Rites, pour les remplacer par une nouvelle catégorie de Prêtres sélectionnés sur un autre critère que celui du sang. Dis autrement, ils ont dévoyé les Rites par usurpation des Titres et provoqué la fuite des Secrets.
Un autre exemple plus tardif selon la chronologie de Manéthon où Set fut mis en avant : la Dynastie des Ramessides (de -1295 à 1187 av J-C), d’abord avec Sethy 1er dont le nom signifie « Celui qui appartient à Set », puis, Ramses II, qui établit sa capitale de règne, Pi-Ramses, dans la région d’Avaris, berceau des Ramessides et ancienne capitale des Hyksôs, là où un temple à l’honneur de Set fut érigé.
Petrie n’est pas le seul à mettre en évidence cette lutte politico-alchimique plus vieille que la création de Kemet. Albert Slosman, également souligne cette lutte que les neterou se menèrent à travers les hommes. Il identifie 2 camps, « les Serviteurs des Temples de P’tah », la race des fidèles d’Hor et « les Adorateurs du Soleil, Râ », la race honnie des descendants des Rebelles de Set. Harris Geraldine quant à elle attribue le peu de présence de Ptah dans la littérature de l’Ancien Empire, au fait que les suivants de Râ étaient les principaux rédacteurs de ces archives et étaient connus pour être jaloux de P’tah. Runoko Rashidi qualifie la Dynastie des Ramesside de Dynastie solaire.
Un point par rapport aux travaux de Petrie, bien qu’il considère que les fondateurs d’Anu sont les rekhytu, on peut penser d’après la forte ressemblance au nom Anu qu’elle est plutôt de leur fait, c’est en tout cas dans ce sens que Cheikh Anta Diop, à partir des travaux d’Amélineau, ira. Il est possible que Petrie à son époque ignorait la cosmogonie de Râ sinon il n’aurait pu attribuer aux rekhytu qu’il considère comme les vrais gardiens de la Tradition la construction d’Anu. En effet, l’on aura remarqué que lorsqu’on fait mention de Set, on retrouve Râ, détail non négligeable dont des éléments explicatifs résident dans la cosmogonie d’Anu.
Bien que Râ ne soit pas le neter natif d’Anu (Héliopolis), il est assimilé d’une façon quasi parfaite avec les deux neterou que sont Kheperi et Atoum, qu’il serait presque surprenant aujourd’hui de les séparer. Ainsi la cosmogonie de Râ se confond à celle de Atoum puisqu’ils représentent les faces d’une même médaille.
Dans la cosmogonie de Râ, il existe des faits notables qui méritent notre attention.
– Râ est considéré comme le neter des neterou.
– Lorsqu’il est attaqué par le serpent Apop (Apophis) durant son parcours sur sa barque solaire, parmi les neterou qui viennent à son aide, il y a Set.
– Pour retrouver son époux disparu, Ousir, et sauver son fils, Hor, de la mort, Aset eut besoin de la magie contenue dans le nom secret de Râ, elle mit au point un piège qui le blessa afin de le récupérer.
– Constatant que Râ s’affaiblissait avec le temps, les humains ont décidé de se révolter contre lui. Prenant conscience de cette idée qui se répandait parmi les humains, il envoya Sekhmet déchaîner toute sa fureur contre les humains. Constatant la fureur de Sekhmet dans la réalisation de cette tâche, il reviendra plus tard sur sa décision en la stoppant à l’aide d’un piège.
– Après le meurtre commis par Set sur Ousir, une dispute entre Hor, le successeur légitime, et Set éclata, ce dernier refusant de laisser son neveu monter sur le trône. Bien que l’Énnéade (l’Assemblée des neterou) était en faveur du respect de la Tradition qui devait logiquement placer Hor sur le trône de Kemet, Râ s’y opposa privilégiant Set, créant ainsi une grande période d’instabilité.
– Une fois le trône de Kemet abandonné, Râ s’est retiré dans une contrée au-delà des limites du fleuve sur lequel progressait sa barque. Un lieu que nul peut atteindre.
Avant de conclure sur la cosmogonie de Râ, faisons un bref saut à Sumer.
Comme l’ont montrées les découvertes archéologiques et l’étude des squelettes, la population fondatrice de Sumer était similaire à celle qui a occupée pendant longtemps Kemet et dont les premières traces se trouvent au sud du Nil. Cette population pourrait-elle être une partie des Anu dont Rashidi dit que leur nom se retrouve jusqu’en Asie ? Sans que nous puissions pour l’instant répondre avec exactitude à cette question, des éléments y invitent.
Dans le bestiaire sumérien, il existe une divinité possédant des points communs avec Râ, divinité nommée Anu. Anu est la plus grande puissance de l’univers, source de toute existence et le souverain de tous les dieux sumériens. Il a deux fils Enlil et Enki. À l’instar de la trinité Petah-Ousir-Sokar, Enki est considéré comme le dieu bienfaisant, celui qui règle les problèmes entre dieux et humains, c’est sur demande des dieux qu’il créera l’humain afin de le faire travailler pour les dieux. Il est considéré comme l’être le plus intelligent comme en témoigne de nombreux récits datant de cette époque. Il demeure en Apzu, lieu similaire à Abdju, domaine de vie d’Ousir à Kemet.
Contrairement à Enki, Enlil, qui pourtant lui est supérieur dans la hiérarchie des dieux sumérien, est un dieu colérique, impétueux et sombre. Le succès d’Enki auprès des autres dieux attisera sa jalousie. Dans sa description, Enlil est assez similaire à Set, mais à la différence de ce dernier, il succéda à son père Anu, et devint le Roi de Sumer. Statut qui échappa à Set malgré l’intervention de Râ.
Anu, tout comme Râ, est décrit comme vivant au-delà des cieux, son nom servit ensuite à désigner de façon métaphorique les cieux. Et comme dans la cosmogonie de Râ, Anu à travers son fils Enlil sanctionna les hommes lorsque ces derniers se rebellèrent contre les dieux pour lesquels ils devaient travailler après qu’Enki leur ait appris les premiers éléments de civilisation. L’assyriologue Anton Parks associera d’ailleurs la chute de l’homme dans la genèse biblique à cette rébellion et Enki au serpent biblique.
Ce parallèle qui met en évidence une contradiction entre Sumer et Kemet est plus que troublant puisqu’on a faire à une même population ayant une conception de l’existence contraire, les sumériens se considéraient comme des esclaves des dieux, et faisant intervenir dans leurs mythes des personnages similaires et dont un lien semble exister entre Râ, la ville d’Anu, la similitude avec la plus haute divinité Sumérienne Anu et le groupe ethnique nommé Anu.
Un dernier point, Râ est considéré comme le neter du soleil, mais cette association n’a pas toujours été, c’est durant la 2e Dynastie, lorsqu’il commença à prendre de l’influence que cette association sera faite lorsqu’il sera lié à Atum. Ainsi avant la 2e Dynastie, Râ est un neter mineur sans grande influence et importance. L’on peut d’ailleurs faire une remarque, si l’on considère que Râ est le terme désignant le Soleil, le neter qui lui fût associé durant la 2e Dysnatie devait avoir un autre nom avant cette association, peut-être le nom secret qu’Aset lui arracha dans sa cosmogonie.
Au vu de tous ces éléments, où Râ semble être un protecteur de Set, l’on peut se poser des questions sur ce neter, qui en plus de ne rien avoir apporté aux hommes contrairement à Ptah, a participé à leur massacre et dont les fidèles ont été les initiateurs de la déstabilisation de Kemet. Et aisément comprendre cette lutte qui a pu s’engager entre deux clergés, pour les prêtres affiliés à Hor et donc fils de Ptah-Ousir-Sokar, c’est une insulte que d’avoir à la tête de Kemet un clergé qui met en avant le principe du chaos responsable de la mort d’Ousir.
En conclusion, Kemet a toujours porté les germes de sa déstabilisation qui nous apparaissent plus clairs et nous invitent à une réflexion, puisqu’au delà des confections théologiques qui dérivent en mythes, la Guerre des neterou est une réalité qui nous force à devoir reconsidérer le regard et le rapport qu’on pourrait envisager entretenir avec ceux-ci par delà le temps.
Sources :
Goerge Hart, « A Dictionnary of Egyptian Gods and Goddesses »,1986, Routledge & Kegan Paul Inc.
Runoko Rashidi, « CentMille Ans de Présence Africaine en Asie », ÉditionsDagan.
Messod et Roger Sabbah, « Les Secrets de l’Éxode »,2000, Le Livre de Poche.
Samuel Noah Kramer, « L’histoire commence à Sumer », 1993, Flammarion.
Cheikh Anta Diop, « Nations, Nègres et Culture », 1954, Présence Africaine.
IvanVan Sertima, « Egypt Revisited », 1989, Ivan Van Sertima.
NadineGuilhou & Janice Peyré, « La Mythologie Égyptienne »,2005, Marabout.
AntonParks, « Eden », 2011,Éditions Nouvelle Terre.
W.M Flinders Petrie, « The Making of Egypt », 1939, Macmillan.
Stephen Quirke, « The Cult Of Ra », 2001, Thames & Hudson.
James Henry Breasted, « Vol.1 The First to the Seventeenth Dynasties », 1906, The University of Chicago Press.
Geraldine Harris, « Gods andPharaohs From Egyptian Mythology », 1996, P. Bedrick
Albert Slosman, « Le Livre de l’Au-delà de la Vie », 1976, Baudouin.
Par Kaptchʉè Tô’kam
NZILA KONGO, LA SAGESSE KÔNGO
-Nkulu wumvua, kum’sompi ko. Samba Nkulu aku, kusambi Nkulu ngani ko.
– L’Ancêtre, on l’a par la descendance, et non d’emprunt. Adore ton Ancêtre n’adore jamais l’Ancêtre d’autrui.
– Kiasala Nkua Mazayu kitomanga, kia Nkua Bunzimbu ka kitomanga ko.
– Le travail fait par un Connaisseur est toujours de qualité, tandis que celui de l’Ignorant est toujours médiocre.
Mfumu Akongo wusalanga va fulu kiena bantu beti sala.
– Le Seigneur Akongo travaille là où il y a des gens qui travaillent.
– Bantu bamonanga ngandu, mu maza makondolo ngandu.
– Des gens qui voient des crocodiles dans une rivière sans crocodiles.
– Wazola vila mu Nza yayi, vidisa ntoto miaku ye lusansu luaku.
– Si tu veux disparaître et te perdre dans ce Monde, perd ta terre et ton identité culturelle.
– Kimbambi kiakala nungu, nkefu ka yimanisanga ko.
– La fiole où on a longtemps gardé le piment, le gaz piquant du poivre ne finit jamais.
– Wakuela nganda, dedikisa bikunku.
– Si vous êtes polygame, traitez vos femmes avec justice et égalité.
– Muisinsi wuyalanga, Nzenza kayalanga nsi ngani ko.
– C’est le Fils du Pays qui gouverne, pas l’Etranger.
– Lunungu lutuganga, mandangi ka matunganga ko.
– C’est la justice qui construit, tandis que l’injustice détruit la cohésion nationale.
– Bitungu vua kengi, kulendele bio nata ko, kengi diaka vua ?
– Alors que tu es incapable de transporter un fagot de neuf bois, tu en ajoutes encore neuf ?
– Makinu kua baleke, luyalu kua bambuta.
– Laissez la danse aux jeunes gens, tandis que la gestion du pays , confiez-la aux Sages, aux Frères Aînés.
– Wavuna, vioka, kadi luvunu ka sita ko.
– Le menteur finit toujours par être dénoncé.
– Mvita ntu, ka mabundu ko.
– Un peuple qui n’a pas un chef intelligent, visionnaire, et entreprenant, ne peut pas gagner une guerre.
– Mu mpu muzingilanga nsi.
– La prospérité d’un pays dépend de la qualité de ses dirigeants.
– Nkangu wabuaka nsuki, tumbu kua mfumu za nsi.
– C’est la faute des dirigeants du pays, si le Peuple périt.
– Kiame i vua, kieto ka vua ko.
– Le mien est ma propriété, le nôtre ne m’appartient pas individuellement.
– Wuntomisa, kidivo yatomisa kisalu kiame, kisalu kiaku.
– Place-moi dans les meilleures conditions de vie, de travail, afin que je puisse améliorer la qualité de mon travail, de ton travail.
– Buzoba dia budianga bizoba ye bisalu biawu.
– L’ignorance tue les ignorants et leurs oeuvres.
– Ngudi tatu zibutanga kimvuama : Yaya Mpatu, Yaya Munkita, ye Yaya Mavangilu.
– Il y a trois mamans qui engendrent la richesse : l’Agriculture, le Commerce, et l’Industrie.
– Wazola kinkole, dia mfuka.
– Si tu veux devenir esclave, endettes-toi.
-Nkua mata batinanga, nkua nlembami katinuanga ko.
– On craint celui qui est armé, le non-violent n’est jamais craint.
– Suama kuasuama nkewa besanga.
– Ils se cachent à la manière du singe qui est trahi par sa longue queue.
– Kodi dia moyo, ka dikomua, ka disumunua nlongo.
– La Loi Sacrée ne peut être modifiée, ni transgressée.
– Mvualangani ka manisanga mvualangani ko.
– On ne met jamais fin au désordre en agissant par le désordre.
– Kutu di wufiona dia Zengi ; ye vo , nkutu Zoba, mfuanda yimosi.
– On ne peut manipuler que celui qui est un imbécile ; et que , même un idiot, on ne le trompe jamais éternellement.
– Wazola vila mu Nza : vidisa Ntoto miaku, Nding’aku, ye Lusansu luaku.
– Si tu veux disparaître dans ce Monde, perd ta Terre, ta Langue, et ta Culture.
– Mono Makaba : wakaba zola, ngangu ye lendo.
– C’est moi le Makaba qui donne l’amour, la lumière (l’intelligence) et le pouvoir.
– Nsaku, Mpanzu, Nzinga : tubunda mpandu, ka tuvambudi mpandu ko.
– Nsaku(= Kinzambi : Religion), Mpanzu(= Kimazayu : Science), Nzinga(=Kimayala : Politique) : unissons les savoirs, ne séparons pas les savoirs.
– Bika menga ma Nzinga, mazinga Nza yayo.
– Puisse le sang de Nzinga rassembler le Monde entier.
SOURCE: http://mbutamassee.afrikblog.com/archives/2011/04/06/20830996.html
ORIGINE DU MOT NEGRE_ VERSION KAMIT
NÈGRE, l’origine d’un mot sacré
NGR, NETYR, le NIGER, le nègre, NIGGER, « Nigga, l’origine d’un mot sacré
«Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur, ton Dieu en vain», est l’un des dix commandements,
Pourtant, le terme raciste « Nigger » un dérivé du nom original de Dieu, « NGR » (prononcer « net-ger») est toujours utilisé et conduit à une insulte.
Le terme «Nigger» a ses origines dans le divin et sacré pour titre «Dieu», et provient de l’égyptien mot pour Dieu.
Ce mot est « Net-yer» ou «Net-ger», dont les termes anglais «nature» et «nourrir» vient.
L’idée d’être la nature de Dieu et la nature étant Dieu, vient de l’égyptien et l’Afrique idée de ce que Dieu est ce qui montre jusqu’à la similitude des termes utilisés pour décrire les aspects de la Divinité.
Les premières personnes à corrompre le terme « NGR» ont été les envahisseurs romains d’Egypte, qui peut-être entendu le terme utilisé pour décrire les
chef de file de l’Egypte ou en Nubie. Le terme «Niger» a ensuite été utilisé pour désigner tout noir / personne négroïdes que les Romains ont vu en Afrique ou ailleurs.
Les Romains ont tenté d’envahir la Nubie pendant les premières années de l’ère chrétienne. Alors, la Nubie, Koush était gouverné par une ligne de Queens appelé «Ka’andak’es (Candace). Une telle reine et son fils défait l’armée romaine à Assouan, (voir http://community.webtv.net/paulnubiaempire ) l’Egypte et brûlé le fort romain.
Et porta la tête en bronze DE AGUSTUS empereur romain à Cuschi (nubien) VILLE DE Napata.
Les Romains ont colonisé et diffusion de la langue latine à l’Europe. En raison de cette influence linguistique, le terme latin «Niger» est devenue «nègre» en français et «nègre» en espagnol.
Les colonialistes anglais et l’entité esclave emprunté le terme «nègre» de l’espagnol. Le terme pour les Noirs en Angleterre avant de Shakespeare était «Moor» ou «Black-Maure-. » Les propriétaires d’esclaves anglais dégradé et souillé le nom entier en tournant le nègre en esclave et en tournant le terme original « Ned-ger» ou «Dieu» dans le terme raciste « Nigger ». On peut dire qu’ils ont insulté le nom sacré de «Dieu» et ont opprimé le peuple d’origine créé par Dieu. Ce phénomène est dû à leur propre sens d’infériorité.
LISTE DES NOMS DE LA dénomination originale pour «Dieu» et «nègre / noir »
NGR (net-ger) l’Egypte ancienne pour Dieu
Net-Tyr (Net-ger) Khemitic / Egypte ancienne = Dieu, sacré, de la Nature
Net-Tyr (Net-GER)
Négus (Nee-GOOS) Terme éthiopien pour « empereur ».
Negashi (Nee-gah-Shee) Terme éthiopien pour « l’empereur ou le roi. »
Niger: Roman / terme latin pour le noir ou noir
Nègre: Français pour nègre ou noir
Negro: espagnol pour Black
Nigger « raciste », terme utilisé pour insulter corrompu, dégrader enfuriate.
Nigga: (prononcez «nig-gah), utilisé comme un terme d’affection par certains jeunes, a été rejetée par les autres comme sonde trop près du terme raciste » Nigger « .
Netzer (comme dans Nazerine) hébreu pour «racine, origine)
Naga (sud de l’Inde et la durée d’Afrique) (Black tribus noires de l’Inde et l’Afrique – Soudan au Nigeria) = original
Nagaloka – Le nègre noir, noir-australoïde, Indo-Negroid/Sudroid
les terres et les personnes en Asie (Inde à l’Indonésie)
(Voir plus du livre, « Nagaloka», par M. Gopinath (Dalit Sahitya Akademi, Bangalore, Inde) voir également «Une histoire du racisme et le terrorisme, et de surmonter, » à www.xlibris.com
Ndaba (Manding-Congo/South Afrique) = A Counsil des sages, les rois, chefs, etc.
Ngola (Manding-Congo) = « King / Seigneur »
Nkosi = Dieu (Zulu, Afrique du Sud)
Ngosi = bénédiction (Ibo, Nigeria)
Nyamekye = don de Dieu (Akan, Ghana)
Nil (Egypte, la rivière sacrée)
Niger (Afrique de l’Ouest; rivière sacrée)
Niger (pays en Afrique de l’Ouest)
Nigeria (pays en Afrique de l’Ouest)
Nugarmatta: Terme utilisé par les Africains de l’Empire du Ghana de faire appel eux-mêmes (voir les écrits d’Ibn Buttata – National Geographic Magazine
Le sacré « N » en Afrique et en Langues afro-asiatiques
La lettre « N » est l’un des plus importants préfixes d’Afrique, des afro-asiatiques, indo-négroïde, Negro-australoïde, mélanésiennes, de l’Australie aborigène, Austric, Kong-San (Bushmanoid), les langues Sudroid. En fait, le sacré « N » comme dans « Ni-Han» (Rising Sun) ou « NG » comme dans « Chang », (Chango dans le Manding-Congo), « Ndong » en vietnamien (Ndongo (Angola-Uni) en Afrique Congo-langues mandingue) se trouve également en chinois et en japonais. En fait, les anciens Chinois, Vietnamiens, Sud de l’Inde, SriLankan, mélanésiennes, aborigène d’Australie et du Japon moderne montrent de fortes similitudes avec Bantu (proto-historiques du Sahara, le Niger-Congo), les langues (voir «présence africaine en Asie précoce », par Ivan Van Sertima et Runoko Rashidi) Voir aussi les travaux de Clyde Winters A. vont également à http://community.webtv.net/nubianem (HISTOIRE CHRONOLOGIE) et http://www.cwo.com/ ~ lucumï / runoko.html
La lettre « N » est aussi le mot qui désigne un titre se rapportant à des êtres humains. En fait, en bantou ou le Niger-Congo et les langues Cushic, la lettre « N » se trouve que la première lettre de plusieurs noms. Par exemple, le nom de « Ndaba, » = « Counsil » tandis que le nom « Ndabaningi » est le premier nom des Africains dans la région de celle-ci.
Comment la Parole de Dieu, « NGR » (Net-ger) est devenu le Niger, le nègre et «Nigger»
Les anciens Egyptiens appelaient leur Pharaons « NGR » (Net-ger) parce que le pharaon égyptien était considérée comme une représentation du soleil et du dieu Soleil. Les pharaons d’origine qui étaient purs Africains noirs SAW peau noire comme sacré et un accès direct bénédiction du Dieu Soleil, Aton.
En fait Blackness et la peau noire a été associé avec Dieu et le soleil.
Noirs étaient puissants, culturellement ADVANCED et militairement supérieur, noir / brun foncé de teint, STRONG taille, grand et décrit comme un « beau » RACE (voir Hérodote, « Les histoires, les descriptions des« Éthiopiens »de l’Afrique et l’Inde du Sud).
La reconnaissance du pharaon comme un dieu et le noir comme la peau une bénédiction propagation vie dans le monde à d’autres cultures. En fait, le terme «Net-ger» est devenu le éthiopien « Négus » ou « Negashi. »
Dans le Sudroid (Indo-négroïdes de l’Inde) langues de l’Inde, qui font partie de la branche éthiopienne des langues africaines, le terme «Naga» désigne original ou la première.
En fait, dans l’Inde ancienne, le peuple de la plus noire peaux ont été respectés et tenus à l’IGH estime, contrairement à aujourd’hui où les racistes, colonialistes et concept étranger de « varna » racisme castecolor ou des lieux Sudroids, indo-négroïdes, Tribal Black, les Dalits, négro-Australoïdes et autres Noirs tout en bas de la société indienne.
Voir http://www.dalitstan.org/books/sudroid
Le terme « Ngola » (Angola) signifie « roi » dans les langues angolaises. Ce terme a été trompé par les Portugais pour désigner la décrire « Ndongo, » le royaume.
SOURCE: http://rss.grioo.com/forum/viewtopic.php?p=88463&highlight&sid=3ab43706fc46e86c4a1d6bd766635b35
CETTE PUISSANTE FORMULE TUE TOUTES LES INFECTIONS ET REDONNE LA SANTÉ
La formule de base de ce puissant fortifiant remonte à l’Europe médiévale, c’est-à-dire à l’époque où les gens souffraient de toutes sortes de maladies et d’épidémies.
Ce fortifiant est en fait un antibiotique qui tue les bactéries à Gram positif et à Gram négatif. Il dispose également d’une formule antivirale et antifongique puissante, augmente la circulation sanguine et le flux lymphatique dans toutes les parties du corps. Ce remède à base de plantes est le meilleur choix pour la lutte contre le candida.
Ce fortifiant a aidé beaucoup de gens à guérir de nombreuses maladies virales, bactériennes, parasitaires et fongiques et même la peste! Sa puissance ne devrait certainement pas être sous-estimée.
Il peut guérir de nombreuses maladies chroniques ou aiguës. Il stimule la circulation sanguine et purifie le sang. Cette formule a aidé des millions de personnes à travers les siècles à lutter contre la plupart des maladies les plus mortelles. Le secret réside dans la puissante combinaison d’ingrédients naturels de haute qualité et frais!
Pour résumer, ce fortifiant est efficace dans le traitement de toutes les maladies, renforce avec succès le système immunitaire, agit comme antiviral, antibactérien, antifongique et antiparasitaire. Il est d’une aide précieuse dans les infections les plus graves.
Recette du fortifiant
Vous pouvez porter des gants lors de la préparation, en particulier lors de la manipulation des piments, car les picotements dans les mains peuvent être difficiles à supporter. Attention, son odeur est très forte et il peut stimuler les sinus instantanément.
Ingrédients:
- 700 ml de vinaigre de cidre (toujours utiliser du bio)
- 1/4 de tasse d’ail finement haché
- 1/4 de tasse d’oignon finement haché
- 2 piments frais, les plus forts que vous puissiez trouver (soyez prudent en les nettoyant, portez des gants!!!)
- 1/4 de tasse de gingembre râpé
- 2 cuillères à soupe de raifort râpé
- 2 cuillères à soupe de curcuma ou deux morceaux de racine de curcuma
Préparation:
- Mettez tous les ingrédients dans un bol et mélangez les, à l’exception du vinaigre.
- Transférez le mélange dans un bocal.
- Versez du vinaigre de cidre et remplissez le complètement. C’est préférable que le bocal contienne 2/3 d’ingrédients secs, et de remplir le reste avec du vinaigre.
- Fermez bien et remuez.
- Conservez le bocal dans un endroit frais et sec pendant 2 semaines. Remuez bien plusieures fois par jour.
- Après 14 jours, passez le mélange dans une passoire ou mieux, ajoutez une gaze pour bien extraire le jus.
- Utilisez le reste des ingrédients secs dans les préparations alimentaires.
Votre fortifiant est prêt à l’emploi. Vous n’avez pas besoin de le garder au réfrigérateur. Il durera longtemps.
Astuce supplémentaire: vous pouvez également l’utiliser dans la cuisine – mélangez le avec un peu d’huile d’olive et utilisez le comme sauce à salade ou dans vos ragoûts.
Dosage:
- Attention: la saveur est très forte!
- Astuce supplémentaire: mangez une tranche d’orange, de citron ou de citron vert après avoir pris le fortifiant pour soulager la sensation de brûlure.
- Gargarisez-vous la bouche et avalez.
- Ne diluez pas dans de l’eau car cela réduirait l’effet.
- Prenez 1 cuillère à soupe chaque jour pour renforcer le système immunitaire et lutter contre le froid.
- Augmentez la quantité chaque jour jusqu’à atteindre une dose d’un verre à liqueur par jour.
- Si vous luttez contre une maladie ou une infection plus grave, prenez une cuillère à soupe du fortifiant 5-6 fois par jour.
- Il est sans danger pour les femmes enceintes et les enfants (utilisez de petites doses), parce que les ingrédients sont naturels et ne contiennent pas de toxines.
Les bienfaits pour la santé
L’ail est un antibiotique puissant avec une large gamme de bienfaits. Contrairement aux antibiotiques chimiques qui tuent des millions de bactéries dont votre corps a besoin, il n’a pour cible que les bactéries et micro-organismes pathogènes. L’ail stimule et augmente également la quantité de bactéries saines. C’est un agent antifongique puissant qui détruit tout antigène, agent pathogène, et micro-organismes pathogènes.
L’oignon est le plus proche parent de l’ail et il a une action similaire mais plus douce. Ensemble, ils créent un duo très puissant.
Le raifort est une plante puissante, efficace pour les affections des sinus et des poumons. Il ouvre les voies des sinus et stimule la circulation là où les rhumes et la grippe commencent habituellement, comme le diraient la plupart des médecins.
Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et c’est un grand stimulant de la circulation.
Les piments sont les stimulants de la circulation les plus puissants. Leurs propriétés antibiotiques n’agissent que là où les affections pathogènes résident.
Le curcuma est l’épice la plus parfaite, il nettoie les infections et réduit l’inflammation. Il bloque le développement du cancer et prévient la démence. Il est particulièrement utile pour ceux qui souffrent de douleurs articulaires.
Le vinaigre de cidre – Il doit y avoir quelque chose de très sain dans l’utilisation du vinaigre de cidre car le père de la médecine, Hippocrate, l’utilisait vers les années 400 avant JC du fait de ses propriétés curatives. Il est dit qu’il n’a utilisé que deux remèdes : le miel et le vinaigre de cidre. Le vinaigre de cidre est fabriqué à partir de pommes fraîches et mûres qui sont ensuite fermentées et passent par un processus rigoureux pour donner le produit final. Le vinaigre de cidre contient de la pectine, une fibre qui réduit le mauvais cholestérol et régularise la tension artérielle.
Les experts de la santé conviennent que les gens ont besoin de plus de calcium en vieillissant. Le vinaigre aide à l’extraction du calcium à partir d’aliments qui en contiennent, ce qui contribue au processus de maintien de la résistance osseuse. Une carence en potassium provoque une variété de problèmes, y compris la perte des cheveux, les ongles cassants et les dents fragiles, la sinusite et le nez qui coule. Le vinaigre de cidre est riche en potassium. Des études ont montré que les carences en potassium provoquaient une lenteur de la croissance. Tous ces problèmes peuvent être évités si vous utilisez du vinaigre de cidre régulièrement. Le potassium supprime également les déchets toxiques de l’organisme.
Le bêta-carotène prévient les dommages causés par les radicaux libres, maintient la peau ferme et jeune. Le vinaigre de cidre est bon pour ceux qui veulent perdre du poids.
Il décompose la graisse, ce qui soutient un processus naturel de perte de poids. Le vinaigre de cidre contient de l’acide malique, efficace dans la lutte contre les infections fongiques et bactériennes. Cet acide dissout les dépôts d’acide urique qui se forment autour des articulations et soulage ainsi les douleurs articulaires. L’acide urique dissous est ensuite éliminé de l’organisme.
On croit que le vinaigre de cidre est utile dans le traitement de problèmes comme la constipation, les maux de tête, l’arthrite, la faiblesse osseuse, l’indigestion, l’hypercholestérolémie, la diarrhée, l’eczéma, l’irritation oculaire, la fatigue chronique, l’intoxication alimentaire légère, la perte de cheveux, l’hypertension artérielle, l’obésité, et de nombreux autres problèmes de santé.
Ce fortifiant est la meilleure combinaison pour lutter contre chacune de ces affections. Protégez votre santé en utilisant des antibiotiques naturels.
Source : http://www.healthyfoodhouse.com/kill-your-infections-with-this-master-tonic-recipe-2/
MONOMOTAPA, UN EMPIRE MÉDIÉVAL AFRICAIN
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO Grand Zimbabwe le plus emblématique d’un vaste ensemble de plus de 200 sites fortifiés et apparentés.
L’Empire du Zimbabwe constitue une des plus extraordinaires entités politiques d’Afrique australe avant la colonisation européenne. A son apogée, Grand Zimbabwe abritait entre 15 000 et 20 000 habitants. Déclaré monument national et inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, Grand Zimbabwe donna son nom à l’ancienne Rhodésie indépendante depuis le 18 avril 1980.
Les complexes de vallées sont dominées par le Huru Imba . La hauteur de la paroi principale de la Huru Imba est d’environ 20 mètres, et utilise près de 15.000 tonnes de superbes blocs de granit. Les blocs impressionnants ont été construits sans mortier. Le construction de ce complexe ont des compétences, de la détermination et de l’industrie, et donc la Huru Imba démontre un haut niveau de réalisation administrative et sociale en réunissant des tailleurs de pierre et les autres travailleurs sur une grande échelle.Le réseau commercial étendu fait Grand Zimbabwe une des régions commerciales les plus importantes au cours de la période médiévale. Les éléments principaux partenaires commerciaux étaient en or, le fer, le cuivre, l’étain, le bétail, et aussi des cauris. articles importés inclus verrerie de la Syrie, une pièce de monnaie frappées de Kilwa, Tanzanie, et de la céramique persans et chinois des 13-14 ème siècles.Great Zimbabwe était un important centre commercial et politique. En plus d’être au cœur d’un vaste réseau commercial de négociation, le site était le centre d’un puissant royaume politique, qui était sous la règle centrale pour environ 350 ans (de 1100 à 1450 J.-C.). Le site est estimé à contenait peut-être 18.000 habitants, ce qui en fait l’une des plus grandes villes de l’époque. La conclusion inéluctable est que le Grand Zimbabwe avait une population condensée suffisamment pour qu’elle soit considérée comme une ville, un empire médiéval construit par des noirs en Afrique…
QU’EST-CE QUE L’ECRITURE AMHARIQUE ?
COMMENT S’ÉVEILLER SPIRITUELLEMENT
Lorsque nous venons au monde, à notre naissance, il est mis sur nous un « voile de l’oubli », de sorte que nous n’ayons plus conscience de nos vies antérieures, ni de ce qui nous a conduit ici ; tout le jeu de la vie, c’est de se réveiller, pour se rappeler pourquoi nous vivons, pour grandir en esprit et en amour, et de ce que nous sommes, c’est à dire des esprits dans des corps de chair et de sang qu’accompagne notre âme qui est la boite noire qui enregistre toutes nos actions bonnes et mauvaises tout au long de notre vie ici.
Le problème qui se pose à nous c’est de trouver par nous mêmes, tout seuls, ainsi le veut le « jeu » de la vie, le chemin qui nous conduira à l’éveil, certains ont la chance de naître avec des facultés telles qu’ils y arrivent très vite, mais le plus grand nombre est dans le flou le plus complet, alors comment faire ?
L’exercice est d’autant plus difficile que l’on est dans une situation d’handicaps majeurs si l’on ne croit pas au Créateur, un préalable indispensable, et que l’on considère dès lors que tout est permis et que la vie c’est la Loi de la jungle, donc celle du plus fort.
A partir de là tout est permis et le réveil doit se faire s’il a lieu avant le « retour » vers le monde des esprits (à la mort) par un véritable électrochoc ; le plus souvent un événement douloureux, très douloureux (perte d’un être cher, ou de son emploi…) pour obliger celui qui est perdu à se remettre en cause, à se « remettre » en être pensant, ce qui peut l’amener à se souvenir de son esprit.
Pour ceux qui n’ont pas cet handicap et pour qui l’existence du Créateur ne fait aucun doute, la question demeure : comment se réveiller, faut-il suivre tel ou tel gourou, tel ou tel cercle ?
Dans un monde où le « star système » est érigé en mode, c’est la tentation la plus facile ; de nos jours la plupart rêvent de leur heure de gloire, chacun veut tirer à soi la couverture pour être estimer des autres, pour être la vedette et pour cela tous les moyens sont bons, jusqu’à les maintenir dans le mensonge pour mieux les contrôler et préserver l’ascendant que l’on a sur eux, ainsi ils croient tout ce qui leur est dit.
Chacun rêve de devenir célèbre, qui en passant à la télé, qui en tuant, qui en volant, qui en faisant de la prison…C’est souvent le fait de ceux qui ne sont pas encore éveillés en esprit ; ce n’est pas sain, mais cela relève davantage de l’ignorance.
En revanche, nombreux sont ceux qui ont compris la Loi d’amour, sont éveillés et ont ouverts en eux quelques capacités, qu’ils sont pourtant tenus, en vertu de le Loi d’amour, de partager avec autrui mais dont ils se servent au contraire pour soumettre autrui à leur pouvoir, leur volonté, soit en vue d’en soutirer de l’argent ou quelque autre avantage matériel, soit pour le seul plaisir de dominer, autant de pratiques qui vont à l’encontre de la Loi d’amour.
Ceux-là sont particulièrement condamnables car violant la Loi d’amour et son principe d’intégrité en toute lucidité, c »est le cas de nombre de leaders religieux, voire spirituels, aujourd’hui.
En effet, alors que celui qui sait devrait communiquer aux autres ce qu’il sait à titre gratuit et sans distinction, et d’ailleurs j’en profite ici pour faire un mea culpa par rapport à la méthodologie de prière que je vais divulguer dans ce texte pour l’avoir donnée à quelques uns en aparté alors que j’aurais dû le faire pour tous, ils préfèrent conserver pour eux, et par tous les moyens, ce qu’ils savent afin que les autres demeurent dans l’ignorance et sous leur emprise !
S’éveiller en esprit relève de l’initiation, qu’est-ce que l’initiation ? S’initier c’est s’ouvrir à la Connaissance, celle de toutes ces choses-ci : qui l’on est soi-même et les autres, que fait-on ici-bas, avec quelles armes spirituelles doit-on le faire ?
Pour répondre à toutes ces questions, donc s’initier, il existe milles manières : on peut tomber sur un livre ou un texte qui vous parle ce qui entraîne en vous « le déclic » ou vous sert de « clé », on peut rencontrer quelqu’un qui vous fait les mêmes effets, ou suivre une émission de télévision, ou tomber sur une conversation qui ne vous concerne pas au départ dans quelque endroit que ce soit (à son travail, dans la rue, dans le train, le métro…) et que cela vous fasse les mêmes effets…
Mais le moyen le plus sûr, parce qu’il dépend de vous seul, ne vous crée aucune dépendance vis à vis de quiconque et ne présente ni risque ni inconvénient c’est la prière ; en effet que risque-t-on à prier si on n’invoque et sait n’invoquer que le Créateur de toute chose et qu’on le dit clairement au commencement de sa prière ?
Eh oui, il est impératif quand on prie de rappeler à chaque fois à qui l’on s’adresse afin que cela n’appelle pas des entités malsaines !
La prière donc est la clé du réveil en esprit.
Cependant celle-ci doit être exécutée selon une méthodologie sans faille qui consiste en trois étapes : la première est celle de la purification intérieure par la demande de pardon, la seconde est celle des remerciements pour tout le bien qui a été accompli pour vous entre la dernière période où vous avez prié et le moment où vous le faites à nouveau, la dernière étape est destinée aux doléances ou demandes adressées au Créateur et aux ancêtres.
Cela c’est la démarche d’ensemble, mais au sein de chacune de ces étapes des régles sont de nouveau à respecter.
1) La demande de pardon (voir « la demande de pardon dans l’ère du verseau »)
La prière chez les Kongo, je prends cet exemple parce que j’en suis un, démarre toujours par trois bravos (makunkus) espacés de quelques secondes pour signifier au Créateur et aux ancêtres qu’on commence !
Demander pardon au Créateur de toute chose à qui nous devons la vie et l’amour c’est reconnaître avoir failli à la Loi d’amour à un moment où à un autre au cours de la période pour laquelle on demande le pardon et c’est au Créateur qu’il faut faire cette demande puisqu’on ne peut faillir que vis à vis de celui à qui on doit et la vie et l’amour, ainsi que la loi qui l’accompagne !
Demander le pardon c’est se purifier, c’est à dire se laver intérieurement, mais assi s’alléger et instaurer la paix à l’intérieur de soi, mais pour que le résultat soit acquis, encore faut-il l’avoir fait sur deux double plans :
a) Demander pardon au Créateur pour le mal qu’on a pu avoir fait aux autres en pensée, en parole, en action, de façon consciente et inconsciente durant toute la période pour laquelle on demande ; la première fois on demande pour depuis sa naissance jusqu’au jour où on le fait, ensuite, pour toutes les fois d’après et au jour le jour, on demande pour depuis un moment (par exemple le matin) jusqu’à un autre (par exemple le soir) mais on demande aussi pour le mal qu’on s’est fait à soi-même !
Oui demander le pardon aussi pour le mal qu’on s’est fait, de la même manière qu’à autrui, car point de paix si on s’oublie soi-même à ce niveau-là !
b) Accorder le pardon, donc pardonner aux autres ce qu’ils ont pu nous avoir fait de mal durant la même période qu’en a) : depuis la naissance pour la première fois, puis d’une période à l’autre pour chaque jour ensuite.
Accorder le pardon, donc pardonner aux autres, c’est dire clairement à voix haute ou au fond de soi « devant toi Nzambia Mpungu (c’est le nom du Créateur en Kikongo), suivant le nom que vous lui donner, je pardonne aux autres tout le mal qu’ils ont pu m’avoir fait de toutes les manières possibles, dont je suis conscient ou non depuis ma naissance (pour la première fois) jusqu’à aujourd’hui et, pour les jours suivants, depuis telle période (par exemple le matin) jusqu’à telle autre (le soir par exemple) ».
Accorder le pardon c’est aussi déclarer solennellement devant le Créateur qu’on se l’accorde et se pardonne aussi à soi-même suivant la même formule utilisée pour accorder le pardon aux autres, donc : « devant toi Nzambia Mpungu, je me pardonne aussi à moi-même tout le mal que j’ai pu m’être fait de toutes les manières possibles, dont je suis conscient ou non depuis ma naissance (pour la première fois) jusqu’à aujourd’hui et, pour chaque jour ensuite, depuis telle période (par exemple le matin) jusqu’à telle autre (le soir par exemple).
Une fois ces deux doubles étapes clairement réalisées, vous pouvez estimé être « pur » à ce moment-là et cela dure jusqu’à vos prochains manquements à la Loi d’amour !
Si ces explications ne vous semblent pas suffisamment claires, se reporter à mon article sur « la demande de pardon à l’ère du Verseau ».
En tous les cas, puisque vous voici propre intérieurement, donc pur, vous pouvez remercier pour tous les bienfaits qui ont été accomplis sur vous.
2) Les remerciements
Il s’agit de remercier non seulement le Créateur mais aussi tous ceux qui l’aident à accomplir nos demandes ici-bas, c’est à dire tous les ancêtres ascensionnés, tous ceux qui sont devenus des christs ou des illuminés, il en existe un certain nombre dans l’humanité et là chacun doit citer ceux qui correspondent à sa culture ancestrale et seulement ceux-là.
Concrètement comment reconnaître un ancêtre ascensionné, illuminé, ou élévé au Christ ?
C’est nécessairement quelqu’un qui s’est illustré par une capacité d’amour hors du commun, ce qui l’aura conduit vers des actes mémorables à l’égard d’autrui, qui a dévoué sa vie aux autres (même à une petite échelle, non mondiale), qui n’a pas fait couler de sang, sauf très grosse exception, mais la plupart ne doivent pas en avoir fait couler ou être à l’origine de mort d’autrui !
Une fois que vous les avez identifiés, cela signifie que, si vous êtes noir, vous citerez des ancêtres noirs tels que Kimbangu, Matsua, Bueta Mbongo, Biayenda, Toko, Kimpa Mvita, mama Mafuta, mama Ngunga, mama Mwilu, mama Anuarite…
Une fois qu’on connait ces ancêtres qu’on a décidé de citer dans ses prières pour les remerciements mais aussi pour les doléances, en même temps que le Créateur, il faudra les citer après avoir invoqué le Créateur non seulement dans les remerciements mais aussi dans la phase des doléances, pourquoi ?
Parce que quand un être humain atteint l’ascension ou l’illumination, il devient un « dieu » puisqu’il lui a été permis de revêtir le Christ, cette dimension du Créateur qui est destinée à la fois à ceux qui ne sont plus qu’amour et à enseigner l’humanité dans la voie d’amour ou le Kimuntu (voir « existe-t-il une nature noire ou blanche en spiritualité ? »).
C’est dans ce sens-là que nombreux parlent des dieux et non pas de Dieu tout seul, cela signifie que ceux qui ont été élevé à ce rang-là sont en droit d’être des relais ou, mieux encore, sont en droit de figurer dans le « gouvernement » du Créateur pour répondre aux demandes d’ici-bas qui vont dans le sens de l’amour et sont, donc, méritoires !
Donc dans ma prière à moi Kongo, par exemple, je me dois de dire :
« Je te remercie Nzambia Mpungu (c’est le nom du Créateur en kikongo) pour tous les bienfaits que tu as accomplis pour moi depuis ma naissance (pour la première prière) jusqu’à aujourd’hui et je remercie également mes ancêtres, les tatas Matsua, Kimbangu, Bueta Mbongo, Biayenda, les mamas Mafuta, Kimpa, Ngunga, Mwilu et tous les autres pour cela ».
Par la suite pour chaque jour, il faut formuler ses remerciements depuis une certaine période (par exemple le matin) jusqu’à une autre (le soir par exemple) : « Je te remercie Nzambia Mpungu pour tous les bienfaits que tu as pu avoir accomplis pour moi depuis le matin jusqu’à ce soir ou depuis hier soir jusqu’à ce matin et je remercie aussi mes ancêtres les tatas …et les mamas..ainsi que tous les autres pour cela ! ».
Une fois les remerciements effectués au Créateur et aux ancêtres dont on aura choisi les noms parce qu’on connait leur histoire personnelle et qu’il en résulte de la confiance en eux, on peut passer à l’étape des doléances ou demandes.
3) Les doléances ou demandes dans la prière
Ici aussi les doléances ou demandes s’adressent à la fois au Créateur et aux ancêtres, comme pour les remerciements, mais ici il faut retenir une régle majeure : une doléance à chaque fois, puis une autre après.
Concrètement voici un exemple :
Pour moi Kongo, mes demandes sont adressées à Nzambia Mpungu (c’est le Créateur en Kikongo) et aussi aux ancêtres illuminés Kongo, donc : « Nzambia Mpungu Tulendo wa vanga zulu ye ntoto (Dieu tout puissant Créateur du ciel et de la terre), je te demande de m’aider à m’éveiller en esprit, c’est à dire à m’ouvrir à moi-même, je demande aussi la même chose à mes ancêtres les tatas…et les mamas…ainsi qu’à tous les autres » et je finis par « Nge ta » (ainsi soit-il !) ou « E nkassukulu, E tia ! » ou « Nzambi wa bonga, wa sa ! », qui veulent dire la même chose !
J’enchaîne sur une seconde demande : « Nzambia Mpungu Tulendo wa vanga zulu ye ntoto (ou juste Nzambia Mpungu) je te demande aussi de me faire découvrir les capacités en esprit qui sont en moi en les éveillant, je demande aussi la même chose aux ancêtres les tatas…et les mamas…ainsi qu’à tous les autres ! « Nge ta » pour finir ou « E nkassukulu, E tia » ou « Nzambi wa bonga, wa sa ! ».
Ensuite j’enchaîne sur la troisième : « Nzambia Mpungu, je te demande aussi de me faire savoir ce pourquoi je suis ici-bas, c’est à dire ma mission sur terre, je demande aussi la même chose à mes ancêtres les tatas..et les mamas..ainsi qu’à tous les autres, Nge ta (ou…) »
Si j’ai une autre demande, je la formule en l’adressant au Créateur et aux ancêtres, sinon, je conclus ma prière par trois bravos espacés de quelques secondes les uns des autres pour signifier que j’ai fini !
Cela est peut être long à lire, mais pas si long à pratiquer, puisque ne prenant que cinq à dix minutes qu’est-ce que cinq ou dix minutes chaque jour et que risquez-vous à essayer si vous croyez déjà au Créateur ?
Dernier conseil, priez au moins le matin, pour avoir la sérénité en esprit tout au long de la journée et aussi le soir pour dormir en paix, mais il n’est pas exclu de le faire à tout autre moment dès lors que vous en ressentez la nécessité !
Ecrit par Luzolo Menga Ma Kongo
LA RÉINCARNATION, LE PROCESSUS DE L’ELEVATION DE LA CONSCIENCE
La vie est un processus conçu par DIEU, durant lequel, l’humain se réincarne, encore, encore et encore pour se perfectionner et s’élever dans la hiérarchie universelle; Si l’esprit d’un homme ne comprend pas le créateur, la raison de l’univers ou de sa propre existence, il sera incarné dans un corps, les expériences de cette vie charnelle lui permettront d’acquérir la sagesse et la connaissance, dans cette incarnation, dans tout ce qui lui sera donné à connaitre, s’opposeront deux extrêmes, il pourra comparer les éléments de cette univers dût à le polarisé afin de comprendre la vérité , il apprendra aussi l’existence des réflexes mentaux conscients et inconscients pour qu’il apprenne à contrôler ses réactions automatiques.
La réincarnation est un processus voulu par Dieu dans le but d’élever la conscience humaine, le fait que l’esprit humain se réincarne continuellement dans un corps pour comprendre ce qu’est l’harmonie en analysant les résultats de ses décisions ; au cours de ces nombreuses vies d’expérience contraire, d’angoissé et de paix, de dépressions et de joie, de richesses et de pauvreté de santé et de maladie, il comprend les raisons de son existence et s’affranchit des contingences matérielles pour devenir un surhomme immortelle, un maître qui au moment de sa mort dans l’une de ses multiples vies, ne perd pas la conscience des connaissances qu’il a accumulés à sa prochaine vie, un esprit sage qui à la fin de chaque étape, franchi une nouvelle marche vers la perfection l’universel.
Il apprendra à dépasser ses peurs de l’abandon, ses instincts agressifs et défensifs, il apprendra la compréhension, de la nécessité, de la dualité et de la polarisation universelle afin que l’esprit puisse établir des comparaisons entre des fins opposées et trouver ainsi la vérité cachée dans ces mystères, en expérimentant lui-même les conséquences de ses décisions et de sa conduite, par le chagrin, il comprendra le bonheur, par l’angoisse, il connaîtra la paix, au long de nombreuses vies, après avoir comparer les deux extrêmes, il comprendra que la seule vérité est au centre, dans la neutralité de l’amour, à travers la réincarnation, comprend peu à peu, il devient un être qui respecte tout se qui existe, il comprend que tout sur cette terre a une fonction, il accepte que toutes les circonstances dans la vie, même les plus difficiles, sont parfaites, car elles lui enseignent la voix de l’élévation spirituelle. Il apprendra à conserver l’énergie vitale, à comprendre l’importance du respect et du libre arbitre, accélérant son processus d’évolution.
Au cours de chaque vie, l’esprit habite un nouveau corps qui obéît à ses décisions et lui envoie continuellement des informations du MONDE EXTÉRIEUR par l’intermédiaire de ses sens et de ses terminaisons nerveuses, vie après vie, l’homme comprend toute sorte de décision qui le relie aux autres êtres que sont les entités ou encore les ANGES, il tire des leçons de ses difficultés et trace ainsi sa destiné, petit à petit, la réincarnation rend l’homme plus tolèrent ; il devient alors l’héritier de la caste de Dieu, celui qui possède le savoir et le pouvoir qu’il procure et qui a pour mission de guider toute créature autour de lui. Vie après vie, l’homme s’élève, il acquière le savoir, la paix et l’harmonie, il possède de plus en plus d’énergie vitale, il devient un être plus tolérant et respectueux, il accède à la puissance, il comprend que dans cette énergie duale, dans les circonstances les plus compliquées/contradictoires, la seule neutralité possible, est celle de l’amour, l’amour est neutre tout comme DIEU. Ces expériences lui permettent aussi d’apprendre que la peur de l’échec peut t’être maîtrisé et que chaque vie est suffisante pour connaitre ce qu’il y a lieu de connaitre dans cette vie là, manière d’enseigner à l’homme la réalité et le sens de la vie.
Ce processus lui permet d’éveiller la peur de la mort, il lui permet d’apprendre à la contrôler et comprendre que la mort n’est qu’un pas vers une autre expérience/étape d’apprentissage. Comme le montre le zodiaque « LE CYCLE COSMIQUE » que vous présente l’image publiée ici, (c’est une image du ZODIAQUE « cycle cosmique » filmée à de DENDERA dans un temple en NUBI), ce processus d’apprentissage ressemble à un cycle cosmique, soi douze « 12 » airs zodiacales. En effectuant un tour complet, le système solaire reçoit l’éradication de chacune des constellations, comme cela indique dans le cercle/cycle que vous apercevez sur cette image, durant ces 25.920 années, chaqu’esprit se réincarne 700 fois dans des corps, des endroits, des époques, des circonstances, des conditions et des personnalités différentes ; Dans chaque vie, il apprend quelque chose de différent, à chaque fois, il est influencé différemment par les forces irradiées des étoiles, ainsi, chaqu’être vivant passe par un CYCLE COSMIQUE durant lequel il reçoit l’énergie des douze « 12 » constellations, l’influence des CIEUX qui marque les rythmes de sa vie et génère différents états d’esprit.
Ce processus d’apprentissage de l’humain au cours de ces vies étant lié au mouvement de notre planète et au système solaire, tout était/est « tout a été) planifié par les ÉTOILES. La connaissance du fonctionnement de l’univers qui de mieux à ce que nous appelons, la vie ; Cette vie a ses réalités très mystérieuses & miraculeuses, l’une de ses réalités est la vie. La vie, durant le processus d’élévation est composé de sept « 7 » niveaux d’énergie vibratoires, sept « 7 » courants énergétiques qui correspondent à des niveaux différents de pouvoir et de force ; Le corps humain possède sept « 7 » chakra ou centre de transformation de l’énergie fondamentale de l’univers, chaqu’être humain n’utilise qu’un seul centre au cours de sa vie présente (au cours de chaque vie/étape) en fonction du niveau d’élévation de sa conscience ; meilleur est sa connaissance de l’univers, plus grand est son respect, plus haut est le chakra ou le centre nerveux qu’il utilise pour transformer cette énergie, plus son chakra est haut, plus il génère d’énergie quotidienne et plus il possède des forces transcendantales. (LES CHAKRAS SONT DES ZONES SECRETES DU CORPS HUMAIN) « Sept « roues » invisibles », On ne peut ni les toucher ni les voir. Pourtant, selon la médecine traditionnelle ou la spiritualité Nubienne/Egyptienne/Africaine, quand l’un de nos sept chakras est perturbé, tout notre équilibre physique et psychique se trouve bouleversé, d’où la mort ou la folie.
Plus l’homme s’élève spirituellement, plus il devient un être extra (un homme Dieu), il peut contrôler les forces fondamentales de l’univers grâce au haut niveau d’énergie vitale qui demeure dans son corps, son système nerveux acquière une résistance en adéquation avec ce niveau d’énergie, car son énergie vitale augmente graduellement en même temps que sa résistance nerveuse, il apprend à être en paix, en harmonie avec tout ce qui existe, à accepter la perfection de l’univers, à diriger son énergie vitale vers le chemin de l’élévation de l’esprit qui conduit à l’homnypotance au contrôle des forces et des énergies suprêmes, il suit une instance préparation physique, mentale et spirituelle qui se termine par l’expérimentation de la totalité/somme et du néant, du manifeste et de l’indicible, il reçoit des pyramides ou encore des montagnes, une énergie puissante qui lui permet d’atteindre le SEPTIÈME NIVEAU DE CONSCIENCE.
NB : Dans la vie, certains sont plus avancés que d’autres, mais tous ont droit/accès à l’immoralité et à la permanence de la conscience par celui par lequel ils apprendront à s’adapter, à accepter la réalité des choses et à respecter les êtres qui les entourent, ce chemin peut-être pavé de souffrances ou de paix et d’harmonie, cela dépend de notre capacité à nous de contenter de ce que nous avons fait à nous sentir reconnaissants d’être en vie, d’avoir l’opportunité de comprendre que c’est l’amour qui nous a créés.
L’homme, amélioré de sa vie, acceptant les moments difficiles comme des étapes nécessaires sur son chemin de l’apprentissage, il demeure/demeurera ainsi dans la tête et l’harmonie ; le processus de la vie enseigne comment l’homme, même dans un monde de souffrance peut s’affranchir des contraintes physiques et devenir un être capable de transformer la matière pour voyager librement dans le temps et l’espace au milieu des contradictions de chaque clic, tout-homme apprend quelque chose à chaque étape de sa vie et renaît à la prochaine vie un peu plus sage, car la polarité entre la lumière et les ténèbres, entre la peur et l’amour, il apprend à trouver la paix et l’harmonie, pour garder son énergie vitale par l’expérience des Atrides l’angoissé auxquelles conduisent la colère et la haine ou le désir de vengeance, il comprend les bienfaits de l’harmonie en prenant conscience que chaque décision produit à la fois de la douleur et du soulagement, il pourra/peut faire d’une vie infernale à un paradis.
Voila comment nos ancêtres inventèrent une méthode pour révéler ce qu’ils savaient sur Dieu, l’univers et le processus d’élévation de l’âme d’un humain durant des milliers d’années. Ils avaient compris, que toutes les actions de la vie quotidienne la pêche les semailles la récolte, nous rapproche chaque jour un peu plus de la perfection divine
HISTOIRE GÉNÉRALE DE L’AFRIQUE (TOME 5)
Le volume V couvre l’histoire de l’Afrique du début du XVIe siècle à la fin du XVIIIe siècle. Deux grands thèmes se dégagent : la poursuite du développement interne des États et des cultures de l’Afrique au cours de cette période, et la participation croissante de l’Afrique au commerce international – avec des conséquences majeures, mais alors imprévisibles pour le reste du monde.
En Afrique du Nord, nous voyons les Ottomans conquérir l’Égypte et établir des régences à Tripoli, Tunis et Alger. Au sud du Sahara, l’effondrement de certaines puissances plus anciennes (Empire songhay, royaumes de l’ouest du Soudan, Éthiopie chrétienne) coïncide avec l’émergence de nouvelles bases de pouvoir (royaumes Ashanti, Dahomey, Sakalava). Des structures politiques et administratives très centralisées se mettent en place, entraînant l’apparition de classes sociales distinctes, et présentant souvent un caractère féodal prononcé. Les religions traditionnelles continuent à coexister avec le christianisme (plutôt en recul) et l’islam (en plein essor).
Le long de la côte, en particulier en Afrique de l’Ouest, les Européens tissent un réseau commercial qui, avec le développement de l’agriculture de plantation du Nouveau Monde, va devenir le centre de la traite négrière internationale. Les conséquences immédiates de ce commerce pour l’Afrique sont analysées, avec notamment l’idée que la traite portait en germe l’actuelle mondialisation de l’économie, avec toutes les inégalités qu’elle comporte.
Chaque chapitre est illustré de photographies en noir et blanc, de cartes, de figures et de chiffres. Le texte, entièrement annoté, est complété par une importante bibliographie des ouvrages relatifs à la période, ainsi que par un glossaire détaillé.
TEXTE FONDATEUR DE LA PREMIERE UNIVERSITE KEMITE MODERNE :LE PER ANKH DE LA RENAISSANCE.
Par Le Shemsu Maât Grégoire Biyogo, de son nom ancien Mvong-éboth, « Celui qui enseigne et guide la Multitude » (1). 1-Il a été indiqué sur la Toile et sur de nombreux sites qu’une Université (Per Ankh) sera créée incessamment par nos soins, sans que cette Décision n’ait été explicitée pour elle-même, et fait entendre la gravité et les enjeux pressants qui s’attachent à ce choix élevé (hr). C’est cela que j’entreprends de faire ici et maintenant, en toute sérénité, m’engageant à ponctuer l’importance de l’Enseignement de la science universelle (Sia) comme facteur cardinal de Développement, d’émancipation et de Renaissance de l’humanité, à partir de l’Afrique. 2-Enseigner se dit en Mdw Ntjr, Seba, transmettre la connaissance, la sagesse. Nos langues d’Afirikara (2) permettent d’ajouter une autre acception à ce mot : « soigner » comme dans la langue ékang (langue nilotique originaire des Fang-Beti usitée dans au moins cinq Pays : le Cameroun, le Congo Brazzaville, le Gabon, le Guinée Equatoriale, et Sao Tome E Principe où, enseigner, c’est aussi soigner (Séba)… Cela qui enseigne entreprend aussi de guérir… Et celui qui enseigne vise à guérir l’élève d’une souffrance : celle de son errance dans la Nuit de la grande confusion. Cette même langue comporte une tout autre signification philologique au verbe Enseigner : c’est le fait de prier. De la sorte, celui qui enseigne soigne, mais il est aussi celui qui prie, du verbe (A-E) Yeghele (enseigner, prier). C’est en cela que les Enseignants sont aussi ceux qui prient la Maât, les suivants de la Maât, lesquels sont attachés à la justice, à la vérité et à l’Ordre.3-Si autrefois dans les lieux secrets, dans les sanctuaires et les Temples (Kem Our), les prêtres (Sem) professaient en donnant aux disciples les connaissances les plus tournées vers la vérité, l’on peut dire que ce Modèle d’enseignement authentique n’a pas survécu au déclin de Kémèt, tant une obscurité épaisse (Kek) et aliénante a accaparé l’enseignement, lequel s’est totalement écarté de sa véritable source (qerti), sa Norme même, source première qui était de produire une connaissance pure et parfaite (Sia), de la transmettre uniquement dans l’intention de former des personnes à la Maât, à la vérité, à la justice et à l’équilibre général des êtres, des choses et des principes. Personnes au demeurant qui y étaient déjà disposées. La Maât dit la justice (I), la vérité géométrique des sciences (II) autant que l’exigence de vertu qui en découle et doit se répercuter dans la conduite humaine. Cette orientation, il convient de le concéder, a définitivement quitté les « Universités » actuelles, où l’on forme désormais sans communiquer ce type d’enseignement dépositaire des connaissances faisant concilier la cause juste, la cause logique et la cause juste, ouvertes à la transdisciplinarité, offrant les connaissances les plus attestées par des sources internes, par ailleurs les plus anciennes, pour rendre compte de ce que nous sommes (I), ce que nous avons été (II), pour prendre toute le mesure de ce que nous sommes devenus (II) et anticiper sur ce que nous pouvons encore espérer être (IV).
4-Le Mot Per Ankh lui-même désigne la Maison où l’on transmet la Vie (Per : Maison et Ankh : vie), la Maison-de-Vie, au sens où celle-ci protège la Vie et ne s’accommode jamais de son interruption, mais vise à entrer dans l’Éternité (Néheh). La Vie a été d’abord donnée comme Substance en puissance qui comporte en son sein le Devenir (Kheper) et la Totalité (Djer) des possibles, de laquelle tout advient, et que l’on nomme Noun. Ensuite la vie est apparue comme consubstantielle à l’Etant suprême qui en est à la vérité le Dépositaire (Rê), encore désigné à ce titre sous le nom d’Atona-Ankh (où Vie et Lumière confluent en Dieu qui les communique. Puis la vie est parvenue à l’Etant (la Nature), ensuite aux principes, concepts élevés jusqu’à leur divinisation, imparfaitement traduits par le terme « dieux » (Netjrw). Puis la vie s’est répandue sur l’étant qui pense au milieu de tous les étants, l’étant qui se questionne, et se donne comme étant questionnant ; étant du questionnement (l’homme). Et enfin, la vie s’est répandue sur l’ensemble des étants (tout ce qui est). La vie traverse tout ce qui est, elle est Totalité, elle ne se différencie pas de la lumière, de la connaissance parfaite. D’où l’idée de Per Ankh, Maison de Vie, Maison de lumière, Maison de la connaissance. Le Per Ankh crée (irj) de l’Harmonie, laquelle se dégage à la fois dans le Cosmos qui vit de la tripartition maâtique, puis qu’il est plein d’harmonie, d’ordre et de justice. Triangulation que la Société doit faire à son tour vivre pour se réaliser en tant que domaine véritable de la viie, avant que l’Au-delà lui-même (Douât) ne la délivre, dans son éclat fulgurant (Séched), incarné par l’idée révolutionnaire de soleil noir, aux rayons de feu qui ensoleillent le Monde inférieur, émanés du Grand Noir (Kem Our) lui-même dans l’Amenti : Wasiré.
5-Mais comment rétablir cet enseignement au milieu du Grand vacarme qui bat les Nations nègres (T3w Kmw) ? Comment les rétablir elles-mêmes sans recourir au demeurant à cet Enseignement visant la perfection à laquelle on initiait l’âme pour qu’elle fût formée aux prescriptions de la vertu et de la science avant d’en être évaluée tout au long de sa vie sur Terre, jusques y compris lorsque viendrait le temps du grand et solennel départ dans la Douat, lors de la Cérémonie de la pesée de l’âme, au Tribunal de Wsjr.
6-Le dessein du Per Ankh, consiste fondamentalement dans la séparation (wp.t) du vrai et du faux, la séparation de cela qui est ordonné (logique), et de cela qui ne l’est pas, celle du juste et de l’injuste, celle de l’harmonique et de son contraire. La Maât sépare la vérité de ce qui ne l’est pas, la justice de l’injustice, la liberté de la servitude. Ainsi donc, les Per Ankh sont lieux où l’on sépare le vrai du faux comme la Balance de la Maât qui pèse les cœurs et sépare la justice de l’injustice, ou même les Medu Netjer eux-mêmes, ces bâtons divins précis, corrects (Mtr), qui écrivent et dessinent (Sech) des paroles de vérité sur du Per aa (papyrus), sur des rouleaux de livres (Tjaou). Comme Djéhouty, le divin scribe, père des sciences et de la philosophie, inspirateur du Livre de la sortie au jour, siégeant dans la Tribunal de la Douât, le Per Ankh est un endroit retiré où l’on étudie et où l’on reçoit une parole fondatrice (Hou, le terme grec de Logos que découvre Héraclite en est né) destinée à former la pensée (Hety), à méditer (Neka), à développer le jugement analytique et critique du disciple, pour qu’il se retrouve avec lui-même en retrouvant son Équilibre parfait (lequel est impossible avant de recevoir la lumière de la science, car avant cela, l’âme est encore séparée de son essence par l’état ignorance. Et c’est bien, comme l’a vu Platon, le disciple des prêtres.). Mais sa formation ne s’arrête pas à la fonction de répétition et d’assimilation mnémoniques (Mémoire), ni même au simple exercice d’intellectualisation, mais vise essentiellement la transformation profonde (Kheper) du cœur (Ib, Ab), siège de la pensée. Il est donc question pour les Maîtres comme pour les disciples de vivre la pensée en l’enseignant pour les uns et de la vivre en l’étudiant pour les autres. La parole rigoureuse de cet enseignement ancien invite à se pénétrer de la Maât (logique, sciences et vertu) pour la mettre en pratique, pour la vivre. Etudier, c’est donc désirer connaître (Rekh), persévérer en vue d’être libre, en aspirant à la vérité, à la sagesse (Sia). Kémèt guide les suivants de la Maât (Shemsu Maât) pour leur faire découvrir une manière supérieure d’exister (Oun), qui soit initiatique, c’est-à-dire précisément philosophique, spirituelle.
7-La visée assignée à la création actuelle d’un Per Ankh ne va pas cependant sans subversion d’un principe sacré chez Kémèt : la prépondérance du cercle restreint des initiés. Plutôt que de créer des cercles clos, avec seulement quelques personnes privilégiées, éclairées et ouvertes à la science parfaite, comme dans le schéma traditionnel de la pyramide (Mer), où seuls les prêtres détenaient le Monopole de la vérité, il sera question de renverser la pyramide, de faire descendre la vérité sur la Place publique, un peu à la Manière du Fara Akhenatona naguère qui a sorti l’Enseignement sacré des sanctuaires pour en faire bénéficier le plus grand nombre. Or, ne point enseigner le plus grand nombre, c’est exposer le Pays des Deux Terres (Taouy) à la défaite comme quand les Assyriens en – 671 vont s’emparer de Memphis, et capturer les prêtres, y compris le Fara lui-même, en laissant la Grande Métropole Noire démantelée. Il en a été de même avec l’invasion des Perses en – 525, avec Cambyse II. Non pas qu’il n’y ait pas un groupe de Maîtres, de personnes vivant d’ascèse, de jeûnes sévères, formées pour guider, conduire (Sechem), enseigner, redonnant à cette fonction la plus céleste des vertus et la plus haute des considérations.
8-Mais renverser la pyramide, c’est aussi exiger de ce grand nombre de disciples qui s’ouvrent à la connaissance juste de s’élever vers elle pour se donner les pleins moyens de contempler sa lumière secrète. Car la Lumière est toujours foudroyante (Aton) et cachée (Amon). Les Disciples de Ta Mery sont toujours en présence des Deux Maât, l’une dissimulant la Vie, l’autre la faisant rayonner d’éclats éternels. Comme les deux soleils de Kémita, l’un irradiant la Cité terrestre et le Soleil noir du soir, illuminant la Douât.
9-Dans les milieux Kémites, l’on trouve pour l’instant trois types d’Ecoles de la Renaissance (Ouhem Mesout) :
-L’une élitiste, qualifiée, bien que « militante », avec une revue scientifique accréditée, un comité scientifique fiable, mais encore fort éloignée du monde concret, et ignorant (Khem) tout des demandes de l’Histoire, des incidences économiques et politiques de la science, des mouvements de la Rue, produisant des connaissances éthérées, sans emprise réelle sur la société, sur son principal sujet, les peuples, heurtant ad litteram la transmission du savoir par la base, avec des connaissances universitaires auxquelles ne peuvent en effet accéder ceux qui en sont ainsi exclus, lors même qu’ils en sont donnés comme les principaux destinataires, moteurs de la Renaissance, bénéficiaires attendus de l’Enseignement parfait (l’Ecole de Ankh).
-L’autre Ecole, ouverte aux masses, vulgarisatrice du savoir, dynamique, offensive, présente sur la Toile, ouverte à tous les registres d’enseignement et d’Enseignants, et en cela même, exposée au risque permanent de la simplification dans la démonstrabilité, du manichéisme et du dualisme (l’Ecole d’AfricaMaât).
-D’où la nécessité d’une troisième voie, d’une autre Ecole, dépassant les deux premières, conciliant au mieux l’effort permanent d’adaptabilité dans la transmission sans jamais sacrifier à l’essence rigoureuse de la méthodologie, ni trahir l’historicité de la vérité, ni même sa transmission, avec un effort d’élévation vers la vérité, pour recevoir la Lumière de la Maât et porter au niveau le plus élevé par des Shemsu Maât, hautement qualifiés par l’institution comme par leurs publications, leur engagement dans le combat contre l’obstructionnisme antidémocratique en Afrique, leur travail d’’édification de l’Etat fédéral, et leur élaboration d’une recherche qui, bien qu’érudite et savante, reste concrète, s’attachant à apporter des solutions pragmatiques aux problèmes économiques, financiers, politiques, militaires, écologiques et géostratégiques qui se posent à l’Afrique. En ce Double effort, le Per Ankh de la Renaissance entend tracer une nouvelle orientation, attentive à l’exigence de progression, et de modulation dans les sciences afin de contrôler et de garantir la croissance des disciples, plongés dans des connaissances qui vont réveiller en eux le génie plastique et artistique, le génie mathématique, le génie politologique, le génie architectural, le génie économique et financier… la puissance (skhemty) philosophique et la patience comme la justice de la sagesse.
10-Ici également, en plein horizon de Doublures : point de discrimination : le fils (Sn) comme la fille (Sn.t) est appelé à prendre place dans le Per Ankh, le Fara comme la Fari, l’enfant comme l’Adulte, Abydos, la ville sainte de wsiré comme Iounou, le sanctuaire de l’Ennéade, mais jamais l’un sans l’autre, ni l’Un sans le Multiple. Ni même que Kémit, dans sa Doublure (les Rémétou, habitants endogènes kémit de Ta Méry et/ou les Nehesiou (3), Nubiens-soudanais) ne ferme la porte du Nouveau Per Ankh aux Amou (Sémites), aux Temeyou (Indo-Européens), veillant cette fois à ce que les Etudiants-chercheurs recueillent correctement la Maât, en en déclinant les sources, pour éviter comme naguère avec les Élèves grecs, qu’ils n’entrent et ne sortent des sanctuaires sans avoir pu recueillir la parole universelle et initiatique de la Renaissance humaine.
11-Ensuite, Le Per Ankh s’est dématérialisé, qui n’est demeuré une bâtisse secrète, retirée, et sacrée que parce redevenu comme dans le Noun, Domaine des virtualités et des possibles, déployés sur la Toile, le Skype, les rouleaux, où les Enseignement seront données. Les Enseignants y seront formés, d’autres seront recrutés, en attendant trois d’entre eux sont déjà prêts : le Shemsu Maât Mvong-éboth (Celui qui guide la Multitude, le président-fondateur du Per Ankh qui signe ce texte), fondateur de l’Institut Cheikh Anta Diop (France), le Shemsu Maât Nsapo (Belgique), et le Shemsu Maât Fara Taharka, Directeur de l’ISA (Sénégal).
12-L’antépénultième Raison qui justifie la création du Per Ankh et non la moindre, est le fait de l’exclusion du savoir de haut niveau par les savants et égyptologues d’Afirikara, souvent écartés des conférences, tenus en dehors des informations les plus stratégiques. Ainsi par exemple des tests ADN prélevés et effectués sur la Momie (Sahu) de Ramsès II, au début des années 2000 en Egypte même, au Caire, et dont les résultats ont été longtemps occultés. Se pourrait-il qu’ils aient été détournés de la vérité ? On se souvient qu’à Cheikh Anta Diop, le grand savant kémit du XXème siècle, il a été refusé de prélever quelques milligrammes de peau pour effectuer des test ADN. Le même refus a été opposé aux savants Chinois, au sujet des Momies royales, lorsque dans le même temps, la Momie a été donnée à la France pour sa restauration… Et pourquoi entourer une pratique scientifique orthodoxe du plus suspect des mystères, en procédant à des tests sans en informer la presse spécialisée, et moins encore les égyptologues et les autres savants d’Afirikara eux-mêmes ? Il y a pour le moins dans cette culture de l’énigme et de l’équivoque des raisons de s’inquiéter et de prendre des distances avec les résultats, même si ceux-ci semblent avoir conclu à l’idée que Ramsès n’était pas tout à fait leucoderme… Genre même de réponse qui cache des bizarreries, qu’est-on, si l’on n’est pas tout à fait blanc ? Bien que les conclusions succinctes aient été rendues publiques et que nous y avons désormais accès, il reste que la préférence ici va encore au secret, à la forclusion, au refus de la collaboration scientifique, pire les savants d’Afirikara sont toujours marginalisés, tenus hors des cénacles officiels, et dont d’une certaine manière, ils restent victimes de la désinformation, de la machination, lesquelles n’ont jamais au vrai décéléré…
13- La pénultième raison pour créer un Per Ankh produisant des connaissances autonomes, à la pointe, universelles, relève de la sociologie scientifique si profondément examinée par le professeur Cheikh Anta Diop, qui déjà en son temps avait tiré la sonnette d’alarme, en expliquant que la véritable souveraineté politique et économique passerait par l’indépendance scientifique. Or, depuis, l’on semble ne pas avoir entendu le savant, et les entreprises d’unité, de construction de l’Etat fédéral, d’une monnaie unique ou des Banques continentales échouent, pour n’avoir pas mis un accent particulier sur ce postulat diopien de la prépondérance du développement de la recherche scientifique (fondamentale ou appliquée, avec la sécurisation des centres de recherche, et leur financement).
14-Enfin, l’ultime cause qui rend urgent le Per Ankh est le retard considérable accusé par le continent d’Afirikara en matière de recherche scientifique et d’édifications des laboratoires de très haut niveau en astronomie, en géologie, en météorologie, en sismographie, énergie nucléaire, jusques et y compris dans les sciences sociales avec la formation des monétaristes, des économètres, des mathématiciens, logiciens et statisticiens, géophysiciens… Et dans les sciences humaines où l’effort pour l’élaboration des méthodes fiables s’est pour ainsi dire estompé, au profit de la reproduction servile des méthodes venues d’ailleurs et qui, souvent, pèchent par non-adaptabilité (ainsi de l’échec des différents Plans structurels)… D’où la nécessité impérieuse de s’engager à commencer à rattraper le retard par la création du premier Per Ankh kémite moderne, formaant dans les African Studies, et dans l’accompagnement jusqu’au doctorat et à l’HDR.
NOTES :
(1) Mvong-éboth : Nom secret et originaire de Grégoire Biyogo, celui que les Sages lui ont donné en prescrivant « qu’il est venu pour Enseigner la Multitude « . Précisons que le verbe guider, conduire, indiquer le chemin de la droiture se dit en medw ntj : Sechem.
(2) AFIRIKARA : Nom authentique et fondateur de l’Afrique et de l’Ancêtre éponyme de ses Habitants en langue ékang. En découpant philologiquement le mot, on obtient : La puissance, la Force, la Protection, le (Ka) de (Rê), de l’Atona-Rê, d’où vient kara (qui signifie aussi Crabe, mouvement fractal et devenir) répandue sur l’étendue de la Terre Noire, et ses Habitants. Du mot « firi » (le Charbon, le Noir), l’on dit aussi en ékang « kem » (charbon, Noi), et du verbe « afiri », appuyer, se mouvoir, courber. Et Mery : Aimée. Traduction soutenue de l’expression Ta Méry Afiri Kara : « l’irradiation des Rayons de la Renaissance sur le Continent noir tant Aimé par l’Atona ».
(3) : La définition de ce terme établit le lien ancien et principiel entre les habitants d’Afirikara et le fait de prier : « Ceux qui psalmodient des prières et des incantations », et dont les textes disent expressément que c’est l’Horus-Ankh qui protège leur âme (Le Livre des Portes).
NB : Shemsu Maât : suivant de Maât, serviteur de la Maât, philosophe, savant.
CONTACTER Grégoire Biyogo, président fondateur de l’université PER ANKH
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L’HISTOIRE CACHÉE: TRAITE NÉGRIÈRE INVERSÉE
Amérique: Le terme «américain» selon l’histoire des États-Unis aurait été prise depuis le navigateur italien Amerigo Vespucci. La vérité est que le terme «Amérique» est un mot en deux parties (Amer) tiré du mot français, « Maure » qui étaient les habitants de l’Afrique de l’Ouest (Maroc, Mali). Ces Africains ont également été dénommé, « Muur, Mor» et «Morenos» en Espagne à dire, « Black ». Le terme « Moor » est la racine du mot le terme latin, « Amor » qui signifie « bien-aimé » et était le terme utilisé en référence aux rois marocains qui ont navigué via l’Espagne et sont devenus les chefs religieux du Vatican. Le sacerdoce du Vatican était d’origine africaine (Catholique = Cat holistique ou «le chat saint» de l’Egypte symbolisée par le Sphinx.) Le sacerdoce marocain a supervisé le gouvernement papal. Le terme « Rica » dérivé du mot anglais moyen «Ric» signifie «domaine de l’alimentation». Le pouvoir a été déterminé par lignée et par la richesse, d’où le terme « riche » ou « Reich », et appelé les riches marocains qui a été dépeint dans les films, « Casablanca » et « Le Roi et moi » Le terme «américain» désigne littéralement les premiers habitants de cette terre qui portaient l’or dans le nez.
Les Olmèques étaient-ils des maures maliens? Les Mayas étaient des descendants des Maures maliens et étaient souvent appelés «les Mexicains noirs» ou Quetzalcoatl. Il y a d’anciennes peintures murales mexicaines qui dépeint ces rois «négroïdes».
Ces Maures étaient les gens qui ont construit les grandes pyramides partout en Amérique du Sud, Pérou, Canada, Alaska, et la Géorgie qui a dispersé tout au long de l’Amérique du Nord le long de la rivière Mississippi. Les gens qui les ont construits ont été appelés les Mound Builders et qu’ils étaient les descendants des maliens Moor Olmèques. Ces Maures finalement migré vers l’Amérique du Nord en provenance du Mexique et est devenu connu sous le nom Washitaw, Yamasee et la tribu Ben-Isma-EL. La tribu Ben-Isma-EL est un recueil de ce qui est maintenant connu sous le nom Lénapes, Wapanoag et les Indiens de Nanticoke qui ont migré vers l’Indiana et de l’Illinois et renvoyé à eux-mêmes comme «Maures», même si le gouvernement des États-Unis a continué à les classer comme « nègres » afin de les dépouiller de leurs droits autochtones.
L’idée fausse est que les Indiens noirs n’ont jamais été pris en esclavage. Ce n’est pas le cas. Black Indians ont également été capturés et vendus comme esclaves avec leurs cousins africains. La terre des Indiens noirs ont été prises. Louisiane, Géorgie, Alabama, Texas, Oklahoma, Mississippi, Illinois, Floride, Delaware, Tennessee, Kansas, l’Iowa, l’Indiana tout appartenait aux Maures Washitaw. La terre a été envahie par les Français et les Britanniques. Les femmes ont été vendus comme esclaves sexuelles et les hommes ont été vendus en esclavage comme «Negros». Le gouvernement américain a même convaincu les tribus indiennes rouges de posséder des esclaves. Les tribus Cherokee, Choctaw, Creek et Chickasaw tous d’accord pour asservir tenue d’Indiens et d’Africains noirs. La seule tribu à résister à l’idée de l’esclavage était la tribu Seminole. Les Seminoles ont rejeté l’idée parce qu’ils étaient les descendants des explorateurs africains qui se sont installés en Floride et mélangés avec les réfugiés Muskogee qui avait mélangés avec les Espagnols. Ils s’appelaient eux-mêmes « Runaways ». Ces Séminoles noirs qui se sont installés dans le terrain marécageux de la Floride en place des méthodes de culture qui étaient identiques à celle des méthodes de Sierre Leone en Afrique. Les propriétaires d’esclaves Géorgie furent bientôt envahissent la Floride à la recherche d’esclaves en fuite et ont été vite heurtée à l’opposition des Séminoles.
Une grande partie de la soi-disant traite négrière a été fabriqué. Il n’y avait pas de commerce! Une source indépendante montrant que les soi-disant Indiens de la côte Est (aussi appelé Terra Nova), étaient Maures d’après un livre intitulé; «Africains et les Amérindiens», de Jack D. Forbes. Il montre dans le livre combien de soi-disant Indiens d’Amérique ont été vendus dans l’esclavage en Afrique et en Europe. C’est le sens inverse dans lequel nous avons appris le commerce des esclaves. Ces Amérindiens ou Indiens ont été classés comme des nègres et des Noirs dans les esclaves livres de Séville en Espagne et ailleurs. À la page 29, il dit; « Esclaves de Terranova apparaissent dans les marchés d’esclaves de Séville et de Valence très peu de temps après 1500, par exemple, à Valence pendant la période de 1516, nous constatons en 1503 Miguel, Manne, en 1505 Juan et Pedro, en 1507 et Juan Antonio Amarco , en 1515 Ali, maintenant Melchor, en 1516 Catalina. … ils ont tous été classés comme des nègres … « . si nous avons d’abord introduit en Amérique du Nord vers 1619 ou même 1555, d’ailleurs, comment ont-ils des esclaves de Terre-Neuve, à l’Europe? Gardez à l’esprit que l’un des «Amérindiens» a même eu le nom de « Ali » et tous ont été classés comme Negro fois qu’ils ont atteint Yalencia. Comment un Amérindien en 1515 at-elle eu le nom maure « Ali »?
Au moins 3.000 Américains (dits Indiens) sont connus pour avoir été expédiés en Europe entre 1493 et 1501 (les expéditions Columbus). La plupart ont été envoyés dans la région de Séville, où ils semblent apparaître dans les même marchés d’esclaves que les Noirs. Ce sont là des contradictions à tout le mythe de la traite des esclaves. Les Noirs étaient toujours en Amérique! Les «Indiens disparus » sont noirs! Les esclaves vendus sur les marchés d’esclaves dans le Sud étaient à l’origine du peuple noir à partir d’ici dans le Continent américain. Comme ils ont pris les terres ici, ils réduits en esclavage les habitants de ces terres qui étaient noirs. Les dizaines de millions d’Américains (ce qu’on appelle les Indiens) qui ont disparu après 1492 ne mouraient pas tous dans le «holocauste» infligée en Amérique. Plusieurs milliers ont été envoyés à l’Europe et l’Afrique comme esclaves. Tout le mythe de la traite des esclaves, c’est que toute l’histoire nous a été donné dans le sens inverse. Une colonie de masse des Africains n’ont pas été expédié de l’Afrique à l’Amérique, mais la vérité est que les Indiens noirs ont été expédiés de l’Amérique à l’Europe! Ils ont ensuite été expédiés à partir de l’Espagne à l’Afrique comme matières premières pour les ressources africaines. Cette partie de notre histoire est ce que les systèmes scolaires ont omis de mentionner dans leurs programmes d’histoire!
Il y avait en effet un enlèvement des Africains d’Afrique en Amérique. Cependant, il a été le résultat de l’envoi de masse et l’abattage des Maures en Amérique aux mains des expéditions de Christophe Colomb. Premier voyage de Christophe Colomb en 1492 était une mission pour capturer l’or, mais il a été suivi par côté la présence des Maures noirs. Columbus envoyé un mot vers les Rois d’Espagne qu’il y avait (ce dont il a parlé dans ses journaux que les gens de la reine Sheba). Columbus enlevé Indiens Arawak avec des pépites d’or, oiseaux exotiques, et les céréales. La reine Isabelle disponible Columbus avec dix-sept navires, 1500 hommes, des canons, des arbalètes, des armes et des chiens d’attaque pour le deuxième voyage. La nouvelle mission de Colomb à la conquête de l’Ouest. Lorsque Christophe Colomb est retourné à l’Ouest (Haïti) et l’Amérique du Sud en 1493, il a non seulement pris des matières premières et des ressources, mais il enlevé des femmes. Après un court laps de temps les Arawaks résisté Columbus et le 25 Mars, 1495 Columbus massacrés des milliers d’indigènes Arawaks d’hommes, de femmes et bébés. Columbus a également capturé 1500 Arawaks et les a expédiés à l’Espagne.
Columbus est devenu le premier homme connu dans l’histoire d’envoyer les premiers esclaves à travers l’Atlantique. D’autres pays se sont précipités pour copier Columbus. En 1501, les Portugais ont commencé à dépeupler les Indiens Beotuk au Cap-Vert comme esclaves. L’esclavage noir indien détruit les nations indiennes de Natchez, Yamasee, Pequots. Pour cette raison, le premier raid des esclaves africains a eu lieu en 1505 et a été menée par le fils de Christophe Colomb. Lorsque les Maures (Indiens) de l’Amérique ont commencé à mourir et de se suicider le travail a été remplacé par les esclaves du Sahara en Afrique de l’Ouest. En outre, l’or et l’argent que Colomb extrait d’Amérique ont alimenté une inflation de 400% qui a érodé les économies des pays non européens et aidé l’Europe à développer un système de marché mondial. Afrique a subi un grand coup économique. Le commerce transsaharien s’est effondré parce que l’Amérique a fourni plus de gemmes précieuses que la côte ouest-africaine. Commerçants africains maintenant seulement eu une marchandise que l’Europe voulait, esclaves! Afrique Sultans donc vendu leur propre peuple noir en esclavage des Blancs. Il est sûr de dire que Christophe Colomb est seul responsable de l’esclavage des Maures de l’Ouest vers l’Est et de l’Est à l’Ouest.
Les Dogons étaient déjà sur la terre américaine tout simplement parce qu’ils ont navigué sur de large le vent et les courants.
Les premiers des Africains à poser le pied sur le sol américain étaient en fait les Dogons du Mali qui ont utilisé de tels courants comme les îles Canaries et du Nord équilatéral actuel qui recycle de l’Afrique de l’Ouest à l’Amérique et dans la partie supérieure de l’océan Atlantique. C’était avant l’invention des voiles. Le flux du courant de Guinée vers l’est le long de la côte de Guinée avec des cycles fréquents sur la mer, où il rejoint le sud-équatorial. Le deuxième groupe d’Africains à la terre en Amérique étaient sous la direction de Abubakari en 1311 et avait mélangé avec les Olmèques et est devenu connu comme « Washo. » Le troisième groupe d’Africains à se poser sur le sol américain ont été les Idrissides qui étaient la dynastie régnante du sud du Maroc et de la Mauritanie qui est venu au Maroc avant l’invasion par les Maliens et les Sénégalais Dogon. Ce groupe de Maures est arrivé en 1727 avec Mansa Musa Khan qui a été à la recherche de ses ancêtres de Abubakari.
Le Washitaw étaient les descendants directs du Olmèques qui mélangé avec les Maures maliens. Le nom « Washitaw » vient de la rivière Washita qui coule le long du Nord-Ouest du Texas et de l’Oklahoma à la rivière Rouge, où les Amérindiens vivaient avec le Cheyenne Chawasha, ce qui signifie « Racoon People ». Le Washo étaient une tribu de négroïdes qui a vécu au-dessus du Bayou Nouvelle-Orléans et étaient de Tunican souche linguistique. Le nom « Washitaw » est un dérivé du terme « Ouachita » ou ce qui est maintenant « Wichita ». Le terme est un terme Choctaw qui signifie «Big Arbor » qui représente les chaume tonnelle maisons que les gens vivaient.
Le Washitaw était originaire de bas Mississippi, la Louisiane et de l’Alabama (nommé d’après nubien soudanais Ali Baba). La tribu a été officiellement nommé « Wichita » par le gouvernement américain dans le traité de Camp Holmes de 1835 Cette tribu était incontestablement une tribu négroïde! Le Wichita a été également connu comme « Paniwassaha » ou par les Français « Panioussa» qui signifie «noir Pawnee. » Commerçants français de l’Illinois les appelaient « Pani Pique» qui signifie «tatoué Pawnee. » Le Washitaw ou « Racoon » Les gens ont été appelés ratons laveurs en raison de leurs visages noirs. En décrivant la Washitaw, le français décrit les Noirs qui vivaient dans de grandes maisons d’herbe. Le Washitaw s’appelaient eux-mêmes « Kitikitish » qui est une interprétation de « Raccoon Eyed ». Le terme a ensuite été réduite à « Coon » qui est devenu un terme utilisé en référence aux Noirs en Amérique. Le Washitaw était une émanation de la Confédération Pawnee. Quand les Maures venus en Amérique, ils se sont mélangés avec les Amérindiens Washitaw et sont devenus connus comme « Washo. » Ainsi, les Maures Washitaw sont les soi-disant tribu « Lost » des Indiens dont on parle dans les livres d’histoire? Oui! Ils sont la tribu cachée qui étaient les descendants des Olmèques et Toltèques du Mexique. La tribu Washitaw sont aussi les ancêtres de ces tribus que Pawnee, Osage, Creek, Seminole, Cherokee, Catawba, Comanche, Nez Perce, Tuscarora, Gingaskin, Mattaponi, Powhatten, Micmac, Lumbi, Mandan, Pieds-Noirs, Natchez, Chickasaw, et beaucoup plus de tribus.
LE COLORANT DE COCA-COLA ET PEPSI SERAIT CANCERIGENE
Le CSPI (Center for Science in the Public Interest) a récemment expliqué au Daily Mail que Coca-Cola et Pepsi utilisent un caramel, pour colorer leurs boissons, qui serait cancérigène. En effet, deux substances chimiques provoqueraient des cancers : le 2-MI et le 4-MI.
Le porte-parole de l’organisme précise que : « Contrairement au caramel préparé chez soi, en faisant fondre du sucre dans une poêle, la version artificielle à l’origine de la couleur “coca” est le fruit de la réaction chimique obtenue par l’association de sucre, d’ammoniac et de sulfites portés à haute température ». Ce processus aurait pour effet de créer ces deux substances toxiques qui, d’après les études menées sur des rongeurs, provoquent des « cancers du poumon, du foie, de la thyroïde et de la leucémie ». Les experts affirment que ce type de caramel pourrait provoquer des milliers de cancers.
L’institut de prévention toxicologique américain aurait confirmé le fait que ces deux substances seraient cancérigènes chez les animaux et donc potentiellement chez l’homme.
Le CSPI estime que ce colorant artificiel n’apporte aucun bienfait nutritionnel aux boissons d’autant plus que des alternatives existent pour donner cette couleur marron-noire comme les betteraves et les carottes par exemple.
Le directeur du CSPI demande ainsi tout simplement à la FDA (Food and Drug Administration)que ces deux boissons soient interdites !
Cette nouvelle n’a visiblement pas plu à tout le monde. Coca-Cola a réagi en affirmant que « nos boissons sont totalement sûres » et ajoute que les « extrapolations de CSPI pour la santé humaine et le cancer sont totalement infondées ».
Raisons pour arrêter de boire des sodas :
• Les sodas sont inutiles sur le plan nutritionnel. Ce n’est que de l’eau sucrée avec des additifs.
• Ils augmentent le risque de devenir obèse, diabétique, de développer des caries.
• Ils peuvent provoquer de l’ostéoporose et ralentir la croissance des os.
• Ces boissons sont dangereuses pour les reins, le foie et le pancréas.
• Ils entravent le bon fonctionnement de l’appareil digestif.
• Par la forte concentration en caféine ils favorisent la déshydratation et la fuite des minéraux par l’effet diurétique (auxquels se rajoutent tous les effets secondaires indésirables à une surdose de caféine).
• Le colorant utilisé dans certains sodas est très probablement cancérigène pour l’homme.
• Les sodas qui contiennent de l’aspartame sont dangereux : l’aspartame possède à lui tout seul 92 effets néfastes pour la santé !
Changez de boisson, beaucoup d’autres alternatives existent :
• Boire tout simplement de l’eau
• Du thé
• Des jus de fruits (de préférence pressés fraichement soi-même, et encore mieux avec des fruits bio)
Suggestions pour approfondir le sujet :
Le documentaire “L’affaire Coca-Cola” (The Coca-Cola case) :
“Dans certains pays, on ne s’embarrasse pas des syndicalistes. On les tue! Depuis 2002, plus de 470 leaders ouvriers y ont été abattus par des milices paramilitaires à la solde de compagnies prêtes à tout pour empêcher leurs employés de se syndiquer. Au nombre de ces entreprises figurerait Coca-Cola ! Dans ce fascinant road-movie judiciaire, trois militants américains acharnés se lancent dans une véritable croisade contre le géant, à coups de poursuites devant la Cour fédérale des États-Unis et de campagnes de dénonciation chocs. Les victimes obtiendront-elles enfin justice ? Et que choisiront-elles : l’argent, le pouvoir ou la dignité?”